Le groupe TO TATOU AI’A s’interroge sur les méthodes employées par le gouvernement TEMARU qui prétend lutter contre ce qu’il appelle le « clientélisme d’un système révolu »!
Après le Service d'aide aux populations (SAP) –qui aurait pu être surnommé le service d'agrément ou d'adhésion du parti– qui incarnait un véritable service du clientélisme et dont sa réelle mission se révèle encore plus limpide à la lecture des témoignages des 31 agents de cabinet affectés au SAP que l'on retrouve dans l’affaire des 95 emplois fictifs ;l’Office Polynésien de l’Habitat devient un simple opérateur dans l’attribution, à des ménages, de subventions destinées à l’implantation d’un logement individuel en habitat dispersé, pour une enveloppe globale d’environ 350 millions F CFP.
Ainsi, depuis février 2012, grâce à un arrêté ministériel passé sous silence, toutes les aides en argent destinées à l’implantation d’un logement individuel sont octroyées par la seule « autorité compétente » qui est le Président de la Polynésie française ou le ministre ayant reçu délégation. Qu’est-il alors advenu de la commission administrative déjà en place ?
Nous traversons une époque pour le moins troublée, où les crises s’accumulent, les « affaires » se bousculent et entament légitimement la confiance du citoyen envers ses représentants politiques.
Et, l’OPH qui était le premier Etablissement Public Industriel et Commercial polynésien à obtenir la certification ISO 9001 en 2008 garantissant sa conformité aux exigences de qualité et aux réglementations, se devait de reconduire sa certification en 2012 mais ne l’a pas fait.
Doit-on comprendre qu’il s’agit là, d’une simple coïncidence de méthodes avec des pratiques similaires, jugées électoralistes et dénoncées par un certain gouvernement TEMARU ?
Auquel cas, le groupe TO TATOU AI’A serait curieux de connaître les motifs de cette modification des mesures d’applications des aides au logement de l’OPH.
Néanmoins, il est bon de rappeler que pour un vrai changement, les Polynésiens disposent d’une arme redoutable qui n’existe qu’en démocratie : son droit de vote. Dans quelques mois, les électeurs seront amenés à l’utiliser. Ce droit fondamental, peut amener un vrai changement s’il est bien utilisé et chacun pourra l’exprimer de manière claire en votant.
Après le Service d'aide aux populations (SAP) –qui aurait pu être surnommé le service d'agrément ou d'adhésion du parti– qui incarnait un véritable service du clientélisme et dont sa réelle mission se révèle encore plus limpide à la lecture des témoignages des 31 agents de cabinet affectés au SAP que l'on retrouve dans l’affaire des 95 emplois fictifs ;l’Office Polynésien de l’Habitat devient un simple opérateur dans l’attribution, à des ménages, de subventions destinées à l’implantation d’un logement individuel en habitat dispersé, pour une enveloppe globale d’environ 350 millions F CFP.
Ainsi, depuis février 2012, grâce à un arrêté ministériel passé sous silence, toutes les aides en argent destinées à l’implantation d’un logement individuel sont octroyées par la seule « autorité compétente » qui est le Président de la Polynésie française ou le ministre ayant reçu délégation. Qu’est-il alors advenu de la commission administrative déjà en place ?
Nous traversons une époque pour le moins troublée, où les crises s’accumulent, les « affaires » se bousculent et entament légitimement la confiance du citoyen envers ses représentants politiques.
Et, l’OPH qui était le premier Etablissement Public Industriel et Commercial polynésien à obtenir la certification ISO 9001 en 2008 garantissant sa conformité aux exigences de qualité et aux réglementations, se devait de reconduire sa certification en 2012 mais ne l’a pas fait.
Doit-on comprendre qu’il s’agit là, d’une simple coïncidence de méthodes avec des pratiques similaires, jugées électoralistes et dénoncées par un certain gouvernement TEMARU ?
Auquel cas, le groupe TO TATOU AI’A serait curieux de connaître les motifs de cette modification des mesures d’applications des aides au logement de l’OPH.
Néanmoins, il est bon de rappeler que pour un vrai changement, les Polynésiens disposent d’une arme redoutable qui n’existe qu’en démocratie : son droit de vote. Dans quelques mois, les électeurs seront amenés à l’utiliser. Ce droit fondamental, peut amener un vrai changement s’il est bien utilisé et chacun pourra l’exprimer de manière claire en votant.