Ces rencontres placées sous l’égide de l’ouverture, dans un esprit constructif et volontaire, ont permis
d’affirmer que nous sommes tous acteurs du système de soin et de protection sociale ; nous sommes acteurs quand nous y avons recours ; nous sommes acteurs quand nous devons le financer.
Le Conseil a ainsi pris connaissance d’un premier train de mesures qui ont pu être identifiées et chiffrées sur la base de l’engagement des professionnels de santé et des partenaires sociaux.
Ces mesures, soumises à la discussion et à la réflexion de chacun, portent autant sur des actions de régulation et de maîtrise des coûts, que sur la mise en place de financements permettant de faire face au volume prévisionnel des dépenses pour l’année 2011 qui, par définition, prendra en compte les efforts réalisés en matière d’économie.
A ce stade, le déséquilibre prévisionnel lié au financement de la branche assurance maladie évalué au début des travaux à un peu moins de 7 milliards de FCFP, pourrait être réduit de moitié sur la base de ce premier train de mesures.
Les efforts qui ont donc déjà été enregistrés, doivent être amplifiés et les discussions pour aller dans ce sens doivent se poursuivre.
Un second tour de table entre les partenaires sociaux et les professionnels de santé se déroulera donc d’ici le 31 août 2010, date à laquelle le Conseil de la protection sociale et de l’action sociale fera un point ultime sur les mesures visant à assurer le retour à l’équilibre de la protection sociale généralisée pour 2011.
D’ores et déjà, le Pays s’est engagé à apurer le déficit cumulé de l’assurance maladie du régime général des salariés dont le montant au 31 décembre 2010 avoisinera les 16 milliards de FCFP.
Il s’assurera également que l’objectif d’équilibre des comptes 2011 de la protection sociale généralisée soit atteint.
Une fois atteints ces deux objectifs d’apurement et d’équilibre des comptes, la réflexion doit se poursuivre sur la réforme structurelle de la protection sociale généralisée, dont la mise en oeuvre s’appuiera sur l'engagement et la volonté de tous les acteurs de notre système de soin et de protection sociale
d’affirmer que nous sommes tous acteurs du système de soin et de protection sociale ; nous sommes acteurs quand nous y avons recours ; nous sommes acteurs quand nous devons le financer.
Le Conseil a ainsi pris connaissance d’un premier train de mesures qui ont pu être identifiées et chiffrées sur la base de l’engagement des professionnels de santé et des partenaires sociaux.
Ces mesures, soumises à la discussion et à la réflexion de chacun, portent autant sur des actions de régulation et de maîtrise des coûts, que sur la mise en place de financements permettant de faire face au volume prévisionnel des dépenses pour l’année 2011 qui, par définition, prendra en compte les efforts réalisés en matière d’économie.
A ce stade, le déséquilibre prévisionnel lié au financement de la branche assurance maladie évalué au début des travaux à un peu moins de 7 milliards de FCFP, pourrait être réduit de moitié sur la base de ce premier train de mesures.
Les efforts qui ont donc déjà été enregistrés, doivent être amplifiés et les discussions pour aller dans ce sens doivent se poursuivre.
Un second tour de table entre les partenaires sociaux et les professionnels de santé se déroulera donc d’ici le 31 août 2010, date à laquelle le Conseil de la protection sociale et de l’action sociale fera un point ultime sur les mesures visant à assurer le retour à l’équilibre de la protection sociale généralisée pour 2011.
D’ores et déjà, le Pays s’est engagé à apurer le déficit cumulé de l’assurance maladie du régime général des salariés dont le montant au 31 décembre 2010 avoisinera les 16 milliards de FCFP.
Il s’assurera également que l’objectif d’équilibre des comptes 2011 de la protection sociale généralisée soit atteint.
Une fois atteints ces deux objectifs d’apurement et d’équilibre des comptes, la réflexion doit se poursuivre sur la réforme structurelle de la protection sociale généralisée, dont la mise en oeuvre s’appuiera sur l'engagement et la volonté de tous les acteurs de notre système de soin et de protection sociale
