Teave Chaumette, du collectif « Solidarité pour tous » faisant aussi partie du comité de soutien pour Edouard Fritch et Moehara Tupana, la porte-parole (à droite)
PAPEETE, le 12-09-2015 - Constitué depuis un mois et demi, le comité de soutien au gouvernement d’Edouard Fritch s’est présenté à la presse samedi. L’occasion d’insister sur le fait qu’il est « apolitique ».
« Nous sommes là pour défendre la stabilité du gouvernement, défendre l’intérêt de la population, lassés de voir les querelles politiques. Nous ne voulons plus cautionner les rancœurs politiques et nous voulons faire des suggestions à Edouard Fritch. » Ce sont là les motivations du comité de soutien à Edouard Fritch énumérées par la porte-parole Moehara Tupana lors de la présentation de la structure samedi à Papeete. « Nous n’avons pas d’étiquette politique », a-t-elle martelé. « La seule raison pour laquelle nous sommes là, c’est que nous sommes lassés », ajoute-t-elle.
Depuis un mois, ce comité se réunit une fois par semaine. « Créé spontanément par un groupe d’amis », il a pour vocation d’être force de proposition auprès du gouvernement. A leur échelle, les membres du comité ont constitué des groupes de travail correspondants aux thématiques gouvernementales : la jeunesse, le tourisme, l’environnement, la santé, les sports, l’enseignement, etc. Chacun amène ses compétences, « toutes les personnes sont les bienvenues ». 100 personnes seraient déjà présentes aux ateliers thématiques.
Du côté d’Edouard Fritch, qui était sur le retour du forum des îles du Pacifique à Port Moresby au moment de la conférence de presse, il semblerait qu’il ait « entendu » le comité, selon la porte-parole. « C’est sûr que nous n’allons pas toujours lui suggérer des choses qui lui font plaisir mais nous ne voulons pas être bâillonnés, nous sommes la voix du peuple, il faut qu’on se fasse entendre », ajoute Teave Chaumette, présidente du collectif « Solidarité pour tous » faisant également partie du comité de soutien. « Nous disons stop aux manœuvres politiques », conclut Moehara Tupana.
« Nous sommes là pour défendre la stabilité du gouvernement, défendre l’intérêt de la population, lassés de voir les querelles politiques. Nous ne voulons plus cautionner les rancœurs politiques et nous voulons faire des suggestions à Edouard Fritch. » Ce sont là les motivations du comité de soutien à Edouard Fritch énumérées par la porte-parole Moehara Tupana lors de la présentation de la structure samedi à Papeete. « Nous n’avons pas d’étiquette politique », a-t-elle martelé. « La seule raison pour laquelle nous sommes là, c’est que nous sommes lassés », ajoute-t-elle.
Depuis un mois, ce comité se réunit une fois par semaine. « Créé spontanément par un groupe d’amis », il a pour vocation d’être force de proposition auprès du gouvernement. A leur échelle, les membres du comité ont constitué des groupes de travail correspondants aux thématiques gouvernementales : la jeunesse, le tourisme, l’environnement, la santé, les sports, l’enseignement, etc. Chacun amène ses compétences, « toutes les personnes sont les bienvenues ». 100 personnes seraient déjà présentes aux ateliers thématiques.
Du côté d’Edouard Fritch, qui était sur le retour du forum des îles du Pacifique à Port Moresby au moment de la conférence de presse, il semblerait qu’il ait « entendu » le comité, selon la porte-parole. « C’est sûr que nous n’allons pas toujours lui suggérer des choses qui lui font plaisir mais nous ne voulons pas être bâillonnés, nous sommes la voix du peuple, il faut qu’on se fasse entendre », ajoute Teave Chaumette, présidente du collectif « Solidarité pour tous » faisant également partie du comité de soutien. « Nous disons stop aux manœuvres politiques », conclut Moehara Tupana.
Les membres du comité de soutien