Sept agents d'EDT ont pris le vol Air Calin jeudi matin.
PAPEETE, le 19 mars 2015. Alors que les initiatives en solidarité avec le Vanuatu se multiplient, sept agents d'EDT ont quitté ce jeudi le fenua pour rejoindre le Vanuatu. Leur objectif : remettre en état le réseau électrique.
Sept hommes, 400 kilos de matériel et trois semaines de mission. Une équipe d'EDT est partie ce jeudi matin en direction de la Nouvelle-Calédonie. Ils doivent arriver ce samedi au Vanuatu.
Le cyclone Pam, une tempête de catégorie 5 sur 5, s'est abattu le week-end dernier sur l'archipel avec des rafales dépassant les 320 km/h. Les autorités locales faisaient état ce jeudi d'un bilan provisoire de sept morts.
« On sait ce qui nous attend. C'est notre métier », explique Nano Hopara, responsable de cette équipe EDT. « Ma mission sera d'organiser le travail et de m'assurer de la sécurité. »
Ce jeudi matin, avant leur départ à l'aéroport, les salariés volontaires d'EDT étaient entourés de leur famille, de leurs enfants et du nouveau P-dg de la société, Grégoire de Chillaz.
Gloria Trafton, maire de Papetoai, à Moorea, a accompagné son marie Gérard à l'aéroport. Pas d'inquiétude pour elle qui a l'habitude de voir son mari partir en mission. « Il est intervenu après le cyclone à Nouméa (le cyclone Erica avait fait de nombreux dégâts en 2003, NDLR). Je suis contente qu'il aille aider la population dans le besoin », confie-t-elle.
Les agents d'EDT vont renforcer les équipes de GDF Suez, concessionnaires de la production et de la distribution d'électricité au Vanuatu.
« Quand on arrive sur un territoire dévasté, comme c'est le cas aujourd'hui du Vanuatu, il y a un certain nombre d'urgences », décrit Grégoire de Chillaz. « Nous avons besoin d'avoir des équipes très autonomes qui sont en capacité de fonctionner sans connaissance du territoire sur une période assez longue et d'assurer les travaux de remise en état du réseau de basse tension. »
Après analyse sur place des besoins, du matériel lourd supplémentaire sera acheminé par bateau.« Le groupe EDT est déjà intervenu sur un certain nombre de cyclones », complète le P-dg d'EDT. « Il y a une solidarité naturelle par rapport aux peuples du Pacifique qui peuvent être touchés par ces catastrophes climatiques. »
Sept hommes, 400 kilos de matériel et trois semaines de mission. Une équipe d'EDT est partie ce jeudi matin en direction de la Nouvelle-Calédonie. Ils doivent arriver ce samedi au Vanuatu.
Le cyclone Pam, une tempête de catégorie 5 sur 5, s'est abattu le week-end dernier sur l'archipel avec des rafales dépassant les 320 km/h. Les autorités locales faisaient état ce jeudi d'un bilan provisoire de sept morts.
« On sait ce qui nous attend. C'est notre métier », explique Nano Hopara, responsable de cette équipe EDT. « Ma mission sera d'organiser le travail et de m'assurer de la sécurité. »
Ce jeudi matin, avant leur départ à l'aéroport, les salariés volontaires d'EDT étaient entourés de leur famille, de leurs enfants et du nouveau P-dg de la société, Grégoire de Chillaz.
Gloria Trafton, maire de Papetoai, à Moorea, a accompagné son marie Gérard à l'aéroport. Pas d'inquiétude pour elle qui a l'habitude de voir son mari partir en mission. « Il est intervenu après le cyclone à Nouméa (le cyclone Erica avait fait de nombreux dégâts en 2003, NDLR). Je suis contente qu'il aille aider la population dans le besoin », confie-t-elle.
Les agents d'EDT vont renforcer les équipes de GDF Suez, concessionnaires de la production et de la distribution d'électricité au Vanuatu.
« Quand on arrive sur un territoire dévasté, comme c'est le cas aujourd'hui du Vanuatu, il y a un certain nombre d'urgences », décrit Grégoire de Chillaz. « Nous avons besoin d'avoir des équipes très autonomes qui sont en capacité de fonctionner sans connaissance du territoire sur une période assez longue et d'assurer les travaux de remise en état du réseau de basse tension. »
Après analyse sur place des besoins, du matériel lourd supplémentaire sera acheminé par bateau.« Le groupe EDT est déjà intervenu sur un certain nombre de cyclones », complète le P-dg d'EDT. « Il y a une solidarité naturelle par rapport aux peuples du Pacifique qui peuvent être touchés par ces catastrophes climatiques. »