ARUE, le 29 mars 2014. C’est dans la salle des fêtes de l’hôtel Radisson qu’un public nombreux est venu admirer les compétiteurs hommes et femmes adeptes du bodybuilding. On a pu voir se développer les catégories ‘men’s physics’ et ‘bikini fitness’, plus accessibles et fort appréciées du public.
C’est Steve Cheung Piou qui remporte cette compétition. Il avait terminé 3ème lors de l’open international organisé en août dernier. La prochaine édition de l’open international aura lieu en septembre 2014.
On a pu voir Myrna Bonno passer de l’accueil clientèle de Vini au podium du Radisson, elle remporte la catégorie ‘bikini fitness’ après seulement 6 mois de musculation. Jerry Yeung représentant local de l’IFBB a annoncé qu’il travaillait actuellement à l’organisation à Tahiti des championnats du monde de ‘bikini fitness’.
C’est Steve Cheung Piou qui remporte cette compétition. Il avait terminé 3ème lors de l’open international organisé en août dernier. La prochaine édition de l’open international aura lieu en septembre 2014.
On a pu voir Myrna Bonno passer de l’accueil clientèle de Vini au podium du Radisson, elle remporte la catégorie ‘bikini fitness’ après seulement 6 mois de musculation. Jerry Yeung représentant local de l’IFBB a annoncé qu’il travaillait actuellement à l’organisation à Tahiti des championnats du monde de ‘bikini fitness’.
Steve Cheung Piou au micro de Tahiti Infos :
«Je faisais de la pirogue, j’ai commencé le bodybuilding pour faire du renfort musculaire. Au départ je n’étais pas pour. Après, au fil des entraînements, j’y ai pris goût. Le ‘coach’ m’a proposé de faire les compétitions. »
« C’est beaucoup d’entraînements, énormément de sacrifices. Il y a l’alimentation, les repos qu’il ne faut pas négliger, c’est un tout. Le bodybuilding ce n’est pas seulement porter des altères et on devient ‘balèze’, c’est vraiment une discipline, un mode de vie, une hygiène de vie. Il n’y a plus de steak frite sauce et beurre, ni alcool."
« En août dernier les gens ont regardé, apprécié et ce soir il sont venus en masse, la salle était pleine. Je me prépare pour la prochaine compétition internationale en septembre. On verra pour plus tard avec mon ‘coach’ Jerry Yeung pour des déplacements à l’extérieur. »
Jerry Yeung, organisateur de la soirée :
« L’année dernière il y avait déjà eu des sélections pour affronter les étrangers. Là encore on a fait une épreuve sélective locale pour choisir les meilleurs Polynésiens pour affronter les étrangers qui viendront au mois de septembre. On avait ce soir deux catégories en ‘men’s physics, deux en ‘bikini fitness’ et une en bodybuilding. Les gagnants de chaque catégorie participeront dans 5 mois à l’open international. »
« C’est une première de faire l’épreuve sélective de cette manière, d’habitude c’est sous un chapiteau. Etant moi même compétiteur de haut niveau, j’ai estimé que l’on peut faire mieux pour les athlètes. Je suis très satisfait on a vendu toutes les places. Les gens attendaient pour rentrer même pour être debout. On me demande de trouver un autre endroit plus grand ! »
« Je ne dirais pas que les catégories ‘bodybuilding’ tendent à s’estomper mais les catégories ‘men’s physics’ et bikini fitness accessibles à plus de monde prennent de l’ampleur car il y a moins de contraintes. Mais ce n’est pas mister et miss plage, cela reste des catégories sportives avec des critères définis par la fédération internationale, je tenais à le souligner. »
« La fédération locale que je préside projette d’organiser les championnats du monde de ‘bikini fitness’ sur le territoire, j’irai en novembre lors des congrès internationaux défendre notre cause. 50% du travail a déjà été fait pour les convaincre de choisir la destination Tahiti. Ce ne sera pas moins de 30 à 40 nations par catégorie, on se retrouverait avec 200 à 300 femmes, inimaginable ! Cela relancerait le tourisme sportif. »
Myrna Bonno gagne en Bikini Fitness :
« Je me suis mise il y a six mois à la musculation. Je faisais du fitness. Le résultat est payant, avec beaucoup de concessions. Ce qui m’intéresse, c’est le fait d’avoir un beau corps, le fait de s’occuper de soi. C’est un entretien continuel qui me permet de m’évader. C’est dur mais j’ai l’impression que j’aime ça. »
« Je viens d’avoir le titre donc c’est super, il y a la compétition internationale avec un grand travail à faire encore sur le corps. Je tiens cependant à garder ma féminité en gardant les muscles là où il faut, pas trop. Je resterai dans ma catégorie fitness. »
« Oui, je suis maman de deux enfants. On est parent, on a des responsabilités mais ce n’est pas une excuse, on a aussi ses passions, moi c’est la musculation, cela nous permet de ne pas se laisser aller. J’ai la trentaine, il faut se maintenir. » SB
«Je faisais de la pirogue, j’ai commencé le bodybuilding pour faire du renfort musculaire. Au départ je n’étais pas pour. Après, au fil des entraînements, j’y ai pris goût. Le ‘coach’ m’a proposé de faire les compétitions. »
« C’est beaucoup d’entraînements, énormément de sacrifices. Il y a l’alimentation, les repos qu’il ne faut pas négliger, c’est un tout. Le bodybuilding ce n’est pas seulement porter des altères et on devient ‘balèze’, c’est vraiment une discipline, un mode de vie, une hygiène de vie. Il n’y a plus de steak frite sauce et beurre, ni alcool."
« En août dernier les gens ont regardé, apprécié et ce soir il sont venus en masse, la salle était pleine. Je me prépare pour la prochaine compétition internationale en septembre. On verra pour plus tard avec mon ‘coach’ Jerry Yeung pour des déplacements à l’extérieur. »
Jerry Yeung, organisateur de la soirée :
« L’année dernière il y avait déjà eu des sélections pour affronter les étrangers. Là encore on a fait une épreuve sélective locale pour choisir les meilleurs Polynésiens pour affronter les étrangers qui viendront au mois de septembre. On avait ce soir deux catégories en ‘men’s physics, deux en ‘bikini fitness’ et une en bodybuilding. Les gagnants de chaque catégorie participeront dans 5 mois à l’open international. »
« C’est une première de faire l’épreuve sélective de cette manière, d’habitude c’est sous un chapiteau. Etant moi même compétiteur de haut niveau, j’ai estimé que l’on peut faire mieux pour les athlètes. Je suis très satisfait on a vendu toutes les places. Les gens attendaient pour rentrer même pour être debout. On me demande de trouver un autre endroit plus grand ! »
« Je ne dirais pas que les catégories ‘bodybuilding’ tendent à s’estomper mais les catégories ‘men’s physics’ et bikini fitness accessibles à plus de monde prennent de l’ampleur car il y a moins de contraintes. Mais ce n’est pas mister et miss plage, cela reste des catégories sportives avec des critères définis par la fédération internationale, je tenais à le souligner. »
« La fédération locale que je préside projette d’organiser les championnats du monde de ‘bikini fitness’ sur le territoire, j’irai en novembre lors des congrès internationaux défendre notre cause. 50% du travail a déjà été fait pour les convaincre de choisir la destination Tahiti. Ce ne sera pas moins de 30 à 40 nations par catégorie, on se retrouverait avec 200 à 300 femmes, inimaginable ! Cela relancerait le tourisme sportif. »
Myrna Bonno gagne en Bikini Fitness :
« Je me suis mise il y a six mois à la musculation. Je faisais du fitness. Le résultat est payant, avec beaucoup de concessions. Ce qui m’intéresse, c’est le fait d’avoir un beau corps, le fait de s’occuper de soi. C’est un entretien continuel qui me permet de m’évader. C’est dur mais j’ai l’impression que j’aime ça. »
« Je viens d’avoir le titre donc c’est super, il y a la compétition internationale avec un grand travail à faire encore sur le corps. Je tiens cependant à garder ma féminité en gardant les muscles là où il faut, pas trop. Je resterai dans ma catégorie fitness. »
« Oui, je suis maman de deux enfants. On est parent, on a des responsabilités mais ce n’est pas une excuse, on a aussi ses passions, moi c’est la musculation, cela nous permet de ne pas se laisser aller. J’ai la trentaine, il faut se maintenir. » SB