Les acteurs du monde des entreprises, réunis pour l’occasion à la Présidence, se sont prêtés au jeu. Ils ont partagé leurs expériences respectives et n’ont pas hésité à faire part des difficultés et freins rencontrés dans leurs activités quotidiennes. Globalement, ils se sont accordés sur la nécessité de faire les bons choix dans le domaine du numérique et de développer les offres proposées aux TPE et PME, notamment sous la forme de package (abonnement Internet, création de site, formation..).
Selon le dirigeant de la société Vittoria Conseils M. Guillaume Proia « seuls 13% des entreprises polynésiennes informatisées ont un site Internet et 4% font du paiement en ligne, c’est extrêmement faible. On est justement là pour essayer de poser des pistes (…). »
Les professionnels des nouvelles technologies se sont, pour la plupart, exprimés en ce sens. Le besoin d’équiper les TPE - PME en sites Internet, en vitrines et modules de paiement en ligne existe. Cependant il requiert une information renforcée et « vulgarisée » auprès des dirigeants des très petites, petites et moyennes entreprises, qui ont tendance à se concentrer sur leur cœur de métier.
Des outils numériques existent (en métropole et ailleurs) et ont fait leurs preuves, comme l’ont souligné les intervenants au cours de l’atelier. Il ne reste plus qu’à s’en inspirer et à les appliquer en Polynésie française
En ce qui concerne les télé-procédures, le Directeur de la société Informatique de Tahiti M. Olivier Kressmann a précisé à ce sujet qu’« aujourd’hui pour la télé-procédure c’est pas tant un problème technique, qu’un problème juridique » qui est rencontré et nécessite la prise de mesures d’accompagnement.
Plusieurs autres pistes de réflexions ont été proposées au cours des débats, dont la création d’une signature électronique, d’une certification des documents, d’une Webschool, de pôles de compétitivité et technopôles, du passeport numérique, de bourses CIFRE, de datacenters, ou encore le déploiement du réseau cyber-base. Ont également été soulignés, le problème du paiement en ligne réservé aux cartes de paiement de type Visa.
Les débats ont donc porté sur un grand nombre de questions, y compris les outils et solutions de co-financement proposés aux TPE-PME par la SOFIDEP, dans le domaine du numérique, en complément de l’accompagnement des banques.
Selon le dirigeant de la société Vittoria Conseils M. Guillaume Proia « seuls 13% des entreprises polynésiennes informatisées ont un site Internet et 4% font du paiement en ligne, c’est extrêmement faible. On est justement là pour essayer de poser des pistes (…). »
Les professionnels des nouvelles technologies se sont, pour la plupart, exprimés en ce sens. Le besoin d’équiper les TPE - PME en sites Internet, en vitrines et modules de paiement en ligne existe. Cependant il requiert une information renforcée et « vulgarisée » auprès des dirigeants des très petites, petites et moyennes entreprises, qui ont tendance à se concentrer sur leur cœur de métier.
Des outils numériques existent (en métropole et ailleurs) et ont fait leurs preuves, comme l’ont souligné les intervenants au cours de l’atelier. Il ne reste plus qu’à s’en inspirer et à les appliquer en Polynésie française
En ce qui concerne les télé-procédures, le Directeur de la société Informatique de Tahiti M. Olivier Kressmann a précisé à ce sujet qu’« aujourd’hui pour la télé-procédure c’est pas tant un problème technique, qu’un problème juridique » qui est rencontré et nécessite la prise de mesures d’accompagnement.
Plusieurs autres pistes de réflexions ont été proposées au cours des débats, dont la création d’une signature électronique, d’une certification des documents, d’une Webschool, de pôles de compétitivité et technopôles, du passeport numérique, de bourses CIFRE, de datacenters, ou encore le déploiement du réseau cyber-base. Ont également été soulignés, le problème du paiement en ligne réservé aux cartes de paiement de type Visa.
Les débats ont donc porté sur un grand nombre de questions, y compris les outils et solutions de co-financement proposés aux TPE-PME par la SOFIDEP, dans le domaine du numérique, en complément de l’accompagnement des banques.