Grande émotion dans ce qui survit de la famille Tahoeraa. On se scandalise et se mobilise soudainement pour la liberté de la presse, du jamais vu ! L’UPLD vient de virer tous les administrateurs autonomistes du CA de TNTV pour les remplacer par des proches, UPLD ou Tavini, faisant peser de graves menaces sur la liberté de l’information.
TNTV avait été concoctée à une époque bénie où seuls les fidèles du régime avaient accès aux caméras pour célébrer quotidiennement leur réussite économique, sociale et politique. Tout ce qui n’était pas en extase devant l’incroyable réussite du père de l’autonomie était banni des studios et les journalistes aux questions stupides n’avaient plus accès aux visions du Grand Timonier.
Après avoir été moquée, décriée, vilipendée, diffamée, chargée de tous les maux de la terre polynésienne par le Tahoeraa et sa télévision, l’UPLD arrivée au pouvoir en 2004 avait respecté ce qui existait : pas de chasse aux sorcières ! Mais les élections approchent, il importe que la chaîne puisse faire son travail sans être sous les reproches des uns et des autres.
Rappelons que l’ancienne présidente du CA, Mme Unutea Hirshon avait démissionné de son poste pour protester contre l’attitude de journalistes qui affichaient clairement leurs positions politiques hostiles à l’UPLD. Certains ont même encouragé les téléspectateurs à rejoindre une manifestation politique anti indépendantiste ! On revenait des années en arrière ! En dépit des mises en garde répétées de la présidente, la direction n’a pas daigné répondre. Chacun endossera sa part de responsabilités.
Ce qui a cours n’est pas une usurpation mais la volonté d’offrir aux téléspectateurs une télévision parfai-tement respectueuse de tous les courants politiques. Cela, l’UPLD est seule à pouvoir le garantir comme le prouvera le déroulement de la campagne.
La communication du Tavini Huiraatira est en mesure de dévoiler la première mesure envisagée par le nouveau conseil d’administration : un détecteur de mensonges sera posé sur les caméras et dans le studio pour garantir une information sans tromperie des Polynésiens. Dans un tel contexte, on comprend parfaitement les réticences du sénateur SDF grand embrouilleur d’ondes et de sa groupie journaliste qui arrondissait ses fins de mois grâce à la générosité de son idole.
TNTV avait été concoctée à une époque bénie où seuls les fidèles du régime avaient accès aux caméras pour célébrer quotidiennement leur réussite économique, sociale et politique. Tout ce qui n’était pas en extase devant l’incroyable réussite du père de l’autonomie était banni des studios et les journalistes aux questions stupides n’avaient plus accès aux visions du Grand Timonier.
Après avoir été moquée, décriée, vilipendée, diffamée, chargée de tous les maux de la terre polynésienne par le Tahoeraa et sa télévision, l’UPLD arrivée au pouvoir en 2004 avait respecté ce qui existait : pas de chasse aux sorcières ! Mais les élections approchent, il importe que la chaîne puisse faire son travail sans être sous les reproches des uns et des autres.
Rappelons que l’ancienne présidente du CA, Mme Unutea Hirshon avait démissionné de son poste pour protester contre l’attitude de journalistes qui affichaient clairement leurs positions politiques hostiles à l’UPLD. Certains ont même encouragé les téléspectateurs à rejoindre une manifestation politique anti indépendantiste ! On revenait des années en arrière ! En dépit des mises en garde répétées de la présidente, la direction n’a pas daigné répondre. Chacun endossera sa part de responsabilités.
Ce qui a cours n’est pas une usurpation mais la volonté d’offrir aux téléspectateurs une télévision parfai-tement respectueuse de tous les courants politiques. Cela, l’UPLD est seule à pouvoir le garantir comme le prouvera le déroulement de la campagne.
La communication du Tavini Huiraatira est en mesure de dévoiler la première mesure envisagée par le nouveau conseil d’administration : un détecteur de mensonges sera posé sur les caméras et dans le studio pour garantir une information sans tromperie des Polynésiens. Dans un tel contexte, on comprend parfaitement les réticences du sénateur SDF grand embrouilleur d’ondes et de sa groupie journaliste qui arrondissait ses fins de mois grâce à la générosité de son idole.