Le projet de délibération portant approbation par l'assemblée de la Polynésie française de la convention cadre relative au traitement des situations de surendettement des particuliers en Polynésie française a été adopté mardi matin en séance à l’assemblée de la Polynésie française.
Cette convention cadre qui fixe le principe et les modalités de la collaboration de l'agence de l'IEOM en Polynésie française pour assurer la gestion des dossiers de surendettement et le secrétariat de la commission. A cette convention cadre vient s’ajouter une convention particulière. Celle-ci traite uniquement de la partie financière et doit intervenir chaque année pour fixer le coût des prestations annuelles de l'IEOM. Si sur le principe tous les élus étaient d’accord, des remarques ont été faite notamment sur la prévention du surendettement.
Ainsi Armelle Merceron a déploré l’absence de campagne de communication sur ce dispositif afin de l’expliquer à la population. Mais il faudrait aussi traiter le problème bien en amont c'est-à-dire avant que la personne ne se trouve dans cette situation. Selon la représentante du groupe Ia ora te fenua, il est essentiel que la population soit informer sur l’importance de ne pas dépenser plus et comment gérer leur budget, mission auparavant assurée par l’institut de la consommation, malheureusement fermé.
Pour certains élus comme Sabrina Birk, les dépenses liées à la mise en place de cette commission devraient être supportée par les banques qui seraient à l’origine de cette situation selon elle. La campagne de communication devrait d’ailleurs être visible dans toutes les agences bancaires de Polynésie, a-t-elle ajoutée.
Cette convention cadre qui fixe le principe et les modalités de la collaboration de l'agence de l'IEOM en Polynésie française pour assurer la gestion des dossiers de surendettement et le secrétariat de la commission. A cette convention cadre vient s’ajouter une convention particulière. Celle-ci traite uniquement de la partie financière et doit intervenir chaque année pour fixer le coût des prestations annuelles de l'IEOM. Si sur le principe tous les élus étaient d’accord, des remarques ont été faite notamment sur la prévention du surendettement.
Ainsi Armelle Merceron a déploré l’absence de campagne de communication sur ce dispositif afin de l’expliquer à la population. Mais il faudrait aussi traiter le problème bien en amont c'est-à-dire avant que la personne ne se trouve dans cette situation. Selon la représentante du groupe Ia ora te fenua, il est essentiel que la population soit informer sur l’importance de ne pas dépenser plus et comment gérer leur budget, mission auparavant assurée par l’institut de la consommation, malheureusement fermé.
Pour certains élus comme Sabrina Birk, les dépenses liées à la mise en place de cette commission devraient être supportée par les banques qui seraient à l’origine de cette situation selon elle. La campagne de communication devrait d’ailleurs être visible dans toutes les agences bancaires de Polynésie, a-t-elle ajoutée.