PARIS, 10 juin 2011 (AFP) - Le secrétaire d'Etat au Commerce, Frédéric Lefebvre, a assuré vendredi qu'aucun lot de "produits potentiellement contaminés n'a été livré" en France, l'Allemagne ayant finalement désigné vendredi des graines germées comme source de l'épidémie qui a fait 33 morts en Europe.
"D'après les informations reçues à ce jour par les autorités françaises, aucun lot de produits potentiellement contaminés n'a été livré sur le territoire français", selon un communiqué du secrétariat d'Etat publié vendredi.
Par ailleurs, la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) doit "renforcer son dispositif de surveillance de la qualité microbiologique des graines germées commercialisées en France à l'état frais", ajoute le document.
"Les conclusions des autorités allemandes mettent hors de cause la consommation de salades, concombres et tomates crus", rappelle enfin M. Lefebvre.
L'Allemagne a clairement désigné vendredi des graines germées comme source de l'épidémie de diarrhée qui a fait 33 morts en Europe et levé l'avertissement contre la consommation de salades, concombres et tomates crues, qui a coûté très cher aux agriculteurs européens.
"D'après les informations reçues à ce jour par les autorités françaises, aucun lot de produits potentiellement contaminés n'a été livré sur le territoire français", selon un communiqué du secrétariat d'Etat publié vendredi.
Par ailleurs, la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) doit "renforcer son dispositif de surveillance de la qualité microbiologique des graines germées commercialisées en France à l'état frais", ajoute le document.
"Les conclusions des autorités allemandes mettent hors de cause la consommation de salades, concombres et tomates crus", rappelle enfin M. Lefebvre.
L'Allemagne a clairement désigné vendredi des graines germées comme source de l'épidémie de diarrhée qui a fait 33 morts en Europe et levé l'avertissement contre la consommation de salades, concombres et tomates crues, qui a coûté très cher aux agriculteurs européens.