La micronésie, une région particulièrement exposées aux risques liés au changement climatique
Ce groupe incluait notamment les Sénateurs Richard Tuheiava (Polynésie française), le Frère Robert Laufoa’ulu (Wallis-et-Futuna), ainsi que Christian Morer, conseiller de coopération et des affaires culturelles à l’ambassade de France à Manille (Philippines, qui est l’ambassade compétente depuis 2006 pour les États Fédérés de Micronésie) et un appui logistique et linguistique.
Ce groupe d’élus a également rencontré, mercredi 22 septembre 2010, le Président micronésien Manny Mori au cours d’une audience au siège du gouvernement fédéral insulaire, à Palikir (État de Pohnpei).
« La région a besoin du soutien renouvelé de la France dans la région afin de trouver des solutions en matière de changements climatiques », a notamment souligné le chef de cet fédération, qui considère « important de continuer à renforcer les relations entre la France et les États Fédérés de Micronésie ».
M. Mori a saisi cette occasion, dans un communiqué officiel, pour remercier la délégation française, « et à travers elle les initiatives de l’Union Européenne », récemment réalisées dans ce pays, y compris l’installation d’unité de production d’électricité photovoltaïque et un projet de centre culturel sur l’île de Yap et, à l’état de demande, un autre à Pohnpei.
À l’occasion de multiples visites régulières dans les pays insulaires océaniens (qu’ils appartiennent à la Mélanésie, la Polynésie ou la Micronésie, les trois grandes sous-régions qui composent l’Océanie), les groupes d’Amitié France-Océanie rapportent invariablement ces dernières années ce que leurs comptes-rendus qualifient de « demande de France » de la part des États insulaires de la région.
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Ce groupe d’élus a également rencontré, mercredi 22 septembre 2010, le Président micronésien Manny Mori au cours d’une audience au siège du gouvernement fédéral insulaire, à Palikir (État de Pohnpei).
« La région a besoin du soutien renouvelé de la France dans la région afin de trouver des solutions en matière de changements climatiques », a notamment souligné le chef de cet fédération, qui considère « important de continuer à renforcer les relations entre la France et les États Fédérés de Micronésie ».
M. Mori a saisi cette occasion, dans un communiqué officiel, pour remercier la délégation française, « et à travers elle les initiatives de l’Union Européenne », récemment réalisées dans ce pays, y compris l’installation d’unité de production d’électricité photovoltaïque et un projet de centre culturel sur l’île de Yap et, à l’état de demande, un autre à Pohnpei.
À l’occasion de multiples visites régulières dans les pays insulaires océaniens (qu’ils appartiennent à la Mélanésie, la Polynésie ou la Micronésie, les trois grandes sous-régions qui composent l’Océanie), les groupes d’Amitié France-Océanie rapportent invariablement ces dernières années ce que leurs comptes-rendus qualifient de « demande de France » de la part des États insulaires de la région.
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