PAPEETE, le 23 juillet 2018 - Jordane Carrère-Pangaud et ses plats vegans "Veg’iti" ont été invités aux championnats du monde de va’a vitesse à Arue. Car, parmi les athlètes, ils sont près de 300 (sur plus de 3 000) à ne pas manger de produits d’origine animale. Hors compétition, Jordane Carrère-Pangaud livre ses préparations entre Mahina et Faa’a tous les jours de la semaine.
Professeure de yoga, surfeuse et fondatrice de Veg’iti, Jordane Carrère-Pangaud est convaincue des bienfaits d’un régime vegan. "Pour l’avoir vécu et l’avoir lu, il améliore les performances sportives. En devenant végane, j’ai aussi été moins fatiguée." Pour toutes ces raisons et "pour aider les gens à mieux manger", Jordane Carrère-Pangaud s’est mise à cuisiner des plats sans utiliser aucun produit d’origine animale.
Les organisateurs des championnats du monde de va’a vitesse l’ont fait venir à Aorai tini hau à Arue pour proposer une offre de repas adaptée aux athlètes qui suivent le même régime que la fondatrice de Veg’iti. Ils sont à peu près 300 sur les presque 3 000 athlètes attendus.
Sur le stand Veg’iti, ils peuvent trouver des bols "équilibrés et copieux", précise la cuisinière qui contiennent "des formes de protéines végétales, des légumes et des céréales". Ils peuvent aussi se délecter de sablés ou cookies au gingembre, de brownies au coco, de barres de céréales énergisantes et se désaltérer avec des smoothies, de la citronnade fraîche ou bien du jus de coco.
Au-delà de l’aspect nutritionnel du véganisme, Jordane Carrère-Pangaud est sensible à l’aspect environnemental. "Je suis végane pour des tas raison, y compris des raisons écologiques." Aussi n’y a t-il aucun plastique sur son stand à Aorai tini hau et tout est biodégradable. Elle fournit des gobelets puis met l’eau à disposition de ses clients à volonté et gratuitement.
Pour les amateurs, le reste de l’année, les commandes de plats vegans sont possibles tous les jours de la semaine. Ils sont livrés entre Mahina et Faa’a. De nombreux sportifs suivent déjà Jordane Carrère-Pangaud comme Vahine Fierro, la surfeuse ou bien Hinatea Bernardino, la rameuse.
Veg’iti s’adresse aussi à tous ceux qui ne peuvent pas résister à un plat de viande de temps ou un bon poisson cru. "Je n’impose rien à personne", insiste Jordan Carrère-Pangaud. "J’essaie juste d’éveiller la curiosité. Les gens qui ne connaissent pas et qui goûtent mes plats ou gâteaux sont toujours très surpris de découvrir que c’est savoureux. Le véganisme fait peur mais je crois que c’est l’avenir. On va devoir augmenter la part de végétal dans notre alimentation car les industries de la viande, du lait sont extrêmement polluantes."
Dans l’avenir, l’entrepreneuse espère développer Veg’iti, trouver un lieu de vente en ville par exemple et un lieu de fabrication. "Pas un restaurant pour l’instant, seulement un espace plus visible." En attendant, elle est à Aorai tini hau jusqu’à la fin des championnats.
Professeure de yoga, surfeuse et fondatrice de Veg’iti, Jordane Carrère-Pangaud est convaincue des bienfaits d’un régime vegan. "Pour l’avoir vécu et l’avoir lu, il améliore les performances sportives. En devenant végane, j’ai aussi été moins fatiguée." Pour toutes ces raisons et "pour aider les gens à mieux manger", Jordane Carrère-Pangaud s’est mise à cuisiner des plats sans utiliser aucun produit d’origine animale.
Les organisateurs des championnats du monde de va’a vitesse l’ont fait venir à Aorai tini hau à Arue pour proposer une offre de repas adaptée aux athlètes qui suivent le même régime que la fondatrice de Veg’iti. Ils sont à peu près 300 sur les presque 3 000 athlètes attendus.
Sur le stand Veg’iti, ils peuvent trouver des bols "équilibrés et copieux", précise la cuisinière qui contiennent "des formes de protéines végétales, des légumes et des céréales". Ils peuvent aussi se délecter de sablés ou cookies au gingembre, de brownies au coco, de barres de céréales énergisantes et se désaltérer avec des smoothies, de la citronnade fraîche ou bien du jus de coco.
Au-delà de l’aspect nutritionnel du véganisme, Jordane Carrère-Pangaud est sensible à l’aspect environnemental. "Je suis végane pour des tas raison, y compris des raisons écologiques." Aussi n’y a t-il aucun plastique sur son stand à Aorai tini hau et tout est biodégradable. Elle fournit des gobelets puis met l’eau à disposition de ses clients à volonté et gratuitement.
Pour les amateurs, le reste de l’année, les commandes de plats vegans sont possibles tous les jours de la semaine. Ils sont livrés entre Mahina et Faa’a. De nombreux sportifs suivent déjà Jordane Carrère-Pangaud comme Vahine Fierro, la surfeuse ou bien Hinatea Bernardino, la rameuse.
Veg’iti s’adresse aussi à tous ceux qui ne peuvent pas résister à un plat de viande de temps ou un bon poisson cru. "Je n’impose rien à personne", insiste Jordan Carrère-Pangaud. "J’essaie juste d’éveiller la curiosité. Les gens qui ne connaissent pas et qui goûtent mes plats ou gâteaux sont toujours très surpris de découvrir que c’est savoureux. Le véganisme fait peur mais je crois que c’est l’avenir. On va devoir augmenter la part de végétal dans notre alimentation car les industries de la viande, du lait sont extrêmement polluantes."
Dans l’avenir, l’entrepreneuse espère développer Veg’iti, trouver un lieu de vente en ville par exemple et un lieu de fabrication. "Pas un restaurant pour l’instant, seulement un espace plus visible." En attendant, elle est à Aorai tini hau jusqu’à la fin des championnats.