Avec Tonton Clive dans ses baskets, Oscar Temaru pourrait emmener la Polynésie – toujours – française faire le tour du monde. Cela fait plusieurs semaines maintenant que Tonton Clive a fait son apparition dans le paysage local et il est certain qu’il faudra, désormais, faire avec. On l’a vu relancer notre tourisme en finançant le déplacement des éminents participants du Club de Madrid, billets et hôtels compris, puis achetant à plus de 900 millions de Fcfp du Club Med de Bora Bora.
Tonton Clive ne s’arrêterait pas en si bon chemin, ce ne serait pas lui ! Donc le voici à nouveau dégainer son chéquier, tel un Lucky Luke australien tirant plus vite que son ombre, pour financer le déplacement, dont nous ne remettons absolument pas en cause l’utilité, des rameurs polynésiens pour les Jeux Olympiques de Londres afin de participer à la compétition de Dragon Boat, la version asiatique du va’a. Huit millions de Fcfp, ce n’est même pas une goutte d’eau dans l’océan de Tonton Clive, qui, à lui seul, riche comme Crésus, vaut le PIB annuel de la Polynésie – toujours – française : 500 milliards de Fcfp.
Tonton Clive n’a aucune limite. Insubmersible, il l’est certainement, à l’image du Titanic, célèbre de par son destin tragique, dont il fait actuellement construire en Chine, une luxueuse réplique à l’identique. L’argent il en a et il comptera bien en faire profiter ses amis comme il le faut. A six mois des élections territoriales, et tant qu’aucun iceberg ne pointe à l’horizon, avoir Tonton Clive à proximité, ce n’est pas seulement utile, c’est essentiel. Surtout qu’une campagne aux territoriales nécessite des moyens, 50 millions de Fcfp au moins… encore une goutte d’eau pour Tonton Clive.
Tonton Clive, c’est mieux que Tonton Hollande. Parce que pour le deuxième, même s’il est au sommet de l’Etat, tout ne se règle pas d’une signature de chèque, comme pour le premier. Ce serait trop facile. De toute manière, fondamentalement, Oscar Temaru est anti-français. Tout sauf la France, cela a toujours été sa devise. Alors quand l’une des plus grosses fortunes australiennes nous offre gracieusement – peut-être pas ? – son aide, comment s’en passer ?
A la colonisation française, Oscar Temaru propose la colonisation internationale. Allez, Chinois, Australiens, Américains ou Néo-Zélandais, tous autant que vous êtes, tant que vous n’êtes pas Français, parce que de cette nation française, on n’en veut plus ! Venez, les portes sont grandes ouvertes ! Avec le Bhoutan et Fidji en prime, Papeete sera bientôt plus cosmopolite que New York,
en espérant néanmoins que ça ne vire pas au vinaigre mexicain.
Tout le monde veut le bonheur des Polynésiens. A tout rêve, ses ambitions, ses objectifs et surtout ses actions et ses résultats. A tout « pourquoi », son « comment ». Alors que l’on aurait pu penser que le « comment » sortirait du Forum UPLD « Build me a Nation », il viendra en réalité de Tonton Clive, sauveur de la Polynésie – toujours – française, qu’il faudra très certainement rebaptiser sous un nom qui soit plus à l’image de son nouveau colonisateur.
Tonton Clive ne s’arrêterait pas en si bon chemin, ce ne serait pas lui ! Donc le voici à nouveau dégainer son chéquier, tel un Lucky Luke australien tirant plus vite que son ombre, pour financer le déplacement, dont nous ne remettons absolument pas en cause l’utilité, des rameurs polynésiens pour les Jeux Olympiques de Londres afin de participer à la compétition de Dragon Boat, la version asiatique du va’a. Huit millions de Fcfp, ce n’est même pas une goutte d’eau dans l’océan de Tonton Clive, qui, à lui seul, riche comme Crésus, vaut le PIB annuel de la Polynésie – toujours – française : 500 milliards de Fcfp.
Tonton Clive n’a aucune limite. Insubmersible, il l’est certainement, à l’image du Titanic, célèbre de par son destin tragique, dont il fait actuellement construire en Chine, une luxueuse réplique à l’identique. L’argent il en a et il comptera bien en faire profiter ses amis comme il le faut. A six mois des élections territoriales, et tant qu’aucun iceberg ne pointe à l’horizon, avoir Tonton Clive à proximité, ce n’est pas seulement utile, c’est essentiel. Surtout qu’une campagne aux territoriales nécessite des moyens, 50 millions de Fcfp au moins… encore une goutte d’eau pour Tonton Clive.
Tonton Clive, c’est mieux que Tonton Hollande. Parce que pour le deuxième, même s’il est au sommet de l’Etat, tout ne se règle pas d’une signature de chèque, comme pour le premier. Ce serait trop facile. De toute manière, fondamentalement, Oscar Temaru est anti-français. Tout sauf la France, cela a toujours été sa devise. Alors quand l’une des plus grosses fortunes australiennes nous offre gracieusement – peut-être pas ? – son aide, comment s’en passer ?
A la colonisation française, Oscar Temaru propose la colonisation internationale. Allez, Chinois, Australiens, Américains ou Néo-Zélandais, tous autant que vous êtes, tant que vous n’êtes pas Français, parce que de cette nation française, on n’en veut plus ! Venez, les portes sont grandes ouvertes ! Avec le Bhoutan et Fidji en prime, Papeete sera bientôt plus cosmopolite que New York,
en espérant néanmoins que ça ne vire pas au vinaigre mexicain.
Tout le monde veut le bonheur des Polynésiens. A tout rêve, ses ambitions, ses objectifs et surtout ses actions et ses résultats. A tout « pourquoi », son « comment ». Alors que l’on aurait pu penser que le « comment » sortirait du Forum UPLD « Build me a Nation », il viendra en réalité de Tonton Clive, sauveur de la Polynésie – toujours – française, qu’il faudra très certainement rebaptiser sous un nom qui soit plus à l’image de son nouveau colonisateur.