Au siège du Ia Mana Te Nunaa, mardi matin.
PAPEETE, mardi 3 septembre 2013 – La présentation ne pouvait être que partisane, mâtinée d’une certaine mauvaise foi ; mais le bilan d’étape proposé par le Ia Mana Te Nunaa pour commenter les 100 jours du gouvernement Flosse, n’a pas fait pas dans la dentelle politicienne, en fin de matinée lors du point presse organisé au siège du parti souverainiste, rue du Commandant Destremeau. Résumé en trois idées, il pourrait se décliner par "du travail pour des expatriés", de la "poudre aux yeux" en guise d’action gouvernementale, et des "projets UPLD repeints en orange".
Un tantinet réducteur l’action pour l’Emploi menée par le gouvernement Flosse est résumée à l’évocation de l’embauche de quelques "expatriés", sans égard pour le principe d’océanisation des cadres : le cas Derache, directeur de cabinet de Gaston Flosse nommé le 30 mai, le cas Roussel expatrié pour prendre la direction général de TNTV ; le cas Girardin, nommée représentante spéciale à Paris ; le cas Diemert au Haut Conseil ; les bruits concernant les cas Laflaquière chez Air Tahiti et celui de Bechonnet chez Air Tahiti Nui.
Au plan des réformes : "du tripatouillage pour faire de l’affichage", "de l’illusionnisme budgétaire à outrance", "la constitution d’un cabinet «villepiniste » qui puisse domestiquer le gouvernement central par réseaux interposés", "une équipe d’experts rémunérés pour faire passer les dossiers… accélérer le processus de croissance avant" la condamnation de Gaston Flosse.
Quant aux réalisations : "On se demande si c’est leur vrai bilan : quatre projets UPLD repeints en orange", a ironisé en bref le sénateur tavini Richard Tuheiava.
Ce bilan d’étape très partisan a été fait en présence de Joël Teipoarii, secrétaire général du Ia Mana Te Nunaa, mais en l’absence de membres éminents du parti tels que Jacqui Drollet "retenu à Hitia’a", Philippe Siu, "retenu à l’Assemblée" ou Jean-Paul Barral.
Un tantinet réducteur l’action pour l’Emploi menée par le gouvernement Flosse est résumée à l’évocation de l’embauche de quelques "expatriés", sans égard pour le principe d’océanisation des cadres : le cas Derache, directeur de cabinet de Gaston Flosse nommé le 30 mai, le cas Roussel expatrié pour prendre la direction général de TNTV ; le cas Girardin, nommée représentante spéciale à Paris ; le cas Diemert au Haut Conseil ; les bruits concernant les cas Laflaquière chez Air Tahiti et celui de Bechonnet chez Air Tahiti Nui.
Au plan des réformes : "du tripatouillage pour faire de l’affichage", "de l’illusionnisme budgétaire à outrance", "la constitution d’un cabinet «villepiniste » qui puisse domestiquer le gouvernement central par réseaux interposés", "une équipe d’experts rémunérés pour faire passer les dossiers… accélérer le processus de croissance avant" la condamnation de Gaston Flosse.
Quant aux réalisations : "On se demande si c’est leur vrai bilan : quatre projets UPLD repeints en orange", a ironisé en bref le sénateur tavini Richard Tuheiava.
Ce bilan d’étape très partisan a été fait en présence de Joël Teipoarii, secrétaire général du Ia Mana Te Nunaa, mais en l’absence de membres éminents du parti tels que Jacqui Drollet "retenu à Hitia’a", Philippe Siu, "retenu à l’Assemblée" ou Jean-Paul Barral.