Le Porinetia Ora a trouvé la faille imparable qui va clore définitivement le bec du Tavini Huiratira. Effectivement, les chiffres qu’il a aligné auraient de quoi dégoûter tout amateur de souveraineté sans compter 30 millions pour un voyage…du pain béni…néanmoins !
Son jeune leader M. Teiva Manutahi a décrit cruellement l’état de notre fragilité économique et alimentaire :
limite de notre autonomie alimentaire : 8 jours !
limite de notre autonomie énergétique : 15 jours !
limite de nos médicaments : 30 jours !
Il poursuivit : 68 000 de nos compatriotes, soit 25% de la population sous le seuil de pauvreté ! Tout cela malgré les milliards déversés par la France !
Triste bilan en effet, sauf que ce n’est pas le résultat d’une indépendance qui n’existe pas, c’est le bilan de la Polynésie d’aujourd’hui, française et autonomiste !
Répétons-nous : en 1986 à l’Assemblée, Oscar Temaru propose la création d’une flottille de thoniers qui pêcheraient dans nos eaux alors que japonais et coréens remplissaient leurs cales. Les autonomistes coupent le courant, plus de micro, plus de climatiseur et plus de lumière. Temaru poursuit tandis que les zozonomistes s’amusent à confectionner des cocottes en papier comme à l’école primaire. La Polynésie autonomiste s’est réveillée 10 ans trop tard.
Oscar plaide pour nourrir les écoliers avec du taro comme dans sa commune de Faa’a. Effaré, le maire Papeete commente sur RFO : « Oscar veut nous faire revenir en arrière » ! Aujourd’hui toutes les écoles servent les produits du fenua à nos jeunes. Economies d’importations, encouragement des producteurs locaux.
Devenu président du pays, il clame : « Plantez ! Plantez ! Plantez ! ». Les zozos s’esclaffent : « Il veut nous faire grimper aux cocotiers ! » Les blessures sont cruelles, mais le leader indépendantiste est sûr de sa vision, il croit dans son pays et son peuple : le festival donné par les professionnels de l’élevage sur le Motu Ovini était une véritable réussite…
La démarche souverainiste est logique et porte sur le long terme, un concept qu’ignorent totalement les autonomistes, jouisseurs de l’immédiat, qui ont raté l’après CEP alors que les moyens de l’Etat abondaient encore. Messieurs les autonomistes, vous pouvez féliciter votre champion, celui qui n’a rien réussi à part corrompre et ruiner le pays. Voterez-vous encore en masse pour lui ?
Alors que les idolâtres de la colonisation ne connaissent que l’aller-retour Tahiti-Paris, Oscar Temaru ouvre des voies nouvelles, parle avec un magnat australien du secteur minier qui sauve un hôtel en faillite chez le président Tong Sang, il signe avec la Chine un contrat de production de poisson pour l’exportation, 10 000 emplois polynésiens garantis par contrat, il rencontre des responsables de l’International Seabed Authority pour la reconnaissance de la propriété des fonds marins de la Polynésie au peuple Ma’ohi… C’est cela gouverner, voir loin, explorer des voies nouvelles, rester lucide et ne pas faire cas des esprits étroits. C’est pour cela que nous serons de toute façon « indépendants ». Le mieux serait d’y aller ensemble et en concertation.
Le PO dénonçait dernièrement le déplacement du président et de ses quelques collaborateurs à New York que son leader estimait à 30 millions ! M. Manutahi, n’attendez pas de réponse du président Temaru, il n’a que faire de vos élucubrations, ne vous réfugiez pas derrière le haut commissaire, il a d’autres priorités, prenez donc votre courage à 2 mains et portez plainte vous même, quand on se dit leader, on assume. Maîtrisez vous, re-lisez le budget, prenez le temps de viser, et surtout, trouvez la bonne cible.
Son jeune leader M. Teiva Manutahi a décrit cruellement l’état de notre fragilité économique et alimentaire :
limite de notre autonomie alimentaire : 8 jours !
limite de notre autonomie énergétique : 15 jours !
limite de nos médicaments : 30 jours !
Il poursuivit : 68 000 de nos compatriotes, soit 25% de la population sous le seuil de pauvreté ! Tout cela malgré les milliards déversés par la France !
Triste bilan en effet, sauf que ce n’est pas le résultat d’une indépendance qui n’existe pas, c’est le bilan de la Polynésie d’aujourd’hui, française et autonomiste !
Répétons-nous : en 1986 à l’Assemblée, Oscar Temaru propose la création d’une flottille de thoniers qui pêcheraient dans nos eaux alors que japonais et coréens remplissaient leurs cales. Les autonomistes coupent le courant, plus de micro, plus de climatiseur et plus de lumière. Temaru poursuit tandis que les zozonomistes s’amusent à confectionner des cocottes en papier comme à l’école primaire. La Polynésie autonomiste s’est réveillée 10 ans trop tard.
Oscar plaide pour nourrir les écoliers avec du taro comme dans sa commune de Faa’a. Effaré, le maire Papeete commente sur RFO : « Oscar veut nous faire revenir en arrière » ! Aujourd’hui toutes les écoles servent les produits du fenua à nos jeunes. Economies d’importations, encouragement des producteurs locaux.
Devenu président du pays, il clame : « Plantez ! Plantez ! Plantez ! ». Les zozos s’esclaffent : « Il veut nous faire grimper aux cocotiers ! » Les blessures sont cruelles, mais le leader indépendantiste est sûr de sa vision, il croit dans son pays et son peuple : le festival donné par les professionnels de l’élevage sur le Motu Ovini était une véritable réussite…
La démarche souverainiste est logique et porte sur le long terme, un concept qu’ignorent totalement les autonomistes, jouisseurs de l’immédiat, qui ont raté l’après CEP alors que les moyens de l’Etat abondaient encore. Messieurs les autonomistes, vous pouvez féliciter votre champion, celui qui n’a rien réussi à part corrompre et ruiner le pays. Voterez-vous encore en masse pour lui ?
Alors que les idolâtres de la colonisation ne connaissent que l’aller-retour Tahiti-Paris, Oscar Temaru ouvre des voies nouvelles, parle avec un magnat australien du secteur minier qui sauve un hôtel en faillite chez le président Tong Sang, il signe avec la Chine un contrat de production de poisson pour l’exportation, 10 000 emplois polynésiens garantis par contrat, il rencontre des responsables de l’International Seabed Authority pour la reconnaissance de la propriété des fonds marins de la Polynésie au peuple Ma’ohi… C’est cela gouverner, voir loin, explorer des voies nouvelles, rester lucide et ne pas faire cas des esprits étroits. C’est pour cela que nous serons de toute façon « indépendants ». Le mieux serait d’y aller ensemble et en concertation.
Le PO dénonçait dernièrement le déplacement du président et de ses quelques collaborateurs à New York que son leader estimait à 30 millions ! M. Manutahi, n’attendez pas de réponse du président Temaru, il n’a que faire de vos élucubrations, ne vous réfugiez pas derrière le haut commissaire, il a d’autres priorités, prenez donc votre courage à 2 mains et portez plainte vous même, quand on se dit leader, on assume. Maîtrisez vous, re-lisez le budget, prenez le temps de viser, et surtout, trouvez la bonne cible.