ADEK BERRY / AFP
Nouméa, France | AFP | lundi 24/04/2023 - Près de 3.000 soldats de 19 pays participent jusqu'au 6 mai en Nouvelle-Calédonie, en mer et sur terre, à un exercice militaire nommé Croix du Sud pour simuler une intervention humanitaire post-catastrophe climatique.
Des unités venues des Etats-Unis, d'Australie, de Nouvelle-Zélande, mais aussi des Fidji voisines vont participer pendant quinze jours à cet exercice militaire, dont la dernière édition remonte à 2018.
Au total, 19 nations ont envoyé des hommes et des moyens maritimes et aériens à Nouméa ou participent en tant qu'observateurs à cet exercice organisé par la France.
"On n'a jamais rassemblé autant de participants", a déclaré le général Valéry Putz, commandant des Forces armées de Nouvelle-Calédonie (FANC), à l'AFP lundi lors de l'accueil des participants. Lors de la dernière édition il y a cinq ans, il y avait 11 pays différents et 2.100 personnes".
L'exercice, qui simule une intervention humanitaire consécutive à une catastrophe naturelle de grande ampleur, se déroulera principalement dans le nord de l'archipel. Il mobilisera dix navires et une quinzaine d'aéronefs.
La France fournit cette année un contingent de taille conséquente, avec la mission Jeanne d'Arc, arrivée jeudi à Nouméa et comprenant le porte-hélicoptère amphibie Dixmude, la frégate La Fayette, trois hélicoptères et une quarantaine de véhicules.
L'objectif affiché est "d'entretenir les capacités de coordination et d'intervention conjointe des partenaires régionaux. En cela, l'exercice répond à la stratégie de la France dans l'Indo-Pacifique, qui repose sur le multilatéralisme et sur la coopération régionale", précise le général Putz.
Depuis 1992 et la signature de l'accord Franz, la France, l'Australie et la Nouvelle-Zélande interviennent conjointement, à leur demande, dans les pays insulaires du Pacifique victimes de catastrophes naturelles. Un partenariat "historique", désormais concurrencé par la Chine, qui offre également son aide aux pays de la région, comme début mars au Vanuatu, après le passage consécutif de deux cyclones qui ont affecté 75% de la population.
Des unités venues des Etats-Unis, d'Australie, de Nouvelle-Zélande, mais aussi des Fidji voisines vont participer pendant quinze jours à cet exercice militaire, dont la dernière édition remonte à 2018.
Au total, 19 nations ont envoyé des hommes et des moyens maritimes et aériens à Nouméa ou participent en tant qu'observateurs à cet exercice organisé par la France.
"On n'a jamais rassemblé autant de participants", a déclaré le général Valéry Putz, commandant des Forces armées de Nouvelle-Calédonie (FANC), à l'AFP lundi lors de l'accueil des participants. Lors de la dernière édition il y a cinq ans, il y avait 11 pays différents et 2.100 personnes".
L'exercice, qui simule une intervention humanitaire consécutive à une catastrophe naturelle de grande ampleur, se déroulera principalement dans le nord de l'archipel. Il mobilisera dix navires et une quinzaine d'aéronefs.
La France fournit cette année un contingent de taille conséquente, avec la mission Jeanne d'Arc, arrivée jeudi à Nouméa et comprenant le porte-hélicoptère amphibie Dixmude, la frégate La Fayette, trois hélicoptères et une quarantaine de véhicules.
L'objectif affiché est "d'entretenir les capacités de coordination et d'intervention conjointe des partenaires régionaux. En cela, l'exercice répond à la stratégie de la France dans l'Indo-Pacifique, qui repose sur le multilatéralisme et sur la coopération régionale", précise le général Putz.
Depuis 1992 et la signature de l'accord Franz, la France, l'Australie et la Nouvelle-Zélande interviennent conjointement, à leur demande, dans les pays insulaires du Pacifique victimes de catastrophes naturelles. Un partenariat "historique", désormais concurrencé par la Chine, qui offre également son aide aux pays de la région, comme début mars au Vanuatu, après le passage consécutif de deux cyclones qui ont affecté 75% de la population.