Treize caméras seront installées le long des principaux axes routiers.
PAPEETE, le 18 mai 2015. Trente-trois caméras de surveillance seront opérationnelles au mois de juin sur Arue. L'objectif est de sécuriser la commune, explique le tavana.
Dans le bâtiment des muto'i de la commune de Arue, une pièce a été entièrement sécurisée. A l'intérieur, les écrans des différentes caméras de vidéosurveillance qui sont en cours d'installation sur la commune de Arue. Six agents ont déjà reçu une formation sur l'aspect juridique de l'utilisation de ce matériel et ils devraient recevoir une formation technique à son emploi avant la fin du semestre. L'accès à cette salle ne sera autorisé que pour les personnes porteuses d'un badge nominatif.
D'ici fin juin, ce seront 33 caméras de vidéosurveillance qui seront installées dans tout le territoire de la ville : 13 sur les axes routiers, six dans les écoles et le reste sur les "sites stratégiques" (services techniques, mairie, etc). « Nous avons choisi des zones que nous avons estimées sensibles : le complexe sportif de Arue est extrêmement fréquenté et les établissements scolaires de la commune, y compris le collège et le lycée Raapoto », indique le tavana Philip Schyle. La mairie a aussi ciblé « les grands axes routiers » « notamment cette route de ceinture malheureusement fréquentée par des jeunes à deux-roues qui organisent des courses ». « Ces caméras vont permettre, je l'espère, de diminuer ce genre de délinquance », souligne le maire. « Techniquement, il y aura la possibilité de repérer les plaques minéralogiques de ces véhicules. »
Les images, qui ne peuvent pas être gardées plus d'un mois, pourront servir en cas d'incidents et être mises à disposition de la gendarmerie. En règle générale, conserver les images quelques jours suffisent à effectuer les vérifications nécessaires en cas d’incident, et permet d’enclencher d’éventuelles procédures pénales.
La mise en place des caméras de surveillance s'inscrit dans l'action menée par le conseil municipal qui, pour sécuriser la population, a aussi renforcé l'action menée par les policiers municipaux et développé l'éclairage public.
Dans le bâtiment des muto'i de la commune de Arue, une pièce a été entièrement sécurisée. A l'intérieur, les écrans des différentes caméras de vidéosurveillance qui sont en cours d'installation sur la commune de Arue. Six agents ont déjà reçu une formation sur l'aspect juridique de l'utilisation de ce matériel et ils devraient recevoir une formation technique à son emploi avant la fin du semestre. L'accès à cette salle ne sera autorisé que pour les personnes porteuses d'un badge nominatif.
D'ici fin juin, ce seront 33 caméras de vidéosurveillance qui seront installées dans tout le territoire de la ville : 13 sur les axes routiers, six dans les écoles et le reste sur les "sites stratégiques" (services techniques, mairie, etc). « Nous avons choisi des zones que nous avons estimées sensibles : le complexe sportif de Arue est extrêmement fréquenté et les établissements scolaires de la commune, y compris le collège et le lycée Raapoto », indique le tavana Philip Schyle. La mairie a aussi ciblé « les grands axes routiers » « notamment cette route de ceinture malheureusement fréquentée par des jeunes à deux-roues qui organisent des courses ». « Ces caméras vont permettre, je l'espère, de diminuer ce genre de délinquance », souligne le maire. « Techniquement, il y aura la possibilité de repérer les plaques minéralogiques de ces véhicules. »
Les images, qui ne peuvent pas être gardées plus d'un mois, pourront servir en cas d'incidents et être mises à disposition de la gendarmerie. En règle générale, conserver les images quelques jours suffisent à effectuer les vérifications nécessaires en cas d’incident, et permet d’enclencher d’éventuelles procédures pénales.
La mise en place des caméras de surveillance s'inscrit dans l'action menée par le conseil municipal qui, pour sécuriser la population, a aussi renforcé l'action menée par les policiers municipaux et développé l'éclairage public.
Le chiffre : 46,3
C'est, en millions de Fcfp, le coût total des travaux pour l'installation de ces 33 caméras. 14,6 millions de Fcfp sont pris en charge par le Fonds interministériel de prévention de la délinquance et 31,7 millions de Fcfp par la commune.
Neuf nouvelles caméras à Papeete
A Papeete, il existe déjà 18 caméras de surveillance. Neuf nouvelles devraient être installées d'ici la fin de l'année. Nouveauté également prévue : des muto'i assureront une surveillance derrière les écrans de contrôle lors des soirs de week-end à partir de la fin du mois. Le dispositif devrait d'abord être mis en place chaque premier et dernier week-end du mois. Puis lorsque de nouveaux agents auront été formés, l'objectif est de pouvoir mettre en place une surveillance chaque week-end. Ces neuf nouvelles caméras vont coûter 10 millions de Fcfp. Le fonds interministériel de la prévention de la délinquance finance ce projet à hauteur de 40 %, les 60 % restant sont pris en charge par la commune.