BELO HORIZONTE, 16 juin 2013 (AFP) - Les amateurs de Tahiti, sans grande illusion sur leur sort et déjà heureux de participer à la Coupe des Confédérations au Brésil, affrontent le puissant Nigeria, perturbé par une arrivée tardive, lundi à Belo Horizonte (19h00 GMT).
Tout les sépare et rend la rencontre a priori largement déséquilibrée, avec plus de cent places d'écart au classement Fifa: la Polynésie française compte moins de 300.000 habitants, contre 162 millions pour le Nigeria; les Toa Aito (guerriers de fer) ont perdu leurs deux matches de préparation, dont un 7-0 infligé par les moins de 20 ans du Chili, quand les Super Eagles, derniers vainqueurs de la CAN. sont invaincus depuis 17 rencontres; les premiers sont tous amateurs à l'exception de l'attaquant Vahirua, certains même chômeurs, quand les seconds sont professionnels, deux tiers d'entre eux évoluant en Europe.
Un grand écart jusque dans les prémices du tournois: les Océaniens sont arrivés les premiers au Brésil, dès le 7 juin, pour s'acclimater à l'effervescence locale tranchant avec celle de leurs îles pacifiques, alors que les Africains ont seulement débarqué dimanche au petit matin, à 03h00 locales (06h00 GMT)...
L'arrivée des Nigérians, initialement prévue jeudi, a été retardée en raison d'un conflit sur les primes entre les joueurs et leur fédération. Ils n'ont atterri à Belo Horizonte qu'à 36 heures de leur entrée en lice, partis de Windhoek (capitale de la Namibie) et via Johannesburg et Sao Paulo... Leur jetlag sourira-t-il aux Tahitiens ?
Ces derniers ne se font guère d'illusions, mais leur sélectionneur Eddy Etaeta formule "le rêve" d'un exploit. "Je ne veux pas mettre la pression sur mes joueurs, mais tout est possible", a-t-il ainsi avancé.
Les Nigérians de Stephen Keshi sont privés sur blessure de leurs deux meilleurs atouts offensifs, Moses et Emenike, ainsi que du milieu Onazi, touché mercredi contre la Namibie (1-1). Musa et Ideye en sont désormais les principaux fers de lance, devant le patron du milieu, Obi Mikel. Les jeunes attaquants Oduamadi et Ujah seront aussi à surveiller.
Tout les sépare et rend la rencontre a priori largement déséquilibrée, avec plus de cent places d'écart au classement Fifa: la Polynésie française compte moins de 300.000 habitants, contre 162 millions pour le Nigeria; les Toa Aito (guerriers de fer) ont perdu leurs deux matches de préparation, dont un 7-0 infligé par les moins de 20 ans du Chili, quand les Super Eagles, derniers vainqueurs de la CAN. sont invaincus depuis 17 rencontres; les premiers sont tous amateurs à l'exception de l'attaquant Vahirua, certains même chômeurs, quand les seconds sont professionnels, deux tiers d'entre eux évoluant en Europe.
Un grand écart jusque dans les prémices du tournois: les Océaniens sont arrivés les premiers au Brésil, dès le 7 juin, pour s'acclimater à l'effervescence locale tranchant avec celle de leurs îles pacifiques, alors que les Africains ont seulement débarqué dimanche au petit matin, à 03h00 locales (06h00 GMT)...
L'arrivée des Nigérians, initialement prévue jeudi, a été retardée en raison d'un conflit sur les primes entre les joueurs et leur fédération. Ils n'ont atterri à Belo Horizonte qu'à 36 heures de leur entrée en lice, partis de Windhoek (capitale de la Namibie) et via Johannesburg et Sao Paulo... Leur jetlag sourira-t-il aux Tahitiens ?
Ces derniers ne se font guère d'illusions, mais leur sélectionneur Eddy Etaeta formule "le rêve" d'un exploit. "Je ne veux pas mettre la pression sur mes joueurs, mais tout est possible", a-t-il ainsi avancé.
Les Nigérians de Stephen Keshi sont privés sur blessure de leurs deux meilleurs atouts offensifs, Moses et Emenike, ainsi que du milieu Onazi, touché mercredi contre la Namibie (1-1). Musa et Ideye en sont désormais les principaux fers de lance, devant le patron du milieu, Obi Mikel. Les jeunes attaquants Oduamadi et Ujah seront aussi à surveiller.