Aéroport de Roissy, France | AFP | mardi 07/03/2017 - La première séance de négociation annuelle sur les salaires à Air France, interrompue près d'une heure mardi après l'envahissement de la salle par 30 à 40 manifestants, a repris peu avant 13H, a-t-on appris de sources syndicales.
Avant la reprise, différents syndicalistes avaient évoqué auprès de l'AFP une "tension forte" devant les portes de la salle, où s'étaient massés d'autres manifestants qui avaient réussi à pénétrer à l'intérieur du siège alors qu'un rassemblement avait débuté sur le parvis, mais "pas de bousculade", selon la CGT.
Le syndicat a indiqué que des manifestants s'étaient "exprimés directement devant la direction". Un cordon de police a été déployé pour empêcher d'autres manifestants de pénétrer dans la salle de négociations.
"On met la pression pour qu'ils prennent la mesure de la colère des salariés", privés d'augmentation générale depuis 2012, a expliqué Sophie Gorins du SNPNC (hôtesses et stewards).
Selon les sources syndicales, entre 300 et 400 manifestants ont pénétré à l'intérieur du siège d'Air France, une estimation que l'AFP n'a pas pu vérifier, l'accès au bâtiment lui ayant été refusé.
Plusieurs syndicats au sol (CGT, FO, Unsa, Sud-Aérien) et Alter, syndicat non représentatif chez les pilotes, avaient déposé un préavis de grève pour la journée en vue de "peser" sur les négociations salariales. A la mi-journée, la direction recensait 6% de grévistes.
Les négociations salariales doivent se poursuivre vendredi.
Avant la reprise, différents syndicalistes avaient évoqué auprès de l'AFP une "tension forte" devant les portes de la salle, où s'étaient massés d'autres manifestants qui avaient réussi à pénétrer à l'intérieur du siège alors qu'un rassemblement avait débuté sur le parvis, mais "pas de bousculade", selon la CGT.
Le syndicat a indiqué que des manifestants s'étaient "exprimés directement devant la direction". Un cordon de police a été déployé pour empêcher d'autres manifestants de pénétrer dans la salle de négociations.
"On met la pression pour qu'ils prennent la mesure de la colère des salariés", privés d'augmentation générale depuis 2012, a expliqué Sophie Gorins du SNPNC (hôtesses et stewards).
Selon les sources syndicales, entre 300 et 400 manifestants ont pénétré à l'intérieur du siège d'Air France, une estimation que l'AFP n'a pas pu vérifier, l'accès au bâtiment lui ayant été refusé.
Plusieurs syndicats au sol (CGT, FO, Unsa, Sud-Aérien) et Alter, syndicat non représentatif chez les pilotes, avaient déposé un préavis de grève pour la journée en vue de "peser" sur les négociations salariales. A la mi-journée, la direction recensait 6% de grévistes.
Les négociations salariales doivent se poursuivre vendredi.