Des grévistes étaient encore ce lundi positionnés devant l'entrée de la CPS.
PAPEETE, le 6 avril 2015. Les mouvement sociaux se poursuivent toujours à la Caisse de prévoyance sociale et à l'Huilerie de Tahiti. Un protocole d'accord a été signé jeudi soir à l'OPT.
- Les barrages toujours en place à la CPS
Les grévistes de la CPS ont été en partie satisfaits jeudi par l'adoption par les représentants de la convention entre l’État et le Pays fixant le retour de la participation de l’État au financement du Régime de solidarité territorial (RST). Le gouvernement a en effet retiré au projet de convention la mention de la « finalisation de la renégociation de la convention d'entreprise de la CPS ». Malgré tout cela n'a pas suffi aux grévistes qui demandent toujours, notamment, le départ du directeur Régis Chang. Palettes et pneus bloquaient encore lundi matin l'accès à la Caisse de prévoyance sociale.
- L'huilerie de Tahiti toujours en grève
75 % des salariés de l'Huilerie de Tahiti étaient en grève jeudi dernier. En fin de semaine, direction et grévistes campaient sur leur position. Le syndicat CSTP-FO demande une revalorisation des salaires et dénonce l'installation d'une caméra de surveillance au sein de la société.
L'Huilerie de Tahiti a un rôle essentiel dans l'économie du coprah. Chaque année, elle achète plusieurs milliers de tonnes de coprah. La matière première est ensuite vendue sous la forme d’huile brute, huile raffinée et autre tourteau. Le directeur de l'Huilerie de Tahiti n'est pas au fenua actuellement.
- Fin de grève à l'OPT
Jeudi, une délégation de grévistes de la CPS et de l'OPT s'étaient rendus à l'assemblée. Les grévistes de l'Office des postes et des télécommunications demandaient notamment à rencontrer le président du Pays. Mais on leur a opposé une fin de non-recevoir. Finalement, direction et grévistes ont trouvé un accord dans la nuit de jeudi à vendredi.
Selon nos informations, le protocole signé prévoirait notamment une augmentation des salaires de 1% en 2014 puis d’1% en 2015. En contrepartie, les syndicats se seraient engagés à ne plus faire de demandes de revalorisation de salaires au cours des trois prochaines années.
Mais cet engagement doit encore être validé par les membres du conseil d'administration de l'OPT.
- Les barrages toujours en place à la CPS
Les grévistes de la CPS ont été en partie satisfaits jeudi par l'adoption par les représentants de la convention entre l’État et le Pays fixant le retour de la participation de l’État au financement du Régime de solidarité territorial (RST). Le gouvernement a en effet retiré au projet de convention la mention de la « finalisation de la renégociation de la convention d'entreprise de la CPS ». Malgré tout cela n'a pas suffi aux grévistes qui demandent toujours, notamment, le départ du directeur Régis Chang. Palettes et pneus bloquaient encore lundi matin l'accès à la Caisse de prévoyance sociale.
- L'huilerie de Tahiti toujours en grève
75 % des salariés de l'Huilerie de Tahiti étaient en grève jeudi dernier. En fin de semaine, direction et grévistes campaient sur leur position. Le syndicat CSTP-FO demande une revalorisation des salaires et dénonce l'installation d'une caméra de surveillance au sein de la société.
L'Huilerie de Tahiti a un rôle essentiel dans l'économie du coprah. Chaque année, elle achète plusieurs milliers de tonnes de coprah. La matière première est ensuite vendue sous la forme d’huile brute, huile raffinée et autre tourteau. Le directeur de l'Huilerie de Tahiti n'est pas au fenua actuellement.
- Fin de grève à l'OPT
Jeudi, une délégation de grévistes de la CPS et de l'OPT s'étaient rendus à l'assemblée. Les grévistes de l'Office des postes et des télécommunications demandaient notamment à rencontrer le président du Pays. Mais on leur a opposé une fin de non-recevoir. Finalement, direction et grévistes ont trouvé un accord dans la nuit de jeudi à vendredi.
Selon nos informations, le protocole signé prévoirait notamment une augmentation des salaires de 1% en 2014 puis d’1% en 2015. En contrepartie, les syndicats se seraient engagés à ne plus faire de demandes de revalorisation de salaires au cours des trois prochaines années.
Mais cet engagement doit encore être validé par les membres du conseil d'administration de l'OPT.