Tahiti, le 18 septembre 2024 – Air Tahiti vient de signer un partenariat avec une société néo-zélandaise pour permettre à ses passagers de compenser l'empreinte environnementale de leur voyage.
Air Tahiti souhaite responsabiliser ses passagers par rapport aux émissions de gaz à effet de serre et leur offrira la possibilité de compenser l'impact environnemental de leur voyage. La compagnie locale a signé un partenariat avec une société néo-zélandaise spécialisée dans la compensation environnementale et lance le programme 'Ahureva, qui signifie "climat" ou "relatif au climat".
Sur le site web d'Air Tahiti, il sera désormais possible de calculer les émissions de CO2 de son voyage et de choisir un montant pour compenser entre 100 % et 200 % de ses émissions. Par exemple, pour un vol aller-retour entre Papeete et Raiatea, si vous choisissez de compenser 100 % des émissions générées par ce trajet, votre contribution s'élèvera à 353 francs. Un montant accessible permettant à chacun de contribuer à la préservation de l’environnement et de la biodiversité.
Grâce à cet argent, la société néo-zélandaise pourra investir dans des programmes environnementaux à travers le monde, selon des critères très précis fixés par les Nations unies.
Air Tahiti souhaite responsabiliser ses passagers par rapport aux émissions de gaz à effet de serre et leur offrira la possibilité de compenser l'impact environnemental de leur voyage. La compagnie locale a signé un partenariat avec une société néo-zélandaise spécialisée dans la compensation environnementale et lance le programme 'Ahureva, qui signifie "climat" ou "relatif au climat".
Sur le site web d'Air Tahiti, il sera désormais possible de calculer les émissions de CO2 de son voyage et de choisir un montant pour compenser entre 100 % et 200 % de ses émissions. Par exemple, pour un vol aller-retour entre Papeete et Raiatea, si vous choisissez de compenser 100 % des émissions générées par ce trajet, votre contribution s'élèvera à 353 francs. Un montant accessible permettant à chacun de contribuer à la préservation de l’environnement et de la biodiversité.
Grâce à cet argent, la société néo-zélandaise pourra investir dans des programmes environnementaux à travers le monde, selon des critères très précis fixés par les Nations unies.