HAGÅTÑA, mardi 21 février 2012 (Flash d’Océanie) – Un des avions de chasse F-16 Falcon de l’armée de l’air américaine a dû effectuer un atterrissage d’urgence mardi sur l’île de Saipan (Marianne du Nord), alors que cet appareil participait aux manœuvres multilatérales « Cope North », a déclaré l’armée américaine dans un communiqué mardi depuis sa base aérienne d’Andersen
Ces exercices multinationaux impliquent, depuis le 13 février 2012 et jusqu’au 24, les forces américaines, japonais et, pour la première fois, australiennes.
Selon l’armée américaine, cet atterrissage forcé, sur la piste de l’aéroport international de Saipan (territoire américain des Marianne du Nord) aux alentours de 11h00 locales (GMT+10), s’est terminé par une sortie de piste.
Les causes de l’accident ne sont toujours pas établies et une enquête a été immédiatement ouverte.
Une cellule de crise a été formée afin d’évaluer précisément les dégâts sur l’appareil, qui est d’ordinaire rattaché à la base aérienne d’Eilson (Alaska), mais avait été déployé dans le cadre des manœuvres Cope North, précise l’armée.
La seule personne à bord, le pilote, n’a pas été blessé, selon les mêmes sources.
Les forces américaines, japonaises et australiennes ont donné le coup d’envoi, lundi 13 février 2012, de la série de manœuvres et d’exercices conjoints, sous le nom de code « Cope North », qui devrait s’achever le 24.
Les trois armées mettent une nouvelle fois l’accent sur la notion d’interopérabilité sur des théâtres d’intervention et de simulation conjoints, en partenariat.
Les manœuvres Cope North se déroulent tous les deux ans, typiquement au large du territoire américain de Guam et sur la base aérienne stratégique Andersen, dont les Marianne du Nord sont toutes proches.
Créés en 1978, ces exercices regroupaient jusqu’à récemment les armées de l’air américaines et japonaise.
Il s’agit de la première édition à laquelle se joignent les forces australiennes, qui mobilisent pour l’occasion des avions de chasse Super Hornet et des avions de surveillance Wedgetail, ainsi qu’environ trois cents hommes et femmes.
Les États-Unis, pour leur part, mobilisent un large éventail de moyens allant des F-16 à l’emblématique forteresse volante B-52.
Le territoire de Guam est considéré comme une tête de pont des États-Unis en regard direct vers le continent asiatique, et en premier lieu la Chine.
pad
Ces exercices multinationaux impliquent, depuis le 13 février 2012 et jusqu’au 24, les forces américaines, japonais et, pour la première fois, australiennes.
Selon l’armée américaine, cet atterrissage forcé, sur la piste de l’aéroport international de Saipan (territoire américain des Marianne du Nord) aux alentours de 11h00 locales (GMT+10), s’est terminé par une sortie de piste.
Les causes de l’accident ne sont toujours pas établies et une enquête a été immédiatement ouverte.
Une cellule de crise a été formée afin d’évaluer précisément les dégâts sur l’appareil, qui est d’ordinaire rattaché à la base aérienne d’Eilson (Alaska), mais avait été déployé dans le cadre des manœuvres Cope North, précise l’armée.
La seule personne à bord, le pilote, n’a pas été blessé, selon les mêmes sources.
Les forces américaines, japonaises et australiennes ont donné le coup d’envoi, lundi 13 février 2012, de la série de manœuvres et d’exercices conjoints, sous le nom de code « Cope North », qui devrait s’achever le 24.
Les trois armées mettent une nouvelle fois l’accent sur la notion d’interopérabilité sur des théâtres d’intervention et de simulation conjoints, en partenariat.
Les manœuvres Cope North se déroulent tous les deux ans, typiquement au large du territoire américain de Guam et sur la base aérienne stratégique Andersen, dont les Marianne du Nord sont toutes proches.
Créés en 1978, ces exercices regroupaient jusqu’à récemment les armées de l’air américaines et japonaise.
Il s’agit de la première édition à laquelle se joignent les forces australiennes, qui mobilisent pour l’occasion des avions de chasse Super Hornet et des avions de surveillance Wedgetail, ainsi qu’environ trois cents hommes et femmes.
Les États-Unis, pour leur part, mobilisent un large éventail de moyens allant des F-16 à l’emblématique forteresse volante B-52.
Le territoire de Guam est considéré comme une tête de pont des États-Unis en regard direct vers le continent asiatique, et en premier lieu la Chine.
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