Tahiti, le 12 décembre 2024 - Samedi se déroulera, à la salle de l’AS Aorai de Pirae, le challenge ATN de judo, regroupant 178 participants venant de Polynésie, de Nouvelle-Calédonie, de France, mais aussi des États-Unis. Un tournoi international qui viendra clore une semaine intense pour nos judokas, car ils ont eu la chance et l’honneur de bénéficier, durant quelques séances, des conseils du double champion du monde japonais Jōshirō Maruyama.
Arrivé vendredi 6 décembre à l’aéroport de Tahiti-Faa’a et accueilli comme il se doit par toute la famille du judo polynésien, le japonais Jōshirō Maruyama, champion du monde des moins de 66 kg en 2019 et 2021, a posé ses valises au Fenua pour une semaine qui s’annonçait des plus intenses. Avec un stage qui allait durer quatre jours, le champion japonais pouvait distiller sa science du judo avec toute la simplicité et la gentillesse qui font de lui une idole dans son pays, mais aussi à l’étranger. Organisé par la Fédération polynésienne de judo, ce stage a permis à de nombreux judokas et judokates de bénéficier des conseils du maître. D’abord organisé pour les participants du challenge ATN, qui se déroulera ce samedi à la salle de l’AS Aorai de Pirae, le stage a été ouvert aux licenciés à partir des benjamins.
“On a ouvert les sessions du mercredi, jeudi et vendredi de 17 à 19 heures aux 10 ans et plus. Jōshirō a été d’accord, ça prouve sa gentillesse et son envie d’apprendre à la jeune génération”, nous expliquait le cadre technique de la fédération, Franck Bellard. “Le mercredi après-midi, nous avons mis en place une session pour les scolaires et les tout-petits. On a aussi ajouté un rendez-vous avec les professeurs et les ceintures noires, beaucoup plus axé sur la technique avec une approche plus experte, car c’était important d’aller vers ce domaine pour les plus gradés. C’était l’occasion pour eux d’échanger avec Jōshirō sur son expertise technique du judo.” Une aubaine pour tous ces amoureux des tatamis. Une semaine enrichissante pour tous, avec en point de mire la compétition de samedi.
178 participants au challenge ATN
Un challenge qui accueillera 178 participants, de la catégorie minimes U14 (enfants nés entre 2011 et 2013) jusqu’à la catégorie Élite (enfants nés avant 2011), garçons et filles. Venus de Nouvelle-Calédonie, de France et des États-Unis, les participants vont relever le niveau de la compétition. Pour Franck Bellard, il était important de bien organiser les catégories pour plus de mixité et de challenge : “En minimes, nous aurons des Calédoniens, mais seulement des filles. Chez les moins de 17 ans, des garçons et des filles venant du pôle espoirs judo de Nouméa seront présents. Ils seront supervisés sur ce tournoi pour les futures qualifications aux championnats de France, tout comme les nôtres. C’est en Élite que toutes les nationalités seront représentées, puisqu’en plus des Calédoniens, il y aura des Français et un Américain. On va monter en niveau, cela va permettre à nos athlètes de se jauger, surtout que pour les meilleurs de chaque catégorie, on leur propose de combattre dans la catégorie supérieure pour vraiment se tester. Mais sans prendre de risque, puisque nous allons équilibrer les poids pour que les participants combattent en toute sécurité.”
De l’aube jusqu’au coucher du soleil, les combats vont s’enchaîner sous l’œil avisé du Sensei. Tous les judokas et judokates voudront briller et lui montrer les fruits de ses conseils. Une compétition qui risque d’être intense et qui nous promet des combats de haut niveau.
Arrivé vendredi 6 décembre à l’aéroport de Tahiti-Faa’a et accueilli comme il se doit par toute la famille du judo polynésien, le japonais Jōshirō Maruyama, champion du monde des moins de 66 kg en 2019 et 2021, a posé ses valises au Fenua pour une semaine qui s’annonçait des plus intenses. Avec un stage qui allait durer quatre jours, le champion japonais pouvait distiller sa science du judo avec toute la simplicité et la gentillesse qui font de lui une idole dans son pays, mais aussi à l’étranger. Organisé par la Fédération polynésienne de judo, ce stage a permis à de nombreux judokas et judokates de bénéficier des conseils du maître. D’abord organisé pour les participants du challenge ATN, qui se déroulera ce samedi à la salle de l’AS Aorai de Pirae, le stage a été ouvert aux licenciés à partir des benjamins.
“On a ouvert les sessions du mercredi, jeudi et vendredi de 17 à 19 heures aux 10 ans et plus. Jōshirō a été d’accord, ça prouve sa gentillesse et son envie d’apprendre à la jeune génération”, nous expliquait le cadre technique de la fédération, Franck Bellard. “Le mercredi après-midi, nous avons mis en place une session pour les scolaires et les tout-petits. On a aussi ajouté un rendez-vous avec les professeurs et les ceintures noires, beaucoup plus axé sur la technique avec une approche plus experte, car c’était important d’aller vers ce domaine pour les plus gradés. C’était l’occasion pour eux d’échanger avec Jōshirō sur son expertise technique du judo.” Une aubaine pour tous ces amoureux des tatamis. Une semaine enrichissante pour tous, avec en point de mire la compétition de samedi.
178 participants au challenge ATN
Un challenge qui accueillera 178 participants, de la catégorie minimes U14 (enfants nés entre 2011 et 2013) jusqu’à la catégorie Élite (enfants nés avant 2011), garçons et filles. Venus de Nouvelle-Calédonie, de France et des États-Unis, les participants vont relever le niveau de la compétition. Pour Franck Bellard, il était important de bien organiser les catégories pour plus de mixité et de challenge : “En minimes, nous aurons des Calédoniens, mais seulement des filles. Chez les moins de 17 ans, des garçons et des filles venant du pôle espoirs judo de Nouméa seront présents. Ils seront supervisés sur ce tournoi pour les futures qualifications aux championnats de France, tout comme les nôtres. C’est en Élite que toutes les nationalités seront représentées, puisqu’en plus des Calédoniens, il y aura des Français et un Américain. On va monter en niveau, cela va permettre à nos athlètes de se jauger, surtout que pour les meilleurs de chaque catégorie, on leur propose de combattre dans la catégorie supérieure pour vraiment se tester. Mais sans prendre de risque, puisque nous allons équilibrer les poids pour que les participants combattent en toute sécurité.”
De l’aube jusqu’au coucher du soleil, les combats vont s’enchaîner sous l’œil avisé du Sensei. Tous les judokas et judokates voudront briller et lui montrer les fruits de ses conseils. Une compétition qui risque d’être intense et qui nous promet des combats de haut niveau.