Crédit Nicolas TUCAT / AFP
Ajaccio, France | AFP | mardi 15/11/2022 - Deux engins explosifs n'ayant pas explosé ont été découverts dans la nuit de dimanche à lundi devant les locaux de TotalEnergies Marketing Corse à Bastia, a-t-on appris mardi auprès du parquet de Bastia.
Après la découverte de ces "deux extincteurs contenant une charge explosive", une enquête pour tentative de dégradation du bien d'autrui par moyen dangereux a été ouverte par le parquet de Bastia et confiée à la police judiciaire, a précisé le parquet, confirmant une information de Corse-Matin.
Aucune revendication ou inscription n'avait pour l'heure été associée à ces faits, a ajouté le parquet.
Par ailleurs, dans un contexte de multiplication d'incendies criminels dans l'île, une résidence secondaire appartenant à des "continentaux" a été détruite par les flammes dans la nuit de lundi à mardi à Galeria, en Haute-Corse, a-t-on appris mardi auprès des pompiers et du parquet de Bastia.
Cependant l'origine de l'incendie, qui a également détruit deux bateaux présents sur la propriété, était pour l'heure toujours indéterminée et une origine accidentelle n'était pas exclue, a précisé à l'AFP le parquet de Bastia.
La maison était inoccupée au moment des faits et aucune revendication ou tag n'a été découvert.
Une enquête pour destruction par moyen dangereux a été ouverte et confiée à la gendarmerie de Calvi.
En outre, deux maisons mitoyennes, des résidences secondaires appartenant à des "continentaux" à Levie, en Corse-du-Sud, ont été incendiées dans la nuit de samedi à dimanche, avait indiqué à l'AFP le procureur d'Ajaccio, Nicolas Septe, pour qui "la thèse criminelle était privilégiée".
"Ce dossier s'inscrit dans le phénomène des dégradations criminelles par incendie des maisons appartenant à des continentaux, sans que nous puissions faire de lien", avait expliqué Nicolas Septe.
Des campings, des restaurants de plage et des entreprises du bâtiment ont également été endommagés par des incendies volontaires depuis le début de l'année.
Au total, 16 "actions" visant deux véhicules de police, deux entreprises du bâtiment et douze résidences privées, dont l'incendie de 36 mobile-homes dans un camping d'Aleria (Haute-Corse), avaient été revendiquées le 11 juillet par le groupe clandestin du Front de libération nationale corse (FLNC).
Le parquet national antiterroriste s'était saisi des enquêtes liées à ce communiqué du FLNC.
Après la découverte de ces "deux extincteurs contenant une charge explosive", une enquête pour tentative de dégradation du bien d'autrui par moyen dangereux a été ouverte par le parquet de Bastia et confiée à la police judiciaire, a précisé le parquet, confirmant une information de Corse-Matin.
Aucune revendication ou inscription n'avait pour l'heure été associée à ces faits, a ajouté le parquet.
Par ailleurs, dans un contexte de multiplication d'incendies criminels dans l'île, une résidence secondaire appartenant à des "continentaux" a été détruite par les flammes dans la nuit de lundi à mardi à Galeria, en Haute-Corse, a-t-on appris mardi auprès des pompiers et du parquet de Bastia.
Cependant l'origine de l'incendie, qui a également détruit deux bateaux présents sur la propriété, était pour l'heure toujours indéterminée et une origine accidentelle n'était pas exclue, a précisé à l'AFP le parquet de Bastia.
La maison était inoccupée au moment des faits et aucune revendication ou tag n'a été découvert.
Une enquête pour destruction par moyen dangereux a été ouverte et confiée à la gendarmerie de Calvi.
En outre, deux maisons mitoyennes, des résidences secondaires appartenant à des "continentaux" à Levie, en Corse-du-Sud, ont été incendiées dans la nuit de samedi à dimanche, avait indiqué à l'AFP le procureur d'Ajaccio, Nicolas Septe, pour qui "la thèse criminelle était privilégiée".
"Ce dossier s'inscrit dans le phénomène des dégradations criminelles par incendie des maisons appartenant à des continentaux, sans que nous puissions faire de lien", avait expliqué Nicolas Septe.
Des campings, des restaurants de plage et des entreprises du bâtiment ont également été endommagés par des incendies volontaires depuis le début de l'année.
Au total, 16 "actions" visant deux véhicules de police, deux entreprises du bâtiment et douze résidences privées, dont l'incendie de 36 mobile-homes dans un camping d'Aleria (Haute-Corse), avaient été revendiquées le 11 juillet par le groupe clandestin du Front de libération nationale corse (FLNC).
Le parquet national antiterroriste s'était saisi des enquêtes liées à ce communiqué du FLNC.