« Peretiteni, a parau i te parau e tupu » - « Président, dis ce que tu peux réaliser». Ce sont les mots de Taarii Maraea, le président de l’Eglise Protestante Maohi à l’adresse du président Edouard Fritch lors du synode de Papenoo, ce que le Tahoera’a Huiraatira traduit par : « Tiens tes engagements et arrête de mentir ! Si aujourd’hui tu subis la fronde des maires, c’est parce que tu leur mens ! » Toute l’attitude du président Fritch est résumée là. Les tavana en ont assez d’être pris pour des idiots.
Que dire du président du SPC, Cyril Tetuanui, pris pour un imbécile en étant accusé d’être « manipulé ». Que dire de Christian Vernaudon, le Conseiller économique et social, accusé d’être « le scribouillard » de la résolution et d’avoir attisé la colère des maires… Tout est ainsi. Edouard Fritch accuse, tance, montre du doigt, punit, et surtout, il ne supporte plus aucune critique. Pire, il ment, il nous ballade, comme le laissent entendre à mots couverts le président de l’Eglise Protestante Maohi et les Tavana.
Le Tapura s’est fendu d’un communiqué aussi lamentable qu’inutile pour commenter une procédure judiciaire qui n’en est qu’au stade des réquisitions. C’est vrai que cette affaire concerne directement Edouard Fritch puisque c’est lui qui l’a montée pour nuire à son mentor. Fritch et son Tapura se réjouissent des malheurs des autres, mais cela ne fait pas de Gaston Flosse un « Calimero ». Ce personnage sied en revanche très bien au président Fritch qui n’est jamais responsable de rien et qui ne comprend pas que personne ne l’aime comme il le mérite, lui meilleur que tout le monde, comme en atteste sa pathétique conférence de presse pour réagir au congrès des maires. Calimero Fritch !
Pour sa part, le président du Tahoera’a Huiraatira se défend et fait valoir les droits de la défense face à une campagne délibérée orchestrée contre lui et alimentée par ses adversaires politiques. Edouard Fritch est déjà condamné et le sera probablement encore. De nombreux élus du Tapura le sont également. Le Tapura est loin d’être un modèle de probité. A ce titre, il n’est pas en position de donner des leçons.
Ce n’est pas en se dissimulant derrière de misérables écrans de fumée et en publiant des communiqués qui puent, que le président Fritch masquera la fin de l’état de grâce qui caractérise sa gouvernance de plus en plus chaotique, comme en atteste la réaction des tavana. Il ferait mieux de se concentrer sur les vrais problèmes des Polynésiens. L’ingratitude, voilà ce qui caractérise la gouvernance d’Edouard Fritch. Le président ne fait que récolter ce qu’il a semé.
Que dire du président du SPC, Cyril Tetuanui, pris pour un imbécile en étant accusé d’être « manipulé ». Que dire de Christian Vernaudon, le Conseiller économique et social, accusé d’être « le scribouillard » de la résolution et d’avoir attisé la colère des maires… Tout est ainsi. Edouard Fritch accuse, tance, montre du doigt, punit, et surtout, il ne supporte plus aucune critique. Pire, il ment, il nous ballade, comme le laissent entendre à mots couverts le président de l’Eglise Protestante Maohi et les Tavana.
Le Tapura s’est fendu d’un communiqué aussi lamentable qu’inutile pour commenter une procédure judiciaire qui n’en est qu’au stade des réquisitions. C’est vrai que cette affaire concerne directement Edouard Fritch puisque c’est lui qui l’a montée pour nuire à son mentor. Fritch et son Tapura se réjouissent des malheurs des autres, mais cela ne fait pas de Gaston Flosse un « Calimero ». Ce personnage sied en revanche très bien au président Fritch qui n’est jamais responsable de rien et qui ne comprend pas que personne ne l’aime comme il le mérite, lui meilleur que tout le monde, comme en atteste sa pathétique conférence de presse pour réagir au congrès des maires. Calimero Fritch !
Pour sa part, le président du Tahoera’a Huiraatira se défend et fait valoir les droits de la défense face à une campagne délibérée orchestrée contre lui et alimentée par ses adversaires politiques. Edouard Fritch est déjà condamné et le sera probablement encore. De nombreux élus du Tapura le sont également. Le Tapura est loin d’être un modèle de probité. A ce titre, il n’est pas en position de donner des leçons.
Ce n’est pas en se dissimulant derrière de misérables écrans de fumée et en publiant des communiqués qui puent, que le président Fritch masquera la fin de l’état de grâce qui caractérise sa gouvernance de plus en plus chaotique, comme en atteste la réaction des tavana. Il ferait mieux de se concentrer sur les vrais problèmes des Polynésiens. L’ingratitude, voilà ce qui caractérise la gouvernance d’Edouard Fritch. Le président ne fait que récolter ce qu’il a semé.