PAPEETE, le 22 avril 2015. (COMMUNIQUE) Pendant ces 2 derniers jours s’est déroulé le Bureau Fédéral élargi de la Fédération Française des Pilotes Maritimes (FFPM), pour la toute première fois en Polynésie française, à Tahiti.
A l’invitation de la Station de pilotage de Papeete « Te Ara Tai », adhérente de la FFPM depuis plus de 40 ans, ce sont plus de 30 pilotes maritimes provenant de 20 différentes stations de l’hexagone et de tout l’outre-mer qui se sont réunis pour des travaux liés à la sécurité, la gestion du risque, les problématiques techniques de l’évolution de leur métiers et des navires.
Un pilote maritime est un marin expérimenté qui guide les navires lors des phases d’entrée et de sortie des ports, conduit les manœuvres d’accostage et d’appareillage de ces mêmes navires et coordonne l’intervention des acteurs associés (remorqueurs, lamaneurs…). Il est rattaché à un espace maritime et portuaire en particulier, dont il connait très précisément toutes les caractéristiques et les dangers. Il contribue ainsi à la sécurité de ces navires et à celle de leurs équipages, à la protection de l’environnement et à la fluidité du trafic économique portuaire (donc à la rentabilité des ports). Les pilotes pour assurer cette mission d’intérêt général sont regroupés au sein d’un organisme privé (les stations de pilotage). Le pilotage maritime est contrôlé à tous les niveaux par les pouvoirs publics : nomination et radiation des pilotes, fixation des tarifs…
A l’occasion de diverses rencontres, Jean-Philippe Casanova, le nouveau Président de la Fédération a pu également rappeler, auprès de ses collègues et des autorités de la Polynésie et de l’Etat, l’importance spécifique de ce métier pour l’ensemble de l’économie maritime et de son développement — sujet brûlant en Polynésie, tant au niveau de la pêche, de la sécurité en mer, du tourisme nautique et maritime, que de la reconversion des terrains militaires situés dans la zone portuaire.
Les pilotes maritimes, qui se situent au confluent de différents secteurs et manœuvrent des navires de toutes provenances et dédiés à des activités très diverses, sont également de fins connaisseurs de l’évolution de chacune de ces filières économiques. Ils sont amenés, bien souvent, dans de nombreux ports, à dépasser leurs missions propres pour accompagner les acteurs privés et publics à prendre des décisions stratégiques, que ce soit pour la modernisation des infrastructures et des équipements notamment, mais aussi pour l’ensemble de la vie portuaire.
Exceptionnellement, à l’occasion de ce bureau fédéral, le président du Cluster Maritime Français (qui n’est autre que le précédent président de la Fédération Française des Pilotes Maritimes), M. Frédéric Moncany, et son prédécesseur à la tête du Cluster, M. Francis Vallat, étaient présents auprès de cette délégation.
A l’invitation de la Station de pilotage de Papeete « Te Ara Tai », adhérente de la FFPM depuis plus de 40 ans, ce sont plus de 30 pilotes maritimes provenant de 20 différentes stations de l’hexagone et de tout l’outre-mer qui se sont réunis pour des travaux liés à la sécurité, la gestion du risque, les problématiques techniques de l’évolution de leur métiers et des navires.
Un pilote maritime est un marin expérimenté qui guide les navires lors des phases d’entrée et de sortie des ports, conduit les manœuvres d’accostage et d’appareillage de ces mêmes navires et coordonne l’intervention des acteurs associés (remorqueurs, lamaneurs…). Il est rattaché à un espace maritime et portuaire en particulier, dont il connait très précisément toutes les caractéristiques et les dangers. Il contribue ainsi à la sécurité de ces navires et à celle de leurs équipages, à la protection de l’environnement et à la fluidité du trafic économique portuaire (donc à la rentabilité des ports). Les pilotes pour assurer cette mission d’intérêt général sont regroupés au sein d’un organisme privé (les stations de pilotage). Le pilotage maritime est contrôlé à tous les niveaux par les pouvoirs publics : nomination et radiation des pilotes, fixation des tarifs…
A l’occasion de diverses rencontres, Jean-Philippe Casanova, le nouveau Président de la Fédération a pu également rappeler, auprès de ses collègues et des autorités de la Polynésie et de l’Etat, l’importance spécifique de ce métier pour l’ensemble de l’économie maritime et de son développement — sujet brûlant en Polynésie, tant au niveau de la pêche, de la sécurité en mer, du tourisme nautique et maritime, que de la reconversion des terrains militaires situés dans la zone portuaire.
Les pilotes maritimes, qui se situent au confluent de différents secteurs et manœuvrent des navires de toutes provenances et dédiés à des activités très diverses, sont également de fins connaisseurs de l’évolution de chacune de ces filières économiques. Ils sont amenés, bien souvent, dans de nombreux ports, à dépasser leurs missions propres pour accompagner les acteurs privés et publics à prendre des décisions stratégiques, que ce soit pour la modernisation des infrastructures et des équipements notamment, mais aussi pour l’ensemble de la vie portuaire.
Exceptionnellement, à l’occasion de ce bureau fédéral, le président du Cluster Maritime Français (qui n’est autre que le précédent président de la Fédération Française des Pilotes Maritimes), M. Frédéric Moncany, et son prédécesseur à la tête du Cluster, M. Francis Vallat, étaient présents auprès de cette délégation.
