Michael Tran / AFP
New York, Etats-Unis | AFP | jeudi 08/09/2022 - "Il n'y a pas que des Blancs en Terre du Milieu": le groupe Amazon a défendu le casting de sa série à gros budget inspirée du Seigneur des Anneaux, face à des critiques sur le choix d'acteurs issus de la diversité, qui dénatureraient selon elles l'oeuvre de Tolkien.
Depuis la diffusion des deux premiers épisodes de cette série, "Le Seigneur des anneaux: les Anneaux de pouvoir", sur laquelle Amazon a misé plus d'un milliard de dollars pour au moins cinq saisons, les réseaux sociaux pullulent de protestations d'internautes et de fans de J.R.R. Tolkien sur une supposée "diversité forcée" dans le choix des personnages et d'une trahison de l’oeuvre originelle, car plusieurs rôles sont confiés à des personnes noires ou hispaniques.
C'est le cas de le princesse naine Disa, incarnée par Sophia Nomvete.
D'autres internautes y voient une évolution bienvenue.
Le choix a aussi été défendu par Amazon via un tweet du compte officiel de la série diffusée sur la plateforme Prime Video du groupe.
"J.R.R. Tokien a créé un monde qui, par définition, est multiculturel. Un monde dans lequel des peuples libres de races et de cultures différentes s'unissent, dans la fraternité, pour vaincre les forces du mal. C'est ce que reflète +Les Anneaux de pouvoir+", ont commenté les acteurs mercredi soir sur le compte Twitter de la série.
"Il n'y a pas que des Blancs dans notre monde, il n'y a pas que des blancs dans la +fantasy+, il n'y a pas que des blancs en Terre du Milieu", le monde inspiré du Moyen-Age dans lequel se déroule l'histoire de Tolkien, dans laquelle les personnages sont des hobbits, des elfes ou des nains.
Ce n'est pas la première fois qu'une production doit se justifier après avoir fait de la place à des rôles issus de la diversité. En juin, l'acteur Ewan McGregor avait défendu la présence de Moses Ingram, une actrice noire, au casting de la série "Obi-Wan Kenobi" issue de la franchise de la Guerre des étoiles sur Disney+.
Depuis 2016, la comédie musicale Hamilton de Lin-Manuel Miranda rencontre elle un grand succès à Broadway et dans tous les Etats-Unis, en mettant en scène la Révolution américaine du 18e siècle avec des morceaux de hip-hop et des acteurs issus de la diversité pour incarner les pères fondateurs du pays, comme George Washington.
Depuis la diffusion des deux premiers épisodes de cette série, "Le Seigneur des anneaux: les Anneaux de pouvoir", sur laquelle Amazon a misé plus d'un milliard de dollars pour au moins cinq saisons, les réseaux sociaux pullulent de protestations d'internautes et de fans de J.R.R. Tolkien sur une supposée "diversité forcée" dans le choix des personnages et d'une trahison de l’oeuvre originelle, car plusieurs rôles sont confiés à des personnes noires ou hispaniques.
C'est le cas de le princesse naine Disa, incarnée par Sophia Nomvete.
D'autres internautes y voient une évolution bienvenue.
Le choix a aussi été défendu par Amazon via un tweet du compte officiel de la série diffusée sur la plateforme Prime Video du groupe.
"J.R.R. Tokien a créé un monde qui, par définition, est multiculturel. Un monde dans lequel des peuples libres de races et de cultures différentes s'unissent, dans la fraternité, pour vaincre les forces du mal. C'est ce que reflète +Les Anneaux de pouvoir+", ont commenté les acteurs mercredi soir sur le compte Twitter de la série.
"Il n'y a pas que des Blancs dans notre monde, il n'y a pas que des blancs dans la +fantasy+, il n'y a pas que des blancs en Terre du Milieu", le monde inspiré du Moyen-Age dans lequel se déroule l'histoire de Tolkien, dans laquelle les personnages sont des hobbits, des elfes ou des nains.
Ce n'est pas la première fois qu'une production doit se justifier après avoir fait de la place à des rôles issus de la diversité. En juin, l'acteur Ewan McGregor avait défendu la présence de Moses Ingram, une actrice noire, au casting de la série "Obi-Wan Kenobi" issue de la franchise de la Guerre des étoiles sur Disney+.
Depuis 2016, la comédie musicale Hamilton de Lin-Manuel Miranda rencontre elle un grand succès à Broadway et dans tous les Etats-Unis, en mettant en scène la Révolution américaine du 18e siècle avec des morceaux de hip-hop et des acteurs issus de la diversité pour incarner les pères fondateurs du pays, comme George Washington.