Sydney, Australie | | jeudi 02/04/2015 - Des amateurs d'art australiens se sont mis à nu pour visiter une nouvelle exposition à la National Gallery of Australia de Canberra, un projet qui vise d'après ses concepteurs à ôter toute barrière entre l'artiste et son public en même temps que le départir de ses vêtements.
La première visite de l'exposition, réservée uniquement à un public adulte, a attiré une cinquantaine de personnes mercredi soir. La visite matinale de jeudi s'est jouée à guichets fermés.
L'exposition de l'artiste américain James Turrell, qui utilise principalement l'espace et la lumière comme moyens d'expression, est intitulée "Une rétrospective, découvrir l'amour des Américains pour la lumière et les paysages".
L'artiste contemporain Stuart Ringholt, organisateur de l'événement, a assuré à l'AFP qu'il s'agissait d'une expérience libératrice.
"L'exposition de Turrell tourne autour de la lumière. La peau absorbe la lumière et nous avons pensé que le corps tout entier pouvait partager cette expérience".
Il a expliqué que les spectateurs étaient "un peu gênés au départ mais une fois dévêtus, ils souriaient et riaient".
L'un d'entre eux a raconté à la Australian Broadcasting Corporation que l'expérience avait radicalement changé sa perception de l'art. "Une fois sur place on se dit qu'on pourrait faire ça toute sa vie", a-t-il dit. "La prochaine fois, je me ferais probablement arrêter".
La visite s'est achevée par une collation, également dans le plus simple appareil.
La National Gallery abrite une collection permanente de 160.000 oeuvres d'art qui recouvrent quatre domaines principaux, selon son site internet: les arts australien, aborigène, européen et américain ainsi qu'asiatique.
La première visite de l'exposition, réservée uniquement à un public adulte, a attiré une cinquantaine de personnes mercredi soir. La visite matinale de jeudi s'est jouée à guichets fermés.
L'exposition de l'artiste américain James Turrell, qui utilise principalement l'espace et la lumière comme moyens d'expression, est intitulée "Une rétrospective, découvrir l'amour des Américains pour la lumière et les paysages".
L'artiste contemporain Stuart Ringholt, organisateur de l'événement, a assuré à l'AFP qu'il s'agissait d'une expérience libératrice.
"L'exposition de Turrell tourne autour de la lumière. La peau absorbe la lumière et nous avons pensé que le corps tout entier pouvait partager cette expérience".
Il a expliqué que les spectateurs étaient "un peu gênés au départ mais une fois dévêtus, ils souriaient et riaient".
L'un d'entre eux a raconté à la Australian Broadcasting Corporation que l'expérience avait radicalement changé sa perception de l'art. "Une fois sur place on se dit qu'on pourrait faire ça toute sa vie", a-t-il dit. "La prochaine fois, je me ferais probablement arrêter".
La visite s'est achevée par une collation, également dans le plus simple appareil.
La National Gallery abrite une collection permanente de 160.000 oeuvres d'art qui recouvrent quatre domaines principaux, selon son site internet: les arts australien, aborigène, européen et américain ainsi qu'asiatique.