Les drapeaux des établissements du Pays et de l'Etat sont mis en berne jusqu'à ce vendredi.
PAPEETE, le 22 mars 2016. Les drapeaux des établissements du Pays et de l'Etat ont été mis en berne mardi matin. Le président du Pays a adressé un "message de soutien et de compassion au peuple belge".
Depuis mardi matin, les drapeaux des établissements publics (Pays et Etat) sont en berne. Ce signe de deuil durera jusqu'à vendredi. Le président du Pays, par le biais d'un communiqué, a adressé un "message de soutien et de compassion au peuple belge".
Lundi soir (heure de Polynésie), une série d'attentats coordonnés revendiqués par les jihadistes du groupe Etat islamique a fait au moins 34 morts à l'aéroport international et dans une rame de métro de Bruxelles.
"Les attentats cruels qui viennent d’être perpétrés à Bruxelles nous plongent dans une profonde tristesse. Nos pensées accompagnent les nombreuses victimes et leurs familles", souligne Edouard Fritch. "Elles s’adressent également à tous les Belges profondément blessés par ces crimes révoltants".
Les drapeaux ont aussi été mis en berne à l'assemblée de Polynésie française peu avant midi. "Emue par tant de violences gratuites et de souffrances inutiles, l’assemblée de la Polynésie française se joint au deuil des Belges et par-delà de l’Europe qui était visée par ces nouveaux actes barbares, aveugles et lâches, qui frappent les valeurs démocratiques communes que nous portons", a indiqué le président de l'assemblée, Marcel Tuihani. "Le président de l‘assemblée souhaite que la Polynésie française et les Polynésiens de par le monde puissent toujours être préservés de ces violences." Il ajoute : "Loin d’être indifférente, l’assemblée de la Polynésie française adresse au peuple belge et aux familles des victimes le témoignage de sa compassion, tout comme elle adresse aux autorités belges et françaises, mais aussi européennes, ses encouragements pour que tous les moyens soient mis en œuvre pour trouver les assassins et éradiquer le terrorisme international."
Dans un communiqué, le haut-commissariat a lui indiqué que les drapeaux sont en berne car "la France partage la douleur du peuple belge". "En signe de solidarité, pour rappeler les liens fraternels qui unissent nos deux nations, le Premier ministre, conformément à la demande du président de la République, a donné instruction pour que tous les drapeaux sur les bâtiments et édifices publics soient mis en berne, à compter d’aujourd’hui et jusqu’au vendredi 25 mars inclus".
Depuis mardi matin, les drapeaux des établissements publics (Pays et Etat) sont en berne. Ce signe de deuil durera jusqu'à vendredi. Le président du Pays, par le biais d'un communiqué, a adressé un "message de soutien et de compassion au peuple belge".
Lundi soir (heure de Polynésie), une série d'attentats coordonnés revendiqués par les jihadistes du groupe Etat islamique a fait au moins 34 morts à l'aéroport international et dans une rame de métro de Bruxelles.
"Les attentats cruels qui viennent d’être perpétrés à Bruxelles nous plongent dans une profonde tristesse. Nos pensées accompagnent les nombreuses victimes et leurs familles", souligne Edouard Fritch. "Elles s’adressent également à tous les Belges profondément blessés par ces crimes révoltants".
Les drapeaux ont aussi été mis en berne à l'assemblée de Polynésie française peu avant midi. "Emue par tant de violences gratuites et de souffrances inutiles, l’assemblée de la Polynésie française se joint au deuil des Belges et par-delà de l’Europe qui était visée par ces nouveaux actes barbares, aveugles et lâches, qui frappent les valeurs démocratiques communes que nous portons", a indiqué le président de l'assemblée, Marcel Tuihani. "Le président de l‘assemblée souhaite que la Polynésie française et les Polynésiens de par le monde puissent toujours être préservés de ces violences." Il ajoute : "Loin d’être indifférente, l’assemblée de la Polynésie française adresse au peuple belge et aux familles des victimes le témoignage de sa compassion, tout comme elle adresse aux autorités belges et françaises, mais aussi européennes, ses encouragements pour que tous les moyens soient mis en œuvre pour trouver les assassins et éradiquer le terrorisme international."
Dans un communiqué, le haut-commissariat a lui indiqué que les drapeaux sont en berne car "la France partage la douleur du peuple belge". "En signe de solidarité, pour rappeler les liens fraternels qui unissent nos deux nations, le Premier ministre, conformément à la demande du président de la République, a donné instruction pour que tous les drapeaux sur les bâtiments et édifices publics soient mis en berne, à compter d’aujourd’hui et jusqu’au vendredi 25 mars inclus".
Sécurité renforcée aussi au fenua
Le dessin de Munoz, le dessinteur de Tahiti Infos
Le renforcement de la sécurité après les attentats qui ont frappé la Belgique a été décidé non seulement dans l'Hexagone mais aussi dans les outre-mer, a annoncé mardi le ministère des Outre-mer. En Polynésie française, des mesures de sécurité ont été accentuées. Parmi les dispositions prises, le haut-commissariat indiquait que "les patrouilles de sécurité ont été renforcées à l'aéroport et au port" dès mardi matin. "Les consignes ont été passées aux forces de l'ordre. "