Les victimes devaient participer au procès depuis la France en visioconférence.
PAPEETE, le 6 décembre 2016 - L'avocat de l'accusé ayant été hospitalisé d'urgence, l'examen de l'affaire censé débuter ce mardi a été renvoyé à une session ultérieure.
Un vieux père de famille devait être jugé aujourd'hui et jusqu'à vendredi par les jurés, accusé de viols et abus sexuels sur quatre de ses filles. Le procès devait s'étaler sur quatre jours. Il n'aura finalement pas lieu avant fin 2017, au plus tôt, en raison de l'hospitalisation d'urgence de l'avocat de l'accusé, victime d'un problème de santé lundi soir. Les faits présumés remontent à 1997 et avaient été révélés en 2008.
Les victimes sont toutes en métropole où les agressions auraient été commises et où leur père polynésien, qui conteste les faits, avait fait une partie de sa carrière de militaire. Les victimes et leur avocat devaient participer au procès depuis la France grâce à un dispositif de visioconférence. La session de la cour d'assises reprendra lundi et mardi prochains avec un dernier dossier de viol sur mineur par personne ayant autorité.
Un vieux père de famille devait être jugé aujourd'hui et jusqu'à vendredi par les jurés, accusé de viols et abus sexuels sur quatre de ses filles. Le procès devait s'étaler sur quatre jours. Il n'aura finalement pas lieu avant fin 2017, au plus tôt, en raison de l'hospitalisation d'urgence de l'avocat de l'accusé, victime d'un problème de santé lundi soir. Les faits présumés remontent à 1997 et avaient été révélés en 2008.
Les victimes sont toutes en métropole où les agressions auraient été commises et où leur père polynésien, qui conteste les faits, avait fait une partie de sa carrière de militaire. Les victimes et leur avocat devaient participer au procès depuis la France grâce à un dispositif de visioconférence. La session de la cour d'assises reprendra lundi et mardi prochains avec un dernier dossier de viol sur mineur par personne ayant autorité.