Des habitants des îles Kiribati, des atolls et une île corallienne situés dans le Pacifique Sud, ont déjà dû quitter leurs habitations en raison de la montée des eaux de la mer.
TARAWA, 5 septembre 2011 (AFP) - Le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, s'est engagé lundi à l'occasion d'une visite dans des îles du Pacifique menacées par la montée des eaux, à "poursuivre ses efforts" pour obtenir de "vrais résultats" dans la lutte contre le réchauffement climatique.
"Je vais me faire l'écho de vos inquiétudes auprès du monde, de l'Assemblée générale des Nations Unies et dans les négociations sur le changement climatique à Durban à la fin de l'année", a promis Ban Ki-moon en présence du président des îles Kiribati, Anote Tong.
"Je poursuivrai mes efforts jusqu'à ce que nous obtenions de vrais résultats", a-t-il ajouté, qualifiant le Pacifique et ses innombrables îles menacées par la montée des océans de "ligne de front" du réchauffement climatique.
Des habitants des îles Kiribati, des atolls et une île corallienne situés dans le Pacifique Sud, ont déjà dû quitter leurs habitations en raison de la montée des eaux de la mer.
Le président Tong a quant à lui jugé "hautement improbable" à court terme "tout progrès significatif dans les négociations sur le changement climatique".
La Conférence de Durban (Afrique du Sud) sur le réchauffement climatique, prévue pour se dérouler du 28 novembre au 9 décembre à Durban, offre une dernière chance à la communauté mondiale de prolonger le protocole de Kyoto, qui s'achève en 2012.
Ce protocole est à ce jour le seul instrument légal qui contraint les pays industrialisés à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre à l'origine du changement climatique. Mais les Etats-Unis, la Russie, le Japon et le Canada ont déjà fait savoir qu'ils refuseraient un accord contraignant à Durban.
Ban Ki-moon a quitté les Kiribati et est arrivé lundi en fin de journée en Nouvelle-Zélande, pour participer au Forum des îles Pacifique, qui débute mardi.
str/ns/jah/fmp-gab/bds
"Je vais me faire l'écho de vos inquiétudes auprès du monde, de l'Assemblée générale des Nations Unies et dans les négociations sur le changement climatique à Durban à la fin de l'année", a promis Ban Ki-moon en présence du président des îles Kiribati, Anote Tong.
"Je poursuivrai mes efforts jusqu'à ce que nous obtenions de vrais résultats", a-t-il ajouté, qualifiant le Pacifique et ses innombrables îles menacées par la montée des océans de "ligne de front" du réchauffement climatique.
Des habitants des îles Kiribati, des atolls et une île corallienne situés dans le Pacifique Sud, ont déjà dû quitter leurs habitations en raison de la montée des eaux de la mer.
Le président Tong a quant à lui jugé "hautement improbable" à court terme "tout progrès significatif dans les négociations sur le changement climatique".
La Conférence de Durban (Afrique du Sud) sur le réchauffement climatique, prévue pour se dérouler du 28 novembre au 9 décembre à Durban, offre une dernière chance à la communauté mondiale de prolonger le protocole de Kyoto, qui s'achève en 2012.
Ce protocole est à ce jour le seul instrument légal qui contraint les pays industrialisés à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre à l'origine du changement climatique. Mais les Etats-Unis, la Russie, le Japon et le Canada ont déjà fait savoir qu'ils refuseraient un accord contraignant à Durban.
Ban Ki-moon a quitté les Kiribati et est arrivé lundi en fin de journée en Nouvelle-Zélande, pour participer au Forum des îles Pacifique, qui débute mardi.
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