AUCKLAND, jeudi 28 juillet 2011 (Flash d'Océanie) – Les pays et territoires du Pacifique se réuniront du 1er au 5 août 2011 à Auckland afin de tenter de faire le point sur l’impact, dans leur région, des changements climatiques et des catastrophes naturelles qui frappent régulièrement les îles de cette vaste région.
Cette conférence, qui se tiendra sous l’égide du Secrétariat Général de la Communauté du Pacifique (-CPS, basé à Nouméa, Nouvelle-Calédonie) et de son programme région des sciences de la terre (la SOPAC), aura une nouvelle fois pour thème principal la recherche des moyens permettant d’atténuer les effets des changements climatiques ainsi que ceux des nombreux événements climatiques, sous forme de catastrophes naturelles (cyclones, inondations, séismes, tsunamis) qui impactent la zone Océanie.
Il s’agira de la troisième session d’une conférence appelée formellement « Plateforme océanienne pour la gestion du risque lié aux catastrophes naturelles » (Pacific Platform for Disaster Risk Management).
« Il s’agit surtout, pour ce genre de réunions, de parvenir à une feuille de route pour permettre aux pays insulaires du Pacifique, d’ici à 2015, de se rapprocher d’une stratégie régionale intégrée ne matière de gestion du risque lié aux catastrophes naturelles et aux changements climatiques », a précisé en guise de lever de rideau Mosese Sikivou, directeur adjoint de la branche SOPAC à la CPS.
Tout en soulignant l’importance de la notion de réduction de la vulnérabilité, il souligne aussi la vocation de ce genre de réunion régionale pour « partager les expérience vécues jusqu’ici et (…) en tirer les conclusions pour l’avenir (…) pour être mieux préparés à répondre et à nous rétablir de ces catastrophes ».
Un nombre important d’organisations régionales et internationales et de gouvernements, tous impliqués dans des actions d’aide au développement pour le Pacifique, co-organisent aussi ce séminaire régional.
Il s’agit notamment des Nations-Unies (dont plusieurs de ses agences dédiées à ces questions), de la Nouvelle-Zélande, des États-Unis, de la Croix Rouge Internationale, de la Banque Mondiale, de l’agence australienne d’aide internationale au développement [AusAid], de l’Union Européenne et du Fonds du gouvernement français pour la coopération éducative, scientifique et culturelle pour le Pacifique, précisent les organisateurs dans un communiqué.
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Cette conférence, qui se tiendra sous l’égide du Secrétariat Général de la Communauté du Pacifique (-CPS, basé à Nouméa, Nouvelle-Calédonie) et de son programme région des sciences de la terre (la SOPAC), aura une nouvelle fois pour thème principal la recherche des moyens permettant d’atténuer les effets des changements climatiques ainsi que ceux des nombreux événements climatiques, sous forme de catastrophes naturelles (cyclones, inondations, séismes, tsunamis) qui impactent la zone Océanie.
Il s’agira de la troisième session d’une conférence appelée formellement « Plateforme océanienne pour la gestion du risque lié aux catastrophes naturelles » (Pacific Platform for Disaster Risk Management).
« Il s’agit surtout, pour ce genre de réunions, de parvenir à une feuille de route pour permettre aux pays insulaires du Pacifique, d’ici à 2015, de se rapprocher d’une stratégie régionale intégrée ne matière de gestion du risque lié aux catastrophes naturelles et aux changements climatiques », a précisé en guise de lever de rideau Mosese Sikivou, directeur adjoint de la branche SOPAC à la CPS.
Tout en soulignant l’importance de la notion de réduction de la vulnérabilité, il souligne aussi la vocation de ce genre de réunion régionale pour « partager les expérience vécues jusqu’ici et (…) en tirer les conclusions pour l’avenir (…) pour être mieux préparés à répondre et à nous rétablir de ces catastrophes ».
Un nombre important d’organisations régionales et internationales et de gouvernements, tous impliqués dans des actions d’aide au développement pour le Pacifique, co-organisent aussi ce séminaire régional.
Il s’agit notamment des Nations-Unies (dont plusieurs de ses agences dédiées à ces questions), de la Nouvelle-Zélande, des États-Unis, de la Croix Rouge Internationale, de la Banque Mondiale, de l’agence australienne d’aide internationale au développement [AusAid], de l’Union Européenne et du Fonds du gouvernement français pour la coopération éducative, scientifique et culturelle pour le Pacifique, précisent les organisateurs dans un communiqué.
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