ARUE, lundi 5 août 2013. Un public assez nombreux est venu assister à la finale de la compétition de bodybuilding samedi soir dans la salle de réception du Radisson. Le public s’est montré enthousiaste pour cette première compétition internationale.
Plusieurs catégories de poids étaient représentées chez les hommes. La catégorie ‘mens classic’ privilégiait l’harmonie des lignes. Les vainqueurs de chaque catégorie ont concouru ensuite en catégorie open. Les femmes étaient également de la partie avec une catégorie ‘musclée’ Bodyfitness et une autre moins, la catégorie Miss Bikini, apparemment la plus attendue du public.
C’est l’unique calédonien de la compétition, Stephen Bogey qui remporte ce premier événement de bodybuilding international à Tahiti. La participation de Herman Tapi a été remarquée et nombre de fans le voyaient déjà remporter la compétition, il arrive 2ème dans sa catégorie, juste derrière celui qui sera ensuite le gagnant toutes catégories.
Une démonstration de l’art martial Penchak basé sur des techniques de self défense a permis au public également de découvrir cette discipline peu médiatisée.
Jerry Yeung Président de l’IFBB Tahiti dresse un bilan de ce premier événement mondial. «Le bilan est très satisfaisant parce que le public est venu nombreux, on a vu une bonne organisation d’une compétition de bodybuilding de niveau international. Bon au niveau des performances c’est vrai que Tahiti pouvait gagner un peu plus de premières places mais on s’en sort quand même».
«C’est original d’associer les arts martiaux et le body building, pourquoi pas. Le body building n’est pas de la gonflette c’est certain, vous avez vu d’ailleurs le CV de chaque candidat et candidate, certaines sont en faculté de médecine, d’autres techniciens en informatique, ce n’est pas ‘tout dans le muscle et rien dans la tête’.»
Le président espère désormais que les athlètes tahitiens puissent progresser. L’envie étant de pérenniser cette compétition internationale ici avec la volonté de l’organiser à un meilleur moment du calendrier pour coller plus à la haute saison touristique et espérer la venue d’internationaux plus nombreux. Par ailleurs, il prévient : «L’IFBB est en train de faire le ménage du côté du dopage, muscles à outrance avec les produits dopants et tout ça. C’est très important.»
Plusieurs catégories de poids étaient représentées chez les hommes. La catégorie ‘mens classic’ privilégiait l’harmonie des lignes. Les vainqueurs de chaque catégorie ont concouru ensuite en catégorie open. Les femmes étaient également de la partie avec une catégorie ‘musclée’ Bodyfitness et une autre moins, la catégorie Miss Bikini, apparemment la plus attendue du public.
C’est l’unique calédonien de la compétition, Stephen Bogey qui remporte ce premier événement de bodybuilding international à Tahiti. La participation de Herman Tapi a été remarquée et nombre de fans le voyaient déjà remporter la compétition, il arrive 2ème dans sa catégorie, juste derrière celui qui sera ensuite le gagnant toutes catégories.
Une démonstration de l’art martial Penchak basé sur des techniques de self défense a permis au public également de découvrir cette discipline peu médiatisée.
Jerry Yeung Président de l’IFBB Tahiti dresse un bilan de ce premier événement mondial. «Le bilan est très satisfaisant parce que le public est venu nombreux, on a vu une bonne organisation d’une compétition de bodybuilding de niveau international. Bon au niveau des performances c’est vrai que Tahiti pouvait gagner un peu plus de premières places mais on s’en sort quand même».
«C’est original d’associer les arts martiaux et le body building, pourquoi pas. Le body building n’est pas de la gonflette c’est certain, vous avez vu d’ailleurs le CV de chaque candidat et candidate, certaines sont en faculté de médecine, d’autres techniciens en informatique, ce n’est pas ‘tout dans le muscle et rien dans la tête’.»
Le président espère désormais que les athlètes tahitiens puissent progresser. L’envie étant de pérenniser cette compétition internationale ici avec la volonté de l’organiser à un meilleur moment du calendrier pour coller plus à la haute saison touristique et espérer la venue d’internationaux plus nombreux. Par ailleurs, il prévient : «L’IFBB est en train de faire le ménage du côté du dopage, muscles à outrance avec les produits dopants et tout ça. C’est très important.»
Stephen Bogey : un vainqueur heureux
« C’est vrai que je ne m’y attendais pas du tout à cette victoire, j’ai gagné dans ma catégorie et en open. Je pense que les juges on plus noté la symétrie. Je voudrais remercier mon entraineur à Nouméa. C’est ma première sortie hors territoire pour une compétition IFBB.
« Avant je faisais du demi-fond en course à pied. Je voulais déjà à cette époque là faire de la musculation, j’ai fait les deux et à la longue je me suis orienté vers la musculation, le body building et maintenant cela me plaît. »
« Des heures de charge, d’entraînement, la nourriture, le repos... Pour cela c’est le mental d’abord, le physique aussi. Il faut suivre une diète dure toute l’année. Il y a la période de prise de masse et la période de la ‘sèche’. C’est une vie assez dure, faut pas trop sortir, pas trop boire, après cela paye, enfin il faut aimer.»
« C’est vrai que je ne m’y attendais pas du tout à cette victoire, j’ai gagné dans ma catégorie et en open. Je pense que les juges on plus noté la symétrie. Je voudrais remercier mon entraineur à Nouméa. C’est ma première sortie hors territoire pour une compétition IFBB.
« Avant je faisais du demi-fond en course à pied. Je voulais déjà à cette époque là faire de la musculation, j’ai fait les deux et à la longue je me suis orienté vers la musculation, le body building et maintenant cela me plaît. »
« Des heures de charge, d’entraînement, la nourriture, le repos... Pour cela c’est le mental d’abord, le physique aussi. Il faut suivre une diète dure toute l’année. Il y a la période de prise de masse et la période de la ‘sèche’. C’est une vie assez dure, faut pas trop sortir, pas trop boire, après cela paye, enfin il faut aimer.»