PORT-VILA, dimanche 26 décembre 2010 (Flash d'Océanie) – Une alerte régionale au tsunami après un puissant séisme de magnitude 7,3 survenu dimanche aux aurores (heure locale) entre le Sud et l’archipel de Vanuatu et les îles Loyautés de la proche Nouvelle-Calédonie a finalement été levée environ trois heures plus tard, après que des vaguelettes d’une hauteur maximale d’une quinzaine de centimètre aient été constatées.
Le séisme sous-marin original a eu lieu à 00h16 locales (GMT+11), à une faible profondeur d’une quinzaine de kilomètres en-dessous du niveau de la mer, rapporte l’institut géophysique américain USGS, basé à Denver (Colorado).
L’épicentre a été localisé à 145 kilomètres à l’Ouest de la localité d’Isangel (île de Tanna, Sud de Vanuatu) et à 195 kilomètres au Nord de Tadine (île de Maré, groupe des îles Loyautés, Nord-ouest de l’ile principale de la Nouvelle-Calédonie).
(Localisation de l’épicentre via Google maps à l’adresse suivante :
http://maps.google.com/maps?q=-19.7751+167.8946(M7.3+-+VANUATU+REGION+-+2010+December+25++13%3A16%3A37+UTC)&ll=-19.7751,167.8946&spn=2,2&f=d&t=h&hl=e)
À la suite de cet événement sismique, une alerte régionale a été lancée en particulier pour les pays et territoires les plus directement exposés, à savoir Vanuatu, la Nouvelle-Calédonie et Fidji, ainsi que la Nouvelle-Zélande.
Le centre d’alerte aux tsunamis pour le Pacifique (Pacific Tsunami Warning Centre, PTWC, basé à Pearl Harbour, Hawaii) émettait peu après ce séisme une liste estimative des heures d’arrivée d’une éventuelle vague sur les côtes les plus proches, y compris pour Nouméa (Nouvelle-Calédonie) et Suva (Fidji).
Depuis, une bonne demi-douzaine de répliques ont eu lieu au même endroit, avec des magnitudes situées entre 5 et 5,6 sur l’échelle ouverte de Richter.
Aucun dégât ni blessé n’a été immédiatement signalé.
La zone d’origine de l’épicentre de ce séisme, connue sous le nom de fosse des Nouvelles-Hébrides, et connue pour sa forte sismicité.
Elle constitue une front de subduction entre les plaques tectoniques indo-australienne et Pacifique, qui fait lui-même partie de ce qu’il est généralement convenu d’appeler la « ceinture de feu du Pacifique », énorme superficie allant du Pacifique Nord-Ouest à Tonga et Samoa, en passant par toute l’arc mélanésien.
Ce séisme et mini-tsunami interviennent six ans jour pour jour après le terrible tsunami qui avait ravagé les populations riveraines de l’Océan Indien et fait plus de deux cent mille victimes.
pad
Le séisme sous-marin original a eu lieu à 00h16 locales (GMT+11), à une faible profondeur d’une quinzaine de kilomètres en-dessous du niveau de la mer, rapporte l’institut géophysique américain USGS, basé à Denver (Colorado).
L’épicentre a été localisé à 145 kilomètres à l’Ouest de la localité d’Isangel (île de Tanna, Sud de Vanuatu) et à 195 kilomètres au Nord de Tadine (île de Maré, groupe des îles Loyautés, Nord-ouest de l’ile principale de la Nouvelle-Calédonie).
(Localisation de l’épicentre via Google maps à l’adresse suivante :
http://maps.google.com/maps?q=-19.7751+167.8946(M7.3+-+VANUATU+REGION+-+2010+December+25++13%3A16%3A37+UTC)&ll=-19.7751,167.8946&spn=2,2&f=d&t=h&hl=e)
À la suite de cet événement sismique, une alerte régionale a été lancée en particulier pour les pays et territoires les plus directement exposés, à savoir Vanuatu, la Nouvelle-Calédonie et Fidji, ainsi que la Nouvelle-Zélande.
Le centre d’alerte aux tsunamis pour le Pacifique (Pacific Tsunami Warning Centre, PTWC, basé à Pearl Harbour, Hawaii) émettait peu après ce séisme une liste estimative des heures d’arrivée d’une éventuelle vague sur les côtes les plus proches, y compris pour Nouméa (Nouvelle-Calédonie) et Suva (Fidji).
Depuis, une bonne demi-douzaine de répliques ont eu lieu au même endroit, avec des magnitudes situées entre 5 et 5,6 sur l’échelle ouverte de Richter.
Aucun dégât ni blessé n’a été immédiatement signalé.
La zone d’origine de l’épicentre de ce séisme, connue sous le nom de fosse des Nouvelles-Hébrides, et connue pour sa forte sismicité.
Elle constitue une front de subduction entre les plaques tectoniques indo-australienne et Pacifique, qui fait lui-même partie de ce qu’il est généralement convenu d’appeler la « ceinture de feu du Pacifique », énorme superficie allant du Pacifique Nord-Ouest à Tonga et Samoa, en passant par toute l’arc mélanésien.
Ce séisme et mini-tsunami interviennent six ans jour pour jour après le terrible tsunami qui avait ravagé les populations riveraines de l’Océan Indien et fait plus de deux cent mille victimes.
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