Nouméa, France | AFP | jeudi 08/01/2015 - Un millier de personnes se sont rassemblées jeudi à Nouméa pour exprimer leur indignation et leur compassion après l'attentat qui a visé l'hebdomadaire satirique Charlie Hebdo, a constaté l'AFP.
Sur le kiosque à musique de la place des Cocotiers, au centre de la capitale de Nouvelle-Calédonie, une banderole "Au nom de la liberté, debout nous sommes, debout nous resterons" avait été déroulée.
"Je suis extrêmement choquée en tant que journaliste et en tant que citoyen. C'est une telle atteinte à la liberté d'expression et à la liberté tout court", a déclaré à l'AFP Charlotte, journaliste indépendante qui a déclenché la manifestation en postant un appel sur les réseaux sociaux.
Sous un soleil de plomb, la plupart des manifestants tenaient des affichettes "Je suis Charlie" tandis que d'autres levaient un stylo.
"La Nouvelle-Calédonie doit évidemment exprimer sa compassion à ceux qui ont été touchés par cet acte ignoble", a lancé devant la foule Elie Poigoune, président de la Ligue des droits de l'Homme de l'archipel.
"Je suis triste, en colère et je me sens orpheline car ces gens, bourrés de talents qui ont toujours su traiter les sujets difficiles avec beaucoup d'humour, m'ont tellement donné envie de dessiner", a déclaré Ice Tea, dessinatrice de presse et auteur de BD.
Les drapeaux étaient en berne sur tous les bâtiments publics tandis que le gouvernement local avait officiellement autorisé les fonctionnaires territoriaux à se rendre à ce rassemblement.
"Partout, on doit résister au nom de la liberté et de l'insolence", a indiqué Peggy, fonctionnaire, se disant "sous le choc".
Sur le kiosque à musique de la place des Cocotiers, au centre de la capitale de Nouvelle-Calédonie, une banderole "Au nom de la liberté, debout nous sommes, debout nous resterons" avait été déroulée.
"Je suis extrêmement choquée en tant que journaliste et en tant que citoyen. C'est une telle atteinte à la liberté d'expression et à la liberté tout court", a déclaré à l'AFP Charlotte, journaliste indépendante qui a déclenché la manifestation en postant un appel sur les réseaux sociaux.
Sous un soleil de plomb, la plupart des manifestants tenaient des affichettes "Je suis Charlie" tandis que d'autres levaient un stylo.
"La Nouvelle-Calédonie doit évidemment exprimer sa compassion à ceux qui ont été touchés par cet acte ignoble", a lancé devant la foule Elie Poigoune, président de la Ligue des droits de l'Homme de l'archipel.
"Je suis triste, en colère et je me sens orpheline car ces gens, bourrés de talents qui ont toujours su traiter les sujets difficiles avec beaucoup d'humour, m'ont tellement donné envie de dessiner", a déclaré Ice Tea, dessinatrice de presse et auteur de BD.
Les drapeaux étaient en berne sur tous les bâtiments publics tandis que le gouvernement local avait officiellement autorisé les fonctionnaires territoriaux à se rendre à ce rassemblement.
"Partout, on doit résister au nom de la liberté et de l'insolence", a indiqué Peggy, fonctionnaire, se disant "sous le choc".
La rédaction des Nouvelles calédoniennes
Rédaction de Nouvelle-Calédonie 1ère