La promotion 2014. Sur la photo : Eric Malmezac Consul honoraire de la Nouvelle-Zélande, Hirirau Lacour, Henri Burns, E'eva Leaou, et Nahema Chan-Lin, lauréats, Michèle Lewon, chef du bureau des relations et échanges internationaux de la DGEE et Maeva Lebrun, office administrator Air new-zealand.
PAPEETE, le 10 décembre 2014 - Depuis le 1er décembre, les Polynésiens souhaitant profiter d'une bourse d'études vers la Nouvelle-Zélande sont invités à remplir un dossier, disponible sur le site de la DGEE : www.education.pf. Ils ont jusqu'au 17 avril 2015 pour les déposer au Bureau des relations internationales de la DGEE (ou par mail à [email protected]).
Il n'y a pas de nombre limité de place, donc tous ceux qui ont un profil correspondant et qui sont motivés pour remplir le dossier entièrement en anglais (ce qui inclut un CV et une lettre de motivation rédigés dans la langue de Shakespeare), ont de bonnes chances de l'obtenir. La bourse inclut les billets d'avion, les frais de scolarité, d'hébergement, de visa, l'assurance-maladie et même une petite allocation financière.
Ces bourses sont le fruit d'un accord mis en place il y a plus de 20 ans entre les gouvernements polynésiens et néozélandais. Elles incluent 3 à 4 mois de remise à niveau en anglais, puis un an d'études dans une université ou un institut de formation technique du pays des kiwis. Les allocataires passeront toute l'année en immersion dans une famille d'accueil, et tous les cours seront en anglais.
Pour obtenir la bourse, il faut au minimum avoir son bac, mais elle n'est pas réservée aux étudiants. Les professionnels qui souhaitent se perfectionner dans leur métier peuvent aussi la demander. Le dossier devra comporter un projet professionnel en adéquation avec les "besoins de développement de la Polynésie française", car c'est là le but de l'opération pour les financeurs. Les domaines retenus par les néozélandais sont : le tourisme, l'hôtellerie, l'agriculture, l'aquaculture, la pêche, l'agroalimentaire, l'environnement, le marketing, les relations internationales, l'informatique, l'industrie du bâtiment et la maintenance industrielle. Chaque année, ce sont entre 3 et 6 Polynésiens qui finissent par partir.
Il n'y a pas de nombre limité de place, donc tous ceux qui ont un profil correspondant et qui sont motivés pour remplir le dossier entièrement en anglais (ce qui inclut un CV et une lettre de motivation rédigés dans la langue de Shakespeare), ont de bonnes chances de l'obtenir. La bourse inclut les billets d'avion, les frais de scolarité, d'hébergement, de visa, l'assurance-maladie et même une petite allocation financière.
Ces bourses sont le fruit d'un accord mis en place il y a plus de 20 ans entre les gouvernements polynésiens et néozélandais. Elles incluent 3 à 4 mois de remise à niveau en anglais, puis un an d'études dans une université ou un institut de formation technique du pays des kiwis. Les allocataires passeront toute l'année en immersion dans une famille d'accueil, et tous les cours seront en anglais.
Pour obtenir la bourse, il faut au minimum avoir son bac, mais elle n'est pas réservée aux étudiants. Les professionnels qui souhaitent se perfectionner dans leur métier peuvent aussi la demander. Le dossier devra comporter un projet professionnel en adéquation avec les "besoins de développement de la Polynésie française", car c'est là le but de l'opération pour les financeurs. Les domaines retenus par les néozélandais sont : le tourisme, l'hôtellerie, l'agriculture, l'aquaculture, la pêche, l'agroalimentaire, l'environnement, le marketing, les relations internationales, l'informatique, l'industrie du bâtiment et la maintenance industrielle. Chaque année, ce sont entre 3 et 6 Polynésiens qui finissent par partir.