PAPEETE, le 14 mars 2018 - Le porte-parole du gouvernement a révélé mercredi matin lors d'une conférence de presse qu'au moins deux investisseurs de la zone pacifique avaient déposé leur candidature pour le village Tahitien.
Lors d'une conférence de presse mercredi, Jean-Christophe Bouissou, porte-parole du gouvernement a assuré que le projet du Village Tahitien est encore à l'ordre du jour. "Ce projet se fera". Par ailleurs, il a révélé qu'au moins deux investisseurs se sont fait connaître. "Nous avons à prendre des décisions dès la semaine prochaine", a déclaré le ministre. Par ailleurs, il a ajouté "je peux vous assurer que les groupes d'investisseurs qui sont en course, nous avons à faire à des gens sérieux. J'ai eu l'occasion de le dire à la radio nous avons à faire à des investisseurs de la zone pacifique, mais au sens large".
Sur environ 70 dossier retirés, deux candidature peut sembler décevant, néanmoins, le ministre s'est voulu rassurant, "sur des niveaux d'investissements de ce type, parfois il faut se mettre à plusieurs groupes pour réaliser 150, 200 milliards de francs d'investissements. Ce n'est pas rien", a conclu le ministre.
Lors d'une conférence de presse mercredi, Jean-Christophe Bouissou, porte-parole du gouvernement a assuré que le projet du Village Tahitien est encore à l'ordre du jour. "Ce projet se fera". Par ailleurs, il a révélé qu'au moins deux investisseurs se sont fait connaître. "Nous avons à prendre des décisions dès la semaine prochaine", a déclaré le ministre. Par ailleurs, il a ajouté "je peux vous assurer que les groupes d'investisseurs qui sont en course, nous avons à faire à des gens sérieux. J'ai eu l'occasion de le dire à la radio nous avons à faire à des investisseurs de la zone pacifique, mais au sens large".
Sur environ 70 dossier retirés, deux candidature peut sembler décevant, néanmoins, le ministre s'est voulu rassurant, "sur des niveaux d'investissements de ce type, parfois il faut se mettre à plusieurs groupes pour réaliser 150, 200 milliards de francs d'investissements. Ce n'est pas rien", a conclu le ministre.
