Des gestes simples pour se protéger et protéger les siens, connus de tous mais qui manquent encore trop souvent de régularité chez les particuliers.
PAPEETE, le 14 octobre 2014. Avec une quinzaine de cas de chikungunya confirmés et des cas suspects à Tahiti, la meilleure prévention contre cette maladie mais aussi contre la dengue, toujours active, reste de tenter d'éviter les piqûres de moustiques. Petits rappels utiles.
Jusqu'à présent, trois foyers distincts de chikungunya ont été identifiés à Tahiti : à Teva i Uta, à Taravao avec des cas groupés ; à Punaauia (pointe des Pêcheurs) avec un cas isolé. Pour éviter la propagation de la maladie à l'ensemble de l'île de Tahiti, il convient en premier lieu pour les personnes atteintes -ou dont les cas sont suspects- d'éviter de se déplacer.
Ces personnes malades doivent également, pour protéger leur entourage, éviter d'être piquées à nouveau par des moustiques qui deviendraient des vecteurs du virus vers d'autres personnes. Pour toutes les personnes saines, la meilleure attitude est également de tout mettre en œuvre pour éviter les piqûres. Il faut à la fois éliminer ou éloigner les moustiques adultes présents dans les domiciles ou aux abords des maisons en utilisant des insecticides ; éliminer autour de sa maison les gîtes larvaires où les moustiques adultes pondent leurs œufs afin de limiter la nouvelle génération de moustiques vecteurs.
Pour éviter les piqûres, l'usage de répulsifs cutanés est recommandé surtout aux heures sensibles : le matin et en début de soirée, au moment où les moustiques femelles, les seules qui piquent, sont les plus actives et ont besoin de leur nourriture de sang. Mais attention, tous les produits répulsifs ne sont pas équitablement efficaces ni recommandés à tous les âges. A l'occasion de l'épidémie de zika, l'an dernier, le Bureau de veille sanitaire du Pays avait établi une liste de produits réputés efficaces et comportant les recommandations d'usage une liste à consulter sur le site Internet du Centre d'hygiène et de salubrité publique ou en CLIQUANT ICI
Le travail de démoustication entrepris par le Pays aux abords des secteurs où des cas de chikungunya ont déjà été enregistrés doit nécessairement s'accompagner d'une prise de conscience et d'une action préventive collective. Eviter l'épidémie semble impossible mais en ralentir au maximum la progression est une responsabilité qui incombe à chacun.
Jusqu'à présent, trois foyers distincts de chikungunya ont été identifiés à Tahiti : à Teva i Uta, à Taravao avec des cas groupés ; à Punaauia (pointe des Pêcheurs) avec un cas isolé. Pour éviter la propagation de la maladie à l'ensemble de l'île de Tahiti, il convient en premier lieu pour les personnes atteintes -ou dont les cas sont suspects- d'éviter de se déplacer.
Ces personnes malades doivent également, pour protéger leur entourage, éviter d'être piquées à nouveau par des moustiques qui deviendraient des vecteurs du virus vers d'autres personnes. Pour toutes les personnes saines, la meilleure attitude est également de tout mettre en œuvre pour éviter les piqûres. Il faut à la fois éliminer ou éloigner les moustiques adultes présents dans les domiciles ou aux abords des maisons en utilisant des insecticides ; éliminer autour de sa maison les gîtes larvaires où les moustiques adultes pondent leurs œufs afin de limiter la nouvelle génération de moustiques vecteurs.
Pour éviter les piqûres, l'usage de répulsifs cutanés est recommandé surtout aux heures sensibles : le matin et en début de soirée, au moment où les moustiques femelles, les seules qui piquent, sont les plus actives et ont besoin de leur nourriture de sang. Mais attention, tous les produits répulsifs ne sont pas équitablement efficaces ni recommandés à tous les âges. A l'occasion de l'épidémie de zika, l'an dernier, le Bureau de veille sanitaire du Pays avait établi une liste de produits réputés efficaces et comportant les recommandations d'usage une liste à consulter sur le site Internet du Centre d'hygiène et de salubrité publique ou en CLIQUANT ICI
Le travail de démoustication entrepris par le Pays aux abords des secteurs où des cas de chikungunya ont déjà été enregistrés doit nécessairement s'accompagner d'une prise de conscience et d'une action préventive collective. Eviter l'épidémie semble impossible mais en ralentir au maximum la progression est une responsabilité qui incombe à chacun.