Tahiti, le 3 juin 2021 – Dans une logique de réduction de son empreinte carbone, Air Tahiti Nui a signé en décembre 2020 un partenariat avec la start-up kiwi, CarbonClick. La plateforme permet aux clients de la compagnie au tiare de calculer les émissions de leur vol et d'acheter, s'ils le souhaitent, un "crédit de compensation".
Régénération d’une forêt native en Nouvelle-Zélande, développement de chauffe-eau solaires en Inde, projet de biogaz en Chine : soutenir ces initiatives permettant de stocker du carbone ou de réduire l’usage de combustibles fossiles est désormais possible depuis Tahiti et derrière son écran. Air Tahiti Nui a conclu pour cela en décembre 2020 un partenariat avec une start-up néo-zélandaise, CarbonClick. Dans une logique de responsabilité sociétale de l'Entreprise (RSE), visant à sensibiliser plus largement au réchauffement climatique, le partenariat permet aux clients d'ATN, une fois leur voyage réservé, de "calculer les émissions carbones de leur vol et choisir de compenser l’impact de leur voyage" via le site CarbonClick, indique la compagnie la compagnie aérienne. Plus concrètement, les voyageurs pourront acheter sur cette plateforme "un crédit de compensation carbone qui permettra de soutenir des projets environnementaux concrets, participant à réduire la quantité CO2 dans l’atmosphère".
Dans la même dynamique que son concurrent Air France et ses appareils dernière génération plus légers, la compagnie au tiare mène elle aussi une politique de réduction des émissions GES (émissions de gaz à effet de serre) depuis 2015. Ce qui lui a déjà permis de réaliser une "réduction notable de -17 % de nos émissions CO2 en 2019, grâce à l’effet combiné de notre nouvelle flotte d’appareils plus efficients et d’un programme d’actions internes" selon son p-dg, Michel Monvoisin. "Conscient de notre mission de contribuer désormais à la relance du Pays, nous avons pour ambition d’aller plus loin dans cette voie et de développer ce programme de compensation carbone, dans un second temps, afin d’y intégrer à terme des projets environnementaux localisés en Polynésie, de sorte à valoriser davantage les mobilisations locales et ainsi continuer de soutenir les nombreuses initiatives locales visant à préserver la destination de la Polynésie".
Régénération d’une forêt native en Nouvelle-Zélande, développement de chauffe-eau solaires en Inde, projet de biogaz en Chine : soutenir ces initiatives permettant de stocker du carbone ou de réduire l’usage de combustibles fossiles est désormais possible depuis Tahiti et derrière son écran. Air Tahiti Nui a conclu pour cela en décembre 2020 un partenariat avec une start-up néo-zélandaise, CarbonClick. Dans une logique de responsabilité sociétale de l'Entreprise (RSE), visant à sensibiliser plus largement au réchauffement climatique, le partenariat permet aux clients d'ATN, une fois leur voyage réservé, de "calculer les émissions carbones de leur vol et choisir de compenser l’impact de leur voyage" via le site CarbonClick, indique la compagnie la compagnie aérienne. Plus concrètement, les voyageurs pourront acheter sur cette plateforme "un crédit de compensation carbone qui permettra de soutenir des projets environnementaux concrets, participant à réduire la quantité CO2 dans l’atmosphère".
Dans la même dynamique que son concurrent Air France et ses appareils dernière génération plus légers, la compagnie au tiare mène elle aussi une politique de réduction des émissions GES (émissions de gaz à effet de serre) depuis 2015. Ce qui lui a déjà permis de réaliser une "réduction notable de -17 % de nos émissions CO2 en 2019, grâce à l’effet combiné de notre nouvelle flotte d’appareils plus efficients et d’un programme d’actions internes" selon son p-dg, Michel Monvoisin. "Conscient de notre mission de contribuer désormais à la relance du Pays, nous avons pour ambition d’aller plus loin dans cette voie et de développer ce programme de compensation carbone, dans un second temps, afin d’y intégrer à terme des projets environnementaux localisés en Polynésie, de sorte à valoriser davantage les mobilisations locales et ainsi continuer de soutenir les nombreuses initiatives locales visant à préserver la destination de la Polynésie".