SAO PAULO (Brésil), 1 déc 2012 (AFP) - Le tirage au sort de la Coupe des Confédérations a connu un couac quand le secrétaire général de la Fifa Jérôme Valcke a tiré samedi deux équipes avec la même position dans le groupe B (position B3), provoquant un moment de flottement lors de la cérémonie.
Cette erreur ne changeait rien pour la composition du groupe en question, celui de l'Espagne (avec Uruguay, Tahiti et le futur vainqueur de la CAN). Mais cette méprise ne pouvait pas permettre de connaître les dates et lieux des matches, déjà préétablis en fonction des positions dans le groupe. Et cela a provoqué un petit bug sur l'écran géant qui donnait les groupes en direct dans la salle de cérémonie située à côté d'un grand hôtel à l'est de la ville de Sao Paulo.
M. Valcke, maître de cérémonie du tirage aux côtés de la top-model brésilienne Adriana Lima, a pris cela avec humour, lançant sur scène avec un sourire: "Monsieur le président Blatter, j'ai besoin de votre aide là", devant une salle légèrement confuse.
Puis, tout est rapidement rentré rapidement dans l'ordre.
Ce tirage au sort avec huit équipes était pourtant simple dans sa procédure, contrairement à celui d'un Mondial avec 32 équipes.
Les grosses affiches de la Coupe des Confédérations étaient ainsi déjà connues.
M. Valcke avait dévoilé mercredi que le Brésil, pays hôte, serait dans le groupe A et l'Espagne champion du monde en titre dans le groupe B.
La règle stipulant que deux équipes d'une même Confédération ne peuvent se rencontrer au premier tour plaçait automatiquement l'Italie avec la Seleçao et l'Uruguay avec la "Roja". Il ne restait plus samedi que quatre équipes à répartir au tirage.
Eddy Etaeta, sélectionneur de Tahiti (139e nation Fifa): "Je réitère ce que j'ai dit, c'est incroyable, nous sommes un tout petit pays, qui se confronte contre les meilleures nations. J'en prends réellement conscience. Nous essaierons d'être à la hauteur, de bien représenter notre région du Pacifique. On a le privilège de pouvoir jouer contre l'Espagne, on va les jouer au Maracana, à Rio, c'est extraordinaire. L'Espagne a une grande possession de balle, ils vont encore être plus forts en possession de balle contre nous... Il faudra essayer de défendre. Si on peut ne pas encaisser de but pendant une mi-temps et si on peut en marquer un... Mais soyons réalistes, on savourera ce plaisir de jouer contre ces équipes."
Cette erreur ne changeait rien pour la composition du groupe en question, celui de l'Espagne (avec Uruguay, Tahiti et le futur vainqueur de la CAN). Mais cette méprise ne pouvait pas permettre de connaître les dates et lieux des matches, déjà préétablis en fonction des positions dans le groupe. Et cela a provoqué un petit bug sur l'écran géant qui donnait les groupes en direct dans la salle de cérémonie située à côté d'un grand hôtel à l'est de la ville de Sao Paulo.
M. Valcke, maître de cérémonie du tirage aux côtés de la top-model brésilienne Adriana Lima, a pris cela avec humour, lançant sur scène avec un sourire: "Monsieur le président Blatter, j'ai besoin de votre aide là", devant une salle légèrement confuse.
Puis, tout est rapidement rentré rapidement dans l'ordre.
Ce tirage au sort avec huit équipes était pourtant simple dans sa procédure, contrairement à celui d'un Mondial avec 32 équipes.
Les grosses affiches de la Coupe des Confédérations étaient ainsi déjà connues.
M. Valcke avait dévoilé mercredi que le Brésil, pays hôte, serait dans le groupe A et l'Espagne champion du monde en titre dans le groupe B.
La règle stipulant que deux équipes d'une même Confédération ne peuvent se rencontrer au premier tour plaçait automatiquement l'Italie avec la Seleçao et l'Uruguay avec la "Roja". Il ne restait plus samedi que quatre équipes à répartir au tirage.
Eddy Etaeta, sélectionneur de Tahiti (139e nation Fifa): "Je réitère ce que j'ai dit, c'est incroyable, nous sommes un tout petit pays, qui se confronte contre les meilleures nations. J'en prends réellement conscience. Nous essaierons d'être à la hauteur, de bien représenter notre région du Pacifique. On a le privilège de pouvoir jouer contre l'Espagne, on va les jouer au Maracana, à Rio, c'est extraordinaire. L'Espagne a une grande possession de balle, ils vont encore être plus forts en possession de balle contre nous... Il faudra essayer de défendre. Si on peut ne pas encaisser de but pendant une mi-temps et si on peut en marquer un... Mais soyons réalistes, on savourera ce plaisir de jouer contre ces équipes."
Fifa: un couac "sans influence" au tirage au sort
SAo paulo, 1 déc 2012 (AFP) - Walter de Gregorio, directeur de la communication de la Fifa, a assuré que le couac du tirage au sort de la Coupe des Confédérations samedi à Sao Paulo, était un "petit problème sans aucune influence sur les équipes et les groupes".
"Vous avez vu qu'il y a eu un petit problème au tirage, cela n'a eu aucune influence sur les équipes et les groupes", a expliqué le responsable Fifa devant la presse.
"Une boule de l'Uruguay était dans le groupe A, ce qui est impossible car c'est le groupe du Brésil, et deux équipes d'une même Confédération ne peuvent se retrouver dans un même groupe, donc ce problème a été causé par une mauvaise boule", a expliqué M. De Gregorio.
"On en a parlé avec les sélectionneurs, et il n'y a pas de problème", a-t-il conclu, assis aux côtés de Vicente del Bosque, sélectionneur de l'Espagne, Oscar Tabarez, sélectionneur de l'Uruguay et Eddy Etaeta, sélectionneur de Tahiti, tous membres du groupe B (qui sera complété par le futur vainqueur de la CAN), groupe concerné par cette confusion.
Le tirage à Sao Paulo, effectué par la top-model brésilienne Adriana Lima et le secrétaire général de la Fifa Jérôme Valcke, a connu un couac. Le responsable de la Fifa s'est ainsi retrouvé avec deux équipes avec la même position dans le groupe B, position censée déterminer l'ordre des matches, provoquant un moment de flottement dans la cérémonie.
"Vous avez vu qu'il y a eu un petit problème au tirage, cela n'a eu aucune influence sur les équipes et les groupes", a expliqué le responsable Fifa devant la presse.
"Une boule de l'Uruguay était dans le groupe A, ce qui est impossible car c'est le groupe du Brésil, et deux équipes d'une même Confédération ne peuvent se retrouver dans un même groupe, donc ce problème a été causé par une mauvaise boule", a expliqué M. De Gregorio.
"On en a parlé avec les sélectionneurs, et il n'y a pas de problème", a-t-il conclu, assis aux côtés de Vicente del Bosque, sélectionneur de l'Espagne, Oscar Tabarez, sélectionneur de l'Uruguay et Eddy Etaeta, sélectionneur de Tahiti, tous membres du groupe B (qui sera complété par le futur vainqueur de la CAN), groupe concerné par cette confusion.
Le tirage à Sao Paulo, effectué par la top-model brésilienne Adriana Lima et le secrétaire général de la Fifa Jérôme Valcke, a connu un couac. Le responsable de la Fifa s'est ainsi retrouvé avec deux équipes avec la même position dans le groupe B, position censée déterminer l'ordre des matches, provoquant un moment de flottement dans la cérémonie.