Teura Tupaia est depuis quelques années le surdoué de l’athlétisme polynésien. Licencié au club d’Aorai, il a eu le courage de partir, malgré son jeune âge, pour tenter sa chance en métropole. Après avoir obtenu deux titres de champion de France en lancer de javelot dans la catégorie cadet, il a obtenu en 2018 son premier titre de champion de France junior avec un lancer à plus de 70 mètres. Fera-t-il aussi bien que son frère Kevin Mayer recordman du monde du décathlon cette année ? Teura Tupaia travaille dur et il a désormais mis toutes les chances de son côté en intégrant le centre de ressources et de performances de Montpellier…
Quatre questions à Teura Tupaia :
Tes débuts ?
« J’ai commencé l’athlétisme à l’âge de 11 ans avec mon cousin Teiva Brinckfieldt et mon oncle Leo Brinckfieldt qui est depuis toujours mon entraîneur. Je faisais déjà du handball avant de faire l’athlétisme car toute ma famille est dans le handball (père, frères et mère). Avant de me spécialiser dans le javelot, je faisais de tout (course, saut et lancer). J’affectionne plus particulièrement les haies, la hauteur et le javelot. Plus les années ont passé et plus je me suis donné à fond dans ces disciplines, notamment dans le lancer du javelot, ce qui m’a permis d’arriver à ce niveau. »
Tes plus beaux succès en compétition ? Une anecdote ?
« Lors des championnats d’Australie en 2017, en sortie de blessure, je n’avais pas touché à un javelot depuis cinq mois, de août à décembre 2016. Il ne me restait que trois mois pour m’entraîner avant les championnats d’Australie pour pouvoir faire les minimas demandés par la fédération française pour les championnats du monde. Le jour de la compétition, je stressais et je n’avais qu’une envie, c’était de gagner. Je me place finalement deuxième avec un record de Polynésie à 75m45 alors que les minimas pour les championnats du monde qui étaient de 71m. »
Tes motivations ?
« Mes motivations sont le plaisir, le plaisir de faire du sport. La compétition, le sport sont comme un jeu pour moi, c’est ma drogue en quelque sorte. »
Tes objectifs ? Un message ?
« Mes objectifs à court terme sont les championnats de France hivernaux 2019, les championnats de France 2019, les championnats d’Europe 2019, les championnats de France élite 2019 et les Jeux du Pacifique 2019. Puis à long terme ce sont les Jeux du Pacifique 2023 et les Jeux Olympiques 2024. Je voudrais dire à tout ce ceux qui ont des rêves dans le sport ou autre de les vivre, qu’il faut tout faire pour y arriver, qu’il faut être persévérant et ne jamais abandonner. »
« J’ai commencé l’athlétisme à l’âge de 11 ans avec mon cousin Teiva Brinckfieldt et mon oncle Leo Brinckfieldt qui est depuis toujours mon entraîneur. Je faisais déjà du handball avant de faire l’athlétisme car toute ma famille est dans le handball (père, frères et mère). Avant de me spécialiser dans le javelot, je faisais de tout (course, saut et lancer). J’affectionne plus particulièrement les haies, la hauteur et le javelot. Plus les années ont passé et plus je me suis donné à fond dans ces disciplines, notamment dans le lancer du javelot, ce qui m’a permis d’arriver à ce niveau. »
Tes plus beaux succès en compétition ? Une anecdote ?
« Lors des championnats d’Australie en 2017, en sortie de blessure, je n’avais pas touché à un javelot depuis cinq mois, de août à décembre 2016. Il ne me restait que trois mois pour m’entraîner avant les championnats d’Australie pour pouvoir faire les minimas demandés par la fédération française pour les championnats du monde. Le jour de la compétition, je stressais et je n’avais qu’une envie, c’était de gagner. Je me place finalement deuxième avec un record de Polynésie à 75m45 alors que les minimas pour les championnats du monde qui étaient de 71m. »
Tes motivations ?
« Mes motivations sont le plaisir, le plaisir de faire du sport. La compétition, le sport sont comme un jeu pour moi, c’est ma drogue en quelque sorte. »
Tes objectifs ? Un message ?
« Mes objectifs à court terme sont les championnats de France hivernaux 2019, les championnats de France 2019, les championnats d’Europe 2019, les championnats de France élite 2019 et les Jeux du Pacifique 2019. Puis à long terme ce sont les Jeux du Pacifique 2023 et les Jeux Olympiques 2024. Je voudrais dire à tout ce ceux qui ont des rêves dans le sport ou autre de les vivre, qu’il faut tout faire pour y arriver, qu’il faut être persévérant et ne jamais abandonner. »
Carte d'identité
Né le 6 février 2000 à Papeete
Origines : Père Tahitien de Raiatea et mère demi-Tahitienne, demi-Française de Tahiti
Situation familiale : célibataire
Un héros de ton enfance ? : Mon grand frère, Kevin Mayer, détenteur du record du monde de décathlon.
Si tu étais un animal ? Un aigle parce que je pourrais survoler n’importe quel endroit magnifique et me sentir libre.
Une valeur morale ? Ne jamais abandonner et toujours faire son maximum.
Ton activité professionnelle ? Actuellement en terminale S
Tes sponsors ? Air Tahiti nui
Trois meilleurs résultats de ton palmarès 2018
Championnat d’Australie 2017, médaille d’argent Record de Polynésie à 75m43. Championnat de France 2018, médaille d’or
Origines : Père Tahitien de Raiatea et mère demi-Tahitienne, demi-Française de Tahiti
Situation familiale : célibataire
Un héros de ton enfance ? : Mon grand frère, Kevin Mayer, détenteur du record du monde de décathlon.
Si tu étais un animal ? Un aigle parce que je pourrais survoler n’importe quel endroit magnifique et me sentir libre.
Une valeur morale ? Ne jamais abandonner et toujours faire son maximum.
Ton activité professionnelle ? Actuellement en terminale S
Tes sponsors ? Air Tahiti nui
Trois meilleurs résultats de ton palmarès 2018
Championnat d’Australie 2017, médaille d’argent Record de Polynésie à 75m43. Championnat de France 2018, médaille d’or