RIO DE JANEIRO, 13 juin 2013 (AFP) - Avec l'arrivée du Nigeria prévue jeudi, les huit équipes qualifiées sont désormais présentes au Brésil pour disputer la Coupe des Confédérations (de samedi au 30 juin) où les Brésiliens ne se pressent pas pour récupérer leurs billets d'entrée aux stades.
Mercredi, la Fédération internationale de football (Fifa) a demandé aux personnes ayant réservé leurs billets de ne pas attendre "le dernier moment" pour les récupérer aux centres de retraits.
234.000 billets commandés n'avaient pas encore été retirés à ce jour par leurs acheteurs, et la Fifa redoute des files d'attentes longues et denses les jours de match sur certaines rencontres.
La question du prix des billets, mais cette fois dans la perspective de la Coupe du monde 2014, a par ailleurs été soulevée par le ministre des Sports brésilien Aldo Rebelo, lors de l'inauguration de l'horloge marquant le compte à rebours sur la célèbre plage de Copacabana à Rio de Janeiro.
"Evidemment, il est possible que le prix des entrées augmente", a-t-il avancé. "Nous ne voulons pas que la population la plus pauvre du pays, qui est la plus intéressée par le football, soit écartée des stades. Il faut équilibrer leurs entrées et celles des supporters à pouvoir d'achat plus fort".
Les doutes qui avaient pu naître sur les stades, dont certains ont connu des avaries, ont été balayés par le président de la Fifa Joseph Blatter, selon lequel ces "bijoux" architecturaux sont "prêts". Le dirigeant, qui compte visiter les douze villes hôtes du Mondial-2014, devait donner une conférence de presse jeudi en début d'après-midi dans la foulée d'une réunion du comité d'organisation du tournoi.
Italiens à la plage
Après les derniers matches de préparation, amicaux ou de qualification, comme le Nigeria qui a concédé mercredi le nul face à la Namibie (1-1), les équipes ont pris leurs quartiers dans leurs hôtels respectifs. Les amateurs de Tahiti étaient arrivés les premiers au pays du "futebol", dès le 7 juin.
La Coupe des Confédérations est la "coupe des champions" des continents, selon la formule de M. Blatter. Mais les équipes ne semblent pas vraiment tétanisées par la pression dans la douceur, voire la chaleur, du climat brésilien de cette fin d'automne.
Ainsi les joueurs italiens, bien plus disponibles et ouverts qu'à l'accoutumée, se promènent-ils tous les matins sur la plage de Barra da Tijuca à Rio de Janeiro.
L'équipe du Brésil, qui voyage dans un avion à ses couleurs sur la bien nommée compagnie aérienne Gol, a fêté mercredi le Jour des amoureux, équivalent local de la Saint-Valentin, en parsemant les réseaux sociaux de billets doux.
A ce jeu-là, c'est encore Neymar qui s'est illustré: l'attaquant vedette de 21 ans, récemment transféré au FC Barcelone, a échangé des mots doux agrémentés d'un montage photographique via un réseau social avec sa petite amie, l'actrice brésilienne Bruna Marquezine. Un véritable crève-coeur pour les centaines de jeunes filles qui ont assiégé l'hôtel de la Seleçao et montré leur flamme pour leur idole.
La Fédération brésilienne de football (CBF) a enrôlé un prestigieux supporter en la personne de l'ex-président de la République Lula, resté très populaire dans le pays, auquel elle a remis un maillot de la Seleçao vainqueur de la Coupe du monde 1958.
ybl/pal/pgr/eb
Mercredi, la Fédération internationale de football (Fifa) a demandé aux personnes ayant réservé leurs billets de ne pas attendre "le dernier moment" pour les récupérer aux centres de retraits.
234.000 billets commandés n'avaient pas encore été retirés à ce jour par leurs acheteurs, et la Fifa redoute des files d'attentes longues et denses les jours de match sur certaines rencontres.
La question du prix des billets, mais cette fois dans la perspective de la Coupe du monde 2014, a par ailleurs été soulevée par le ministre des Sports brésilien Aldo Rebelo, lors de l'inauguration de l'horloge marquant le compte à rebours sur la célèbre plage de Copacabana à Rio de Janeiro.
"Evidemment, il est possible que le prix des entrées augmente", a-t-il avancé. "Nous ne voulons pas que la population la plus pauvre du pays, qui est la plus intéressée par le football, soit écartée des stades. Il faut équilibrer leurs entrées et celles des supporters à pouvoir d'achat plus fort".
Les doutes qui avaient pu naître sur les stades, dont certains ont connu des avaries, ont été balayés par le président de la Fifa Joseph Blatter, selon lequel ces "bijoux" architecturaux sont "prêts". Le dirigeant, qui compte visiter les douze villes hôtes du Mondial-2014, devait donner une conférence de presse jeudi en début d'après-midi dans la foulée d'une réunion du comité d'organisation du tournoi.
Italiens à la plage
Après les derniers matches de préparation, amicaux ou de qualification, comme le Nigeria qui a concédé mercredi le nul face à la Namibie (1-1), les équipes ont pris leurs quartiers dans leurs hôtels respectifs. Les amateurs de Tahiti étaient arrivés les premiers au pays du "futebol", dès le 7 juin.
La Coupe des Confédérations est la "coupe des champions" des continents, selon la formule de M. Blatter. Mais les équipes ne semblent pas vraiment tétanisées par la pression dans la douceur, voire la chaleur, du climat brésilien de cette fin d'automne.
Ainsi les joueurs italiens, bien plus disponibles et ouverts qu'à l'accoutumée, se promènent-ils tous les matins sur la plage de Barra da Tijuca à Rio de Janeiro.
L'équipe du Brésil, qui voyage dans un avion à ses couleurs sur la bien nommée compagnie aérienne Gol, a fêté mercredi le Jour des amoureux, équivalent local de la Saint-Valentin, en parsemant les réseaux sociaux de billets doux.
A ce jeu-là, c'est encore Neymar qui s'est illustré: l'attaquant vedette de 21 ans, récemment transféré au FC Barcelone, a échangé des mots doux agrémentés d'un montage photographique via un réseau social avec sa petite amie, l'actrice brésilienne Bruna Marquezine. Un véritable crève-coeur pour les centaines de jeunes filles qui ont assiégé l'hôtel de la Seleçao et montré leur flamme pour leur idole.
La Fédération brésilienne de football (CBF) a enrôlé un prestigieux supporter en la personne de l'ex-président de la République Lula, resté très populaire dans le pays, auquel elle a remis un maillot de la Seleçao vainqueur de la Coupe du monde 1958.
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