Dans son dernier communiqué, la présidence de la Polynésie française donnait des précisions quant à la mission actuellement menée par Oscar Temaru à New York, aux Etats-Unis, notamment au sujet de la réunion du mardi 18 octobre dernier, où il a rencontré les représentants de l’ISA (International Seabed Authority).
« Accompagné du sénateur Tuheiava, il a pu aborder les aspects techniques et de procédure relatifs à la nécessaire reconnaissance de la propriété des fonds marins de notre Pays au peuple ma’ohi », précise le communiqué. C’est un bien joli communiqué pour expliquer à ceux qui en douteraient que le président Oscar Temaru travaille vraiment.
Sauf qu’il aurait été bien de préciser que l’ISA, autorité internationale des fonds marins, ne s’occupe que de la haute mer, mission définie dans le cadre de la convention des Nations unies sur le droit de la mer, signée à Montego Bay en 1982.
Il aurait également été bien de préciser que l’ISA ne s’occupe évidemment pas des zones économiques exclusives (ZEE) et encore moins de la situation politique d’un pays dépendant ou indépendant.
Dernière précision. L’article 47 du statut de la Polynésie française dispose que « la Polynésie française réglemente et exerce le droit d’exploration et le droit d’exploitation des ressources naturelles biologiques et non biologiques des eaux intérieures, en particulier les rades et les lagons, du sol, du sous-sol et des eaux sur-jacentes de la mer territoriale et de la zone économique exclusive dans le respect des engagements internationaux ».
A part de trouver le secret de la pierre philosophale à New York en cette veille de la fin du monde prédite par les Mayas, on ne connaît toujours pas l’utilité de ce déplacement du président Oscar Temaru, au frais du contribuable polynésien, pour l’avenir du peuple ma’ohi… à qui est déjà reconnu, par le statut d’autonomie, la propriété des fonds marins !
« Accompagné du sénateur Tuheiava, il a pu aborder les aspects techniques et de procédure relatifs à la nécessaire reconnaissance de la propriété des fonds marins de notre Pays au peuple ma’ohi », précise le communiqué. C’est un bien joli communiqué pour expliquer à ceux qui en douteraient que le président Oscar Temaru travaille vraiment.
Sauf qu’il aurait été bien de préciser que l’ISA, autorité internationale des fonds marins, ne s’occupe que de la haute mer, mission définie dans le cadre de la convention des Nations unies sur le droit de la mer, signée à Montego Bay en 1982.
Il aurait également été bien de préciser que l’ISA ne s’occupe évidemment pas des zones économiques exclusives (ZEE) et encore moins de la situation politique d’un pays dépendant ou indépendant.
Dernière précision. L’article 47 du statut de la Polynésie française dispose que « la Polynésie française réglemente et exerce le droit d’exploration et le droit d’exploitation des ressources naturelles biologiques et non biologiques des eaux intérieures, en particulier les rades et les lagons, du sol, du sous-sol et des eaux sur-jacentes de la mer territoriale et de la zone économique exclusive dans le respect des engagements internationaux ».
A part de trouver le secret de la pierre philosophale à New York en cette veille de la fin du monde prédite par les Mayas, on ne connaît toujours pas l’utilité de ce déplacement du président Oscar Temaru, au frais du contribuable polynésien, pour l’avenir du peuple ma’ohi… à qui est déjà reconnu, par le statut d’autonomie, la propriété des fonds marins !