Sydney, Australie | AFP | lundi 25/06/2017 - La Grande barrière de corail est un emblème qui n'a pas de prix pour les Australiens, mais les experts du cabinet Deloitte ont néanmoins estimé sa valeur économique à 56 milliards de dollars australiens (37 milliards d'euros).
Inscrit au Patrimoine mondial de l'Unesco, cet écosystème est actuellement menacé par le réchauffement climatique, les ruissellements agricoles ou encore le développement économique.
Pour accroître la prise de conscience de la richesse que représente ce récif de 2.300 kilomètres, la Fondation de la Grande barrière de corail a mandaté le cabinet Deloitte Access Economics pour estimer sa "valeur" économique et sociale.
Dans un rapport diffusé lundi, le cabinet estime à 29 milliards de dollars australiens (AUD) la valeur touristique du récif, dont 64.000 emplois dépendent.
Il chiffre à 24 milliards AUD la valeur "indirecte" de la Grande barrière, à savoir celle auprès des gens qui ne se sont jamais rendus sur le récif mais qui savent qu'il existe.
Cette étude montre que la Grande barrière contribue plus que tout autre site australien à l'image internationale de l'Australie, selon Steve Sargent, directeur de la Fondation de la Grande barrière.
"La valeur estimée de la Grande barrière représente l'équivalent de 12 Opéras de Sydney", a dit M. Sargent. "Ce rapport montre que la Grande barrière de corail -en tant qu'écosystème, que ressource économique ou que trésor mondial- est trop importante pour disparaître."
Pour les besoins de cette étude, 1.500 personnes originaires de 10 pays ont été interrogées sur ce qui faisait selon eux la valeur du récif, qu'il s'agisse de sa valeur touristique, de son importance pour la biodiversité mondiale ou pour l'image de l'Australie.
Il est évident que la Grande barrière est "irremplaçable et n'a pas de prix", a déclaré John O'Mahony, directeur de Deloitte Access.
"Mais nous l'avons étudiée comme un +actif+ qui a une valeur incroyable à plusieurs titres, sur le plan de la biodiversité, des emplois qu'elle génère et de son image pour les visiteurs internationaux", a-t-il dit.
La barrière, qui est aussi menacée par la prolifération des acanthasters, étoiles de mer dévoreuses de coraux, vient de subir deux graves épisodes consécutifs de blanchissement de ses coraux imputés au réchauffement climatique.
Inscrit au Patrimoine mondial de l'Unesco, cet écosystème est actuellement menacé par le réchauffement climatique, les ruissellements agricoles ou encore le développement économique.
Pour accroître la prise de conscience de la richesse que représente ce récif de 2.300 kilomètres, la Fondation de la Grande barrière de corail a mandaté le cabinet Deloitte Access Economics pour estimer sa "valeur" économique et sociale.
Dans un rapport diffusé lundi, le cabinet estime à 29 milliards de dollars australiens (AUD) la valeur touristique du récif, dont 64.000 emplois dépendent.
Il chiffre à 24 milliards AUD la valeur "indirecte" de la Grande barrière, à savoir celle auprès des gens qui ne se sont jamais rendus sur le récif mais qui savent qu'il existe.
Cette étude montre que la Grande barrière contribue plus que tout autre site australien à l'image internationale de l'Australie, selon Steve Sargent, directeur de la Fondation de la Grande barrière.
"La valeur estimée de la Grande barrière représente l'équivalent de 12 Opéras de Sydney", a dit M. Sargent. "Ce rapport montre que la Grande barrière de corail -en tant qu'écosystème, que ressource économique ou que trésor mondial- est trop importante pour disparaître."
Pour les besoins de cette étude, 1.500 personnes originaires de 10 pays ont été interrogées sur ce qui faisait selon eux la valeur du récif, qu'il s'agisse de sa valeur touristique, de son importance pour la biodiversité mondiale ou pour l'image de l'Australie.
Il est évident que la Grande barrière est "irremplaçable et n'a pas de prix", a déclaré John O'Mahony, directeur de Deloitte Access.
"Mais nous l'avons étudiée comme un +actif+ qui a une valeur incroyable à plusieurs titres, sur le plan de la biodiversité, des emplois qu'elle génère et de son image pour les visiteurs internationaux", a-t-il dit.
La barrière, qui est aussi menacée par la prolifération des acanthasters, étoiles de mer dévoreuses de coraux, vient de subir deux graves épisodes consécutifs de blanchissement de ses coraux imputés au réchauffement climatique.