Les 17 étudiants diplômés de l'ECT ont fait honneur à leur parrain, Tahiti Infos, avec un taux de réussite de 100%.
PAPEETE, le 30 aout 2017 - Les 17 élèves de l'École de Commerce de Tahiti, dont Tahiti Infos parraine la promotion depuis trois ans, et les 14 étudiants de la licence de Droit Economie et Gestion, ont reçu leurs diplômes ce mercredi lors d'une cérémonie de graduation à la Présidence. Discours officiels, remise de cadeaux aux meilleurs élèves et lancé de chapeau… Maintenant c'est parti pour la vie active !
Les 31 élèves diplômés des cursus bac+3 de la CCISM étaient à la présidence ce mercredi 30 aout pour la cérémonie de "graduation" qui signe la fin de leur cursus. Vêtus de robes noires et écharpes aux motifs pareo, ils ont tous reçu divers cadeaux de la part de leur école et de ses sponsors, et surtout un mortier, ce chapeau carré qu'il est de tradition de jeter vigoureusement en l'air une fois les étudiants libérés de leur vie scolaire.
Les 17 étudiants de l'Ecole de Commerce de Tahiti (ECT), la promotion parrainée par Tahiti Infos depuis qu'ils ont intégré l'école en 2014, ont été félicités pour un beau taux de réussite à l'examen de 100%, et une bonne insertion professionnelle : 50% de la promo est déjà embauchée à peine sortie de l'école. Les 14 étudiants de la licence, proposée en partenariat avec le CNAM, ont obtenu un taux de réussite de 87%. Un gros tiers de cette promotion est repartie pour un master, tandis qu'un autre tiers est déjà intégré dans la vie active.
C'est la cinquième année que cette cérémonie est organisée, et la tradition est maintenant bien établie. Lancer de mortiers pour les photographes, remise des chevalières à l'effigie de l'école aux diplômés de l'ECT et parents très émus… C'est pourtant également la fin d'une époque, avec un renouvellement important de l'équipe pédagogique. Mais pas d'inquiétude, la nouvelle responsable pédagogique de l'ECT, Vanessa Tiaipoi, a toutes les qualités pour tirer cette formation vers de nouveaux sommets (voir interview).
Les 31 élèves diplômés des cursus bac+3 de la CCISM étaient à la présidence ce mercredi 30 aout pour la cérémonie de "graduation" qui signe la fin de leur cursus. Vêtus de robes noires et écharpes aux motifs pareo, ils ont tous reçu divers cadeaux de la part de leur école et de ses sponsors, et surtout un mortier, ce chapeau carré qu'il est de tradition de jeter vigoureusement en l'air une fois les étudiants libérés de leur vie scolaire.
Les 17 étudiants de l'Ecole de Commerce de Tahiti (ECT), la promotion parrainée par Tahiti Infos depuis qu'ils ont intégré l'école en 2014, ont été félicités pour un beau taux de réussite à l'examen de 100%, et une bonne insertion professionnelle : 50% de la promo est déjà embauchée à peine sortie de l'école. Les 14 étudiants de la licence, proposée en partenariat avec le CNAM, ont obtenu un taux de réussite de 87%. Un gros tiers de cette promotion est repartie pour un master, tandis qu'un autre tiers est déjà intégré dans la vie active.
C'est la cinquième année que cette cérémonie est organisée, et la tradition est maintenant bien établie. Lancer de mortiers pour les photographes, remise des chevalières à l'effigie de l'école aux diplômés de l'ECT et parents très émus… C'est pourtant également la fin d'une époque, avec un renouvellement important de l'équipe pédagogique. Mais pas d'inquiétude, la nouvelle responsable pédagogique de l'ECT, Vanessa Tiaipoi, a toutes les qualités pour tirer cette formation vers de nouveaux sommets (voir interview).
Vanessa Tiaipoi, nouvelle responsable des études de l'ECT
"On est en plein dans l'océanisation des cadres"
Peux-tu te présenter ?
"J'ai un cursus dans la formation initiale et la formation continue, j'ai notamment été conseillère pédagogique et maitre formateur. J'ai également été cadre dans une société d'édition de supports de communication du Territoire. Ces deux casquettes sont intéressantes pour animer l'école de commerce. J'ai aussi créé une entreprise d'activité touristique avec mon mari.
Ce sont ces multiples expériences dont tu veux faire profiter les élèves de l'école de commerce ?
"Mon domaine de prédilection c'est vraiment la formation, cette transmission des savoirs, que j'ai laissé de côté pour vraiment voir le monde de l'entreprise de l'intérieur, quand j'ai été cadre dans une entreprise. Du coup je reviens encore mieux armée pour leur parler concrètement de ce qui les attend.
Que penses-tu de l'École de Commerce aujourd'hui ? Que vas-tu lui apporter ?
"Je pense que c'est une bonne chose que l'école de commerce ait été créée car les entreprises manquent cruellement d'élèves diplômés pour pourvoir des postes vacants en Polynésie. Donc vraiment on est en plein dans l'océanisation des cadres. Et c'est un cursus parfait parce qu'il allie cours théoriques et initiation à la vie professionnelle. En trois ans ils ont le temps d'adopter un comportement compatible avec la vie professionnelle et peuvent s'insérer facilement en entreprise. Donc dans un premier temps je vais essayer de faire perdurer ce qui existe, qui est déjà de qualité, et après l'objectif sera de déployer encore plus le partenariat avec les entreprises locales, répondre vraiment à leurs attentes pour pouvoir former des profils qui correspondent parfaitement aux besoins du pays."
Peux-tu te présenter ?
"J'ai un cursus dans la formation initiale et la formation continue, j'ai notamment été conseillère pédagogique et maitre formateur. J'ai également été cadre dans une société d'édition de supports de communication du Territoire. Ces deux casquettes sont intéressantes pour animer l'école de commerce. J'ai aussi créé une entreprise d'activité touristique avec mon mari.
Ce sont ces multiples expériences dont tu veux faire profiter les élèves de l'école de commerce ?
"Mon domaine de prédilection c'est vraiment la formation, cette transmission des savoirs, que j'ai laissé de côté pour vraiment voir le monde de l'entreprise de l'intérieur, quand j'ai été cadre dans une entreprise. Du coup je reviens encore mieux armée pour leur parler concrètement de ce qui les attend.
Que penses-tu de l'École de Commerce aujourd'hui ? Que vas-tu lui apporter ?
"Je pense que c'est une bonne chose que l'école de commerce ait été créée car les entreprises manquent cruellement d'élèves diplômés pour pourvoir des postes vacants en Polynésie. Donc vraiment on est en plein dans l'océanisation des cadres. Et c'est un cursus parfait parce qu'il allie cours théoriques et initiation à la vie professionnelle. En trois ans ils ont le temps d'adopter un comportement compatible avec la vie professionnelle et peuvent s'insérer facilement en entreprise. Donc dans un premier temps je vais essayer de faire perdurer ce qui existe, qui est déjà de qualité, et après l'objectif sera de déployer encore plus le partenariat avec les entreprises locales, répondre vraiment à leurs attentes pour pouvoir former des profils qui correspondent parfaitement aux besoins du pays."
Tini-Ata Guyot, major de promotion de la licence en Droit, Économie et Gestion
La major a reçu un billet pour Auckland en récompense
"Je vais partir pour un master de commerce international en France "
"Après avoir validé mon BTS commerce international, cette licence en un an de plus était dans la continuité logique. Et là je vais partir pour un master en France, toujours dans le commerce international, pour, j'espère, devenir responsable en import-export. C'est vrai que c'est un parcours original, au début, comme j'avais fait un bac littéraire, je me disais que le commerce était un petit trop décalé, mais finalement le BTS m'a beaucoup plus, et encore plus cette année, donc je continue. Quand j'aurai fini, j'imagine commencer à travailler dans le marketing puis dans l'import-export, toujours en Polynésie !"
"Après avoir validé mon BTS commerce international, cette licence en un an de plus était dans la continuité logique. Et là je vais partir pour un master en France, toujours dans le commerce international, pour, j'espère, devenir responsable en import-export. C'est vrai que c'est un parcours original, au début, comme j'avais fait un bac littéraire, je me disais que le commerce était un petit trop décalé, mais finalement le BTS m'a beaucoup plus, et encore plus cette année, donc je continue. Quand j'aurai fini, j'imagine commencer à travailler dans le marketing puis dans l'import-export, toujours en Polynésie !"
Des prix pour les meilleurs élèves
Kimberly Faaruia, major de l'ECT, est en poursuite d'études en métropole. Mais elle a assisté à sa graduation en téléconférence pendant que sa maman la représentait sur scène !
Les majors de promotion ont reçu un billet d’avion aller-retour Papeete-Auckland :
- Kimberly Faaruia, major de l’École de Commerce de Tahiti.
- Tini-Ata Guyot, major de la licence en Droit, Économie et Gestion.
Les étudiants ayant réalisé le meilleur stage se sont vus offrir un bon pour un séjour d’une nuit dans un hôtel de Moorea :
- Livia Beneyte, de l’ECT.
- Raiarii Tapi-Raynal, de la Licence Droit, Économie et Gestion
- Kimberly Faaruia, major de l’École de Commerce de Tahiti.
- Tini-Ata Guyot, major de la licence en Droit, Économie et Gestion.
Les étudiants ayant réalisé le meilleur stage se sont vus offrir un bon pour un séjour d’une nuit dans un hôtel de Moorea :
- Livia Beneyte, de l’ECT.
- Raiarii Tapi-Raynal, de la Licence Droit, Économie et Gestion