Personne ne conteste aujourd’hui que la Polynésie française soit dans une situation générale très difficile avec :
- une protection sociale en voie de faillite quoi qu’en en dise le Président du CA du RGS
- de plus en plus d’emplois détruits
- de moins en moins de recettes
- une vie chère
- une société en déliquescence avec de plus en plus de délinquance violente
- de plus en plus de pauvres
Quand on voit les promesses des uns et des autres, on s’aperçoit qu’on est toujours dans un même schéma, promesses = cadeaux = voix.
Le RRPP n’est pas un parti politique, mais un rassemblement issu de la société civile.
Elu, je ne serai pas soumis aux contraintes des partis politiques qui sont obligés de choisir leurs ministres parmi leurs membres, même s’ils n’ont pas le vivier de compétences suffisantes chez eux.
Dès aujourd’hui, j’appelle l’ensemble de la société polynésienne à changer de mentalité. Pour la composition du gouvernement, je proposerai à chaque parti à l’Assemblée au moins un poste de ministre chacun, pour peu qu’un accord de gouvernement minimum puisse être obtenu. Ce qu’il faut, c’est qu’on s’y mette tous pour sortir notre Polynésie du marasme dans lequel elle se trouve. Quand on se permet de sortir seul du marasme notre pays, c’est un mensonge et un manque d’humilité.
Si nous sommes capables de travailler ensemble, à la calédonienne, je ne doute pas une seconde que Paris appréciera et que la France sera favorable à toute aide que nous demanderons pour que la situation des plus défavorisés s’améliore, mais aussi pour relancer notre économie et pour sauver notre protection sociale.
J’appelle dès aujourd’hui, les futurs élus à travailler ensemble, pour ne s’occuper que de l’intérêt général. Je m’engage à tout faire pour changer de gouvernance, car si nous restons dans le clivage actuel, autonomie contre indépendance, nous ne nous en sortirons pas.
Et surtout, dimanche, j’appelle tous les polynésiens à aller voter.
A dimanche.
Le 19 avril 2013
Pour le RRPP
Emile Robert Ariifaanaunau Vernier
- une protection sociale en voie de faillite quoi qu’en en dise le Président du CA du RGS
- de plus en plus d’emplois détruits
- de moins en moins de recettes
- une vie chère
- une société en déliquescence avec de plus en plus de délinquance violente
- de plus en plus de pauvres
Quand on voit les promesses des uns et des autres, on s’aperçoit qu’on est toujours dans un même schéma, promesses = cadeaux = voix.
Le RRPP n’est pas un parti politique, mais un rassemblement issu de la société civile.
Elu, je ne serai pas soumis aux contraintes des partis politiques qui sont obligés de choisir leurs ministres parmi leurs membres, même s’ils n’ont pas le vivier de compétences suffisantes chez eux.
Dès aujourd’hui, j’appelle l’ensemble de la société polynésienne à changer de mentalité. Pour la composition du gouvernement, je proposerai à chaque parti à l’Assemblée au moins un poste de ministre chacun, pour peu qu’un accord de gouvernement minimum puisse être obtenu. Ce qu’il faut, c’est qu’on s’y mette tous pour sortir notre Polynésie du marasme dans lequel elle se trouve. Quand on se permet de sortir seul du marasme notre pays, c’est un mensonge et un manque d’humilité.
Si nous sommes capables de travailler ensemble, à la calédonienne, je ne doute pas une seconde que Paris appréciera et que la France sera favorable à toute aide que nous demanderons pour que la situation des plus défavorisés s’améliore, mais aussi pour relancer notre économie et pour sauver notre protection sociale.
J’appelle dès aujourd’hui, les futurs élus à travailler ensemble, pour ne s’occuper que de l’intérêt général. Je m’engage à tout faire pour changer de gouvernance, car si nous restons dans le clivage actuel, autonomie contre indépendance, nous ne nous en sortirons pas.
Et surtout, dimanche, j’appelle tous les polynésiens à aller voter.
A dimanche.
Le 19 avril 2013
Pour le RRPP
Emile Robert Ariifaanaunau Vernier