Crédit PETER PARKS / AFP
Sydney, Australie | AFP | mercredi 31/10/2023 - Les autorités australiennes étaient à la recherche mercredi de la dépouille d'un surfeur de 55 ans attaqué par un requin qui, selon un témoin, "avait son corps dans la gueule".
Le corps de la victime demeure introuvable depuis que le prédateur marin l'a pris pour cible mardi près de Granites Beach, un spot très connu des surfeurs, dans l'Etat d'Australie-Méridionale, a déclaré la police.
"Le corps de l'homme n'a pas encore été retrouvé et les recherches ont repris tôt ce matin", a indiqué la police dans un communiqué.
Ian Brophy, un surfeur de 70 ans qui se trouvait sur les lieux au moment de l'attaque, a raconté comment, alors qu'il allait entrer dans l'eau, quelqu'un a crié: "requin!", selon un média local.
"En me retournant, j'ai vu le requin se jeter (sur la victime) et mordre", a-t-il déclaré au journal The Advertiser d'Adélaïde.
M. Brophy a affirmé avoir vu le prédateur "passer par-dessus (la victime), la mordre et l'entraîner sous l'eau, puis plus rien pendant une minute ou deux, du sang partout, et enfin la planche surgir".
"Je l'ai vu dans une vague et le requin avait son corps dans la gueule - c'était épouvantable".
Quelques minutes plus tard, il n'y avait plus aucun signe du corps du surfeur. "Le requin a tout pris, je pense".
Jeff Schmucker, un habitant de la région, a raconté à la chaîne australienne ABC avoir pris son jet ski pour aider les services d'urgence à le rechercher.
Il a raconté s'être rendu dans la zone de l'attaque et avoir rapidement vu un grand requin blanc "de la longueur d'une berline", sans pouvoir certifier qu'il s'agit de l'animal en cause.
Les grands requins blancs sont connus pour être présent le long des côtes de l'Australie-Méridionale.
En mai, un enseignant est mort déchiqueté à quelque 120 kilomètres du lieu de l'attaque de mardi.
Le nombre de morsures de requins a augmenté au cours des quatre dernières décennies en raison notamment de l'augmentation la population et du changement climatique, selon Charlie Huveneers, expert en requins à l'université Flinders, en Australie-Méridionale.
Le réchauffement des océans conduit les requins à se rapprocher des côtes à la recherche de proies, le rendant ainsi plus susceptibles d'entrer en contact avec les humains.
Le corps de la victime demeure introuvable depuis que le prédateur marin l'a pris pour cible mardi près de Granites Beach, un spot très connu des surfeurs, dans l'Etat d'Australie-Méridionale, a déclaré la police.
"Le corps de l'homme n'a pas encore été retrouvé et les recherches ont repris tôt ce matin", a indiqué la police dans un communiqué.
Ian Brophy, un surfeur de 70 ans qui se trouvait sur les lieux au moment de l'attaque, a raconté comment, alors qu'il allait entrer dans l'eau, quelqu'un a crié: "requin!", selon un média local.
"En me retournant, j'ai vu le requin se jeter (sur la victime) et mordre", a-t-il déclaré au journal The Advertiser d'Adélaïde.
M. Brophy a affirmé avoir vu le prédateur "passer par-dessus (la victime), la mordre et l'entraîner sous l'eau, puis plus rien pendant une minute ou deux, du sang partout, et enfin la planche surgir".
"Je l'ai vu dans une vague et le requin avait son corps dans la gueule - c'était épouvantable".
Quelques minutes plus tard, il n'y avait plus aucun signe du corps du surfeur. "Le requin a tout pris, je pense".
Jeff Schmucker, un habitant de la région, a raconté à la chaîne australienne ABC avoir pris son jet ski pour aider les services d'urgence à le rechercher.
Il a raconté s'être rendu dans la zone de l'attaque et avoir rapidement vu un grand requin blanc "de la longueur d'une berline", sans pouvoir certifier qu'il s'agit de l'animal en cause.
Les grands requins blancs sont connus pour être présent le long des côtes de l'Australie-Méridionale.
En mai, un enseignant est mort déchiqueté à quelque 120 kilomètres du lieu de l'attaque de mardi.
Le nombre de morsures de requins a augmenté au cours des quatre dernières décennies en raison notamment de l'augmentation la population et du changement climatique, selon Charlie Huveneers, expert en requins à l'université Flinders, en Australie-Méridionale.
Le réchauffement des océans conduit les requins à se rapprocher des côtes à la recherche de proies, le rendant ainsi plus susceptibles d'entrer en contact avec les humains.