Dans un communiqué de presse le mouvement démocratique étudiant ( LMDE) revient sur la démission de Louise Peltzer et précise sa position quant à la polémique qui a encadré l'affaire du plagiat et les échanges de mails qui ont suivi.
- La démission annoncée par madame la présidente Louise PELTZER n'est en aucun cas une victoire pour le LMDE, cependant il s'avère en effet que notre Université a été très affectée par les divers soucis liés à notre présidente et il semble dès lors que cette décision eut été nécessaire. Nous tenons également à rappeler et insister sur le fait que nous n'avons jamais fait campagne contre Mme Louise PELTZER, notre intérêt principal étant celui de nous mobiliser contre certaines réformes qui selon un nombre considérable d'étudiants et de professeurs étaient inappropriées à notre Université. Lesdites réformes perdureront dans l'avenir avec le nouveau Président de l'Université et il va de soi que le LMDE continuera à se mobiliser contre celles-ci.
- Nous ne souhaitons pas prendre part aux prétendues querelles du racisme à l'Université entre professeurs métropolitains et étudiants puisqu'elles ne sont pas fondées. Il ne s'agit là que de manipulations "politiciennes" au sein de l'Université qui ne reflètent en rien la réalité de la vie sur le campus d'Outumaoro, et qui ne font que desservir l'intérêt de notre Université.
- Nous contestons les propos adressés à Madame la Ministre de l’Education nationale, par Monsieur Gaston TONG SANG à notre égard, au sujet des courriels faisant état de certains propos intolérables vis-à-vis des étudiants polynésiens, affirmant que : « Le Mouvement Démocratique Etudiant (LMDE) se réserve le droit de déposer une plainte collective contre les auteurs de ces propos ». Il n’a jamais été question de déposer une plainte collective contre ces professeurs, mais en réalité de défendre une de nos membres étudiante, qui avait été assimilée à ces courriels et accusée à tort d’être partisane de ces propos dénigrants. Ce faisant, ladite plainte que nous nous réservions le droit de déposer devait viser a contrario et uniquement les personnes ayant révélé les mails privés en question dans cette affaire. Sur ce point, une plainte conjointe a d'ailleurs été déposée par les professeurs et notre membre du LMDE dont le contenu des mails strictement privé a été divulgué, manipulé, tronqué et ainsi détourné de leurs véritables termes.
- Nous tenons également à préciser que nous ne restons cependant pas insensibles aux propos racistes, dénigrants et condamnables de quelques professeurs de l’Université rendus publiques.
- La démission annoncée par madame la présidente Louise PELTZER n'est en aucun cas une victoire pour le LMDE, cependant il s'avère en effet que notre Université a été très affectée par les divers soucis liés à notre présidente et il semble dès lors que cette décision eut été nécessaire. Nous tenons également à rappeler et insister sur le fait que nous n'avons jamais fait campagne contre Mme Louise PELTZER, notre intérêt principal étant celui de nous mobiliser contre certaines réformes qui selon un nombre considérable d'étudiants et de professeurs étaient inappropriées à notre Université. Lesdites réformes perdureront dans l'avenir avec le nouveau Président de l'Université et il va de soi que le LMDE continuera à se mobiliser contre celles-ci.
- Nous ne souhaitons pas prendre part aux prétendues querelles du racisme à l'Université entre professeurs métropolitains et étudiants puisqu'elles ne sont pas fondées. Il ne s'agit là que de manipulations "politiciennes" au sein de l'Université qui ne reflètent en rien la réalité de la vie sur le campus d'Outumaoro, et qui ne font que desservir l'intérêt de notre Université.
- Nous contestons les propos adressés à Madame la Ministre de l’Education nationale, par Monsieur Gaston TONG SANG à notre égard, au sujet des courriels faisant état de certains propos intolérables vis-à-vis des étudiants polynésiens, affirmant que : « Le Mouvement Démocratique Etudiant (LMDE) se réserve le droit de déposer une plainte collective contre les auteurs de ces propos ». Il n’a jamais été question de déposer une plainte collective contre ces professeurs, mais en réalité de défendre une de nos membres étudiante, qui avait été assimilée à ces courriels et accusée à tort d’être partisane de ces propos dénigrants. Ce faisant, ladite plainte que nous nous réservions le droit de déposer devait viser a contrario et uniquement les personnes ayant révélé les mails privés en question dans cette affaire. Sur ce point, une plainte conjointe a d'ailleurs été déposée par les professeurs et notre membre du LMDE dont le contenu des mails strictement privé a été divulgué, manipulé, tronqué et ainsi détourné de leurs véritables termes.
- Nous tenons également à préciser que nous ne restons cependant pas insensibles aux propos racistes, dénigrants et condamnables de quelques professeurs de l’Université rendus publiques.