Pascal GUYOT / AFP
Paris, France | AFP | vendredi 02/09/2022 - La décrue de la septième vague de Covid-19 se poursuit en France mais à un rythme de plus en plus ralenti, selon le bilan hebdomadaire de Santé publique France, qui insiste sur la vaccination et les gestes barrières en cette période de rentrée.
Du 22 au 28 août, "à la veille de la rentrée scolaire, la circulation du SARS-CoV-2 a continué de diminuer pour la septième semaine consécutive dans la quasi-totalité des régions", écrit l'agence sanitaire.
Avec 181 cas pour 100.000 habitants, le taux d'incidence n'avait plus été aussi bas depuis novembre 2021 et l'arrivée du variant Omicron, relève-t-elle.
Mais le nombre de cas positifs stagne depuis deux semaines au-dessus de 17.000 par jour (en moyenne sur sept jours), contre plus de 130.000 au pic atteint mi-juillet, selon les données quotidiennes de Santé publique France.
Autre bémol: une légère hausse du taux d'incidence chez les moins de 10 ans.
Pour les enfants, si l'on compare la situation à celle de la même période de l'année précédente, "le niveau d'incidence est deux fois plus faible", a cependant noté lors d'un point de presse Didier Che, directeur adjoint à la direction des maladies infectieuses de SPF, précisant que "le dépistage est beaucoup plus faible, et donc le taux de positivité beaucoup plus élevé".
Les admissions à l'hôpital continuent aussi de diminuer, mouvement amorcé il y a environ un mois et demi, mais le rythme baisse significativement depuis quelques jours.
En soins critiques, la diminution des nouvelles entrées la semaine passée a aussi été "moins marquée que les semaines précédentes (285, soit -9% contre -24%)", a précisé Santé publique France.
"Dans le contexte d'une circulation toujours active du SARS-CoV-2 et compte tenu de la dynamique épidémique chez les plus jeunes et de la reprise de nombreuses activités sociales liées à la fin des congés estivaux", SPF insiste sur "le respect des mesures combinées": vaccination, isolement en cas de test positif, masque en présence de personnes vulnérables ou de promiscuité dans les espaces fermés, etc.
Chez les plus âgés, seuls 32,6% des 60-79 ans et 46,2% des 80 ans et plus, ainsi que 50,8% des résidents en Ehpad ont ainsi reçu une deuxième dose de rappel vaccinal.
Or une huitième vague de l'épidémie est annoncée depuis plusieurs semaines par les autorités sanitaires.
"Ce qu'on ne sait pas, c'est quelle sera son ampleur", mais "ça va redémarrer et il y aura une campagne de vaccination qui va reprendre à l'automne", a déclaré la semaine dernière le ministre de la Santé François Braun.
Du 22 au 28 août, "à la veille de la rentrée scolaire, la circulation du SARS-CoV-2 a continué de diminuer pour la septième semaine consécutive dans la quasi-totalité des régions", écrit l'agence sanitaire.
Avec 181 cas pour 100.000 habitants, le taux d'incidence n'avait plus été aussi bas depuis novembre 2021 et l'arrivée du variant Omicron, relève-t-elle.
Mais le nombre de cas positifs stagne depuis deux semaines au-dessus de 17.000 par jour (en moyenne sur sept jours), contre plus de 130.000 au pic atteint mi-juillet, selon les données quotidiennes de Santé publique France.
Autre bémol: une légère hausse du taux d'incidence chez les moins de 10 ans.
Pour les enfants, si l'on compare la situation à celle de la même période de l'année précédente, "le niveau d'incidence est deux fois plus faible", a cependant noté lors d'un point de presse Didier Che, directeur adjoint à la direction des maladies infectieuses de SPF, précisant que "le dépistage est beaucoup plus faible, et donc le taux de positivité beaucoup plus élevé".
Les admissions à l'hôpital continuent aussi de diminuer, mouvement amorcé il y a environ un mois et demi, mais le rythme baisse significativement depuis quelques jours.
En soins critiques, la diminution des nouvelles entrées la semaine passée a aussi été "moins marquée que les semaines précédentes (285, soit -9% contre -24%)", a précisé Santé publique France.
"Dans le contexte d'une circulation toujours active du SARS-CoV-2 et compte tenu de la dynamique épidémique chez les plus jeunes et de la reprise de nombreuses activités sociales liées à la fin des congés estivaux", SPF insiste sur "le respect des mesures combinées": vaccination, isolement en cas de test positif, masque en présence de personnes vulnérables ou de promiscuité dans les espaces fermés, etc.
Chez les plus âgés, seuls 32,6% des 60-79 ans et 46,2% des 80 ans et plus, ainsi que 50,8% des résidents en Ehpad ont ainsi reçu une deuxième dose de rappel vaccinal.
Or une huitième vague de l'épidémie est annoncée depuis plusieurs semaines par les autorités sanitaires.
"Ce qu'on ne sait pas, c'est quelle sera son ampleur", mais "ça va redémarrer et il y aura une campagne de vaccination qui va reprendre à l'automne", a déclaré la semaine dernière le ministre de la Santé François Braun.