Paris, France | AFP | jeudi 31/12/2020 - Un premier cas de contamination au variant du virus du Covid-19 identifié en Afrique du Sud a été détecté en France, a annoncé jeudi le ministère de la Santé, quelques jours après le premier cas confirmé du variant britannique.
Ce variant, qui comme celui du Royaume-Uni pourrait être plus transmissible, a été confirmé mercredi chez un homme de retour d'Afrique du Sud résidant dans le Haut-Rhin, à proximité de la frontière suisse.
A son retour d'un séjour en Afrique du Sud, l'homme qui avait développé des symptômes évocateurs du Covid-19 a réalisé un test RT-PCR en Suisse.
Le test s'étant révélé positif, un séquençage du virus a été réalisé, confirmant le variant baptisé "501.V2", identifié en Afrique du Sud en octobre et qui est responsable dans ce pays d'une grande majorité des nouveaux cas.
La personne aujourd'hui guérie, "s'est immédiatement isolée à son domicile dès l'apparition des symptômes" et "aucun contact à risque n'a été identifié", a assuré le ministère.
Un premier cas du variant identifié au Royaume-Uni en décembre avait été confirmé en France le 25 décembre, à Tours, sur un Français arrivé de Londres quelques jours auparavant.
Pour les deux variants, qui pourraient être plus transmissibles mais pas intrinsèquement plus dangereux, les autorités sanitaires "sont mobilisées pour identifier le plus précocement possible chaque patient contaminé pour les isoler, isoler leurs personnes contacts et les tester, et éviter ainsi la propagation des variants du SARS-CoV-2 sur le territoire national", a assuré le ministère.
Pour chaque personne revenant du Royaume-Uni ou d'Afrique du Sud qui serait testée positive au Covid-19, les prélèvements doivent être séquencés pour confirmer la présence ou non d'un variant du virus.
Le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) a mis en garde cette semaine contre un risque "élevé" que ces variants soient une source de pression supplémentaire sur les systèmes de santé et une cause de mortalité plus élevée du fait de leur plus grande contagiosité.
Ce variant, qui comme celui du Royaume-Uni pourrait être plus transmissible, a été confirmé mercredi chez un homme de retour d'Afrique du Sud résidant dans le Haut-Rhin, à proximité de la frontière suisse.
A son retour d'un séjour en Afrique du Sud, l'homme qui avait développé des symptômes évocateurs du Covid-19 a réalisé un test RT-PCR en Suisse.
Le test s'étant révélé positif, un séquençage du virus a été réalisé, confirmant le variant baptisé "501.V2", identifié en Afrique du Sud en octobre et qui est responsable dans ce pays d'une grande majorité des nouveaux cas.
La personne aujourd'hui guérie, "s'est immédiatement isolée à son domicile dès l'apparition des symptômes" et "aucun contact à risque n'a été identifié", a assuré le ministère.
Un premier cas du variant identifié au Royaume-Uni en décembre avait été confirmé en France le 25 décembre, à Tours, sur un Français arrivé de Londres quelques jours auparavant.
Pour les deux variants, qui pourraient être plus transmissibles mais pas intrinsèquement plus dangereux, les autorités sanitaires "sont mobilisées pour identifier le plus précocement possible chaque patient contaminé pour les isoler, isoler leurs personnes contacts et les tester, et éviter ainsi la propagation des variants du SARS-CoV-2 sur le territoire national", a assuré le ministère.
Pour chaque personne revenant du Royaume-Uni ou d'Afrique du Sud qui serait testée positive au Covid-19, les prélèvements doivent être séquencés pour confirmer la présence ou non d'un variant du virus.
Le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) a mis en garde cette semaine contre un risque "élevé" que ces variants soient une source de pression supplémentaire sur les systèmes de santé et une cause de mortalité plus élevée du fait de leur plus grande contagiosité.