La lecture de la presse de ces deux derniers jours, et plus particulièrement du quotidien Les Nouvelles de Tahiti, pourrait laisser penser qu’une augmentation significative des tarifs pratiqués dans les établissements conventionnés résulterait du retour à une fiscalité normale sur les boissons alcoolisées.
La Présidence tient à clarifier l’impact des taxes dans la structure du prix dans les deux exemples suivants.
Le surcoût lié aux taxes est de 632 F.CFP pour un vin de Bordeaux (75cl) et de
1 703 F.CFP pour un champagne (75cl).
Hors dans les exemples de prix communiqués à la presse par le Conseil des Professionnels de l’Hôtellerie et du syndicat professionnel union polynésienne, ces deux bouteilles affichent respectivement une hausse 4 158 F.CFP et 13 629 F.CFP.
Devant cette inflation du prix de détail sans comparaison possible avec le poids des taxes appliquées, nous invitons les professionnels concernés à éclaircir leur mode de fixation de leurs prix.
Le Président a adressé en ce sens, un courrier aux représentants de la profession.
La Présidence tient à clarifier l’impact des taxes dans la structure du prix dans les deux exemples suivants.
Le surcoût lié aux taxes est de 632 F.CFP pour un vin de Bordeaux (75cl) et de
1 703 F.CFP pour un champagne (75cl).
Hors dans les exemples de prix communiqués à la presse par le Conseil des Professionnels de l’Hôtellerie et du syndicat professionnel union polynésienne, ces deux bouteilles affichent respectivement une hausse 4 158 F.CFP et 13 629 F.CFP.
Devant cette inflation du prix de détail sans comparaison possible avec le poids des taxes appliquées, nous invitons les professionnels concernés à éclaircir leur mode de fixation de leurs prix.
Le Président a adressé en ce sens, un courrier aux représentants de la profession.